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Blog de mirontsy.com (mirontsi@gmail.com)

Photo de mirontsyAHCRM

mirontsyAHCRM

Description :

Droit à l'information et droit d'informer
La liberté des médias et la démocratie

Le droit d'informer et le droit à l'information sont indissociables. Ils concernent tous les aspects de la vie économique, sociale et politique.

L'information se trouve partout, elle nous envahit via de tous les médias modernes, presse, radio, TV hertzienne, TV numérique, TNT et surtout INTERNET.

Elle est d'ailleurs omniprésente, voire même oppressante. au point, qu'à peine reçue, on passe à la suivante sans prendre le temps d'y réfléchir, le tout d'une manière assez mécanique, automatique, tel un gavage médiatique.

L'information, la sur-information, est peut-être en passe de devenir le nouvel opium du peuple.

Celui qui contrôle l'information, contrôle le pouvoir, et le pouvoir a de plus en plus la fâcheuse habitude de contrôler l'information

Le rôle joué par les médias a pris une telle importance dans la société qu'ils sont souvent considérés comme le "quatrième pouvoir"

Or, plus que jamais, il est important de prendre du recul, de trier, et surtout, de réfléchir à toute cette information.


Par exemple pour vous,, vous voulez vous tenir au courant de l'actualité ...du bled ?

Ce blog est fait pour vous !

Bien entendu, vous pouvez réagir à chaque article en laissant vos commentaires, vos avis, vos coups de gueule ainsi que vos coups de coeur...
Vos questions seront le bien venue et se fera un réel plaisir de vous répondre le plus souvent possible.
-----------------------------------------------------------------
l'hymne des Comores

Beramu yi tsi pepeza,
inadi wucopozi piya
yi dawula yi venuha,
ta sibabu ya yi dini vo ya tsangaya,
hunu Komoriya
Na ri keni,na mahaba,
ya hu vendza ya masiwa yatru,
Wasi wa Komori damu ndzima,
Wasi wa Komori dini ndzima,
Ya masiwa ra zaliwa,ya masiwa ya ri leya
Mola né ari sayidiya
Na ri keni ha niya,
Ri vendze watwaniya
Mahaba ya dini na duniya,

Beramu yi tsi pepeya
Rangu mwezi sita ya juillet,
Yi dawula yi venuha,
ma siwa zatru ya katuha,
Mawore na ndzuwani,Mwali na Ngazidja,
Na ri keni,na mahaba,
Ya hu vendza,
Ya masiwa !>>!

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Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...
C'est une histoire très touchant et sa fait prendre conscience de certaines choses envers notre mariage. On passe notre temps à penser aux choses non essentielles on se plaint de nos problèmes sans savoir pourquoi nous en avons et oublie le principal ... C'est une leçon de moral et sa fait bcoup méditer.

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s'est pas parlé l'un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon c½ur, car il s'était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j'avais juste pitié d'elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J'étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l'ai trouvée entrain d'écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d'ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu'elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l'ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l'avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d'elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j'ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son c½ur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l'ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C'était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J'ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu'il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J'ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu'elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j'ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n'ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonnés.
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 03:11

Modifié le dimanche 20 janvier 2013 04:37

 

COMORES : QUAND LE PETIT JUGE DEVIENT GRAND

COMORES : QUAND LE PETIT JUGE DEVIENT GRAND

Le petit juge de la cour constitutionnelle Par Riziki Msoma Il s'appelle Aboubacar Abdou Msa. Il est juriste de formation et a occupé plusieurs fonctions dont celle de secrétaire général du Conseil de l'île de ngazidja. Le Gouverneur de Ngazidja l'a nommé membre de la cour constitutionnelle...

via : wongo.skyrock.com


 
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#Posté le samedi 27 août 2011 05:41

Comores: Fisc : la chasse aux fraudeurs est engagée

Comores: Fisc : la chasse aux fraudeurs est engagée
 
Une simple identification de marchandises, importées chez quatre transitaires sélectionnés, révèle qu'en deux ans d'exercice, ils ont généré plus de deux milliards de chiffres d'affaires qui échappent totalement à l'impôt. Une activité illicite au vu et au su de tout le monde. Dans la réalité, l'importateur informel, clandestin, inconnue du listing de la patente et de l'Ibd, dédouane sa marchandise, en utilisant abusivement le Nif (numéro d'indentification fiscal) du transitaire, récupère sa marchandise à la sortie, l'écoule tranquillement sur le marché, s'enrichit personnellement, sans payer l'impôt.

Ils sont légions à Moroni et à Mutsamudu. Ils tuent l'économie, et appauvrissent l'Etat. C'est la première tâche ardue que le nouveau directeur général des impôts, inspecteur de trésor, Moussa Hamada (Aby), qui s'est engagé à traquer, à débusquer et à imposer ou, à défaut, éradiquer. “Nos recettes sont tributaires du portefeuille des contribuables imposés au régime réel, cela veut dire que l'établissement de la liste exhaustive des entreprises est une priorité pour ne pas dire une condition sine qua non pour atteindre nos objectifs budgétaires et pour une équité fiscale.

Quiconque tire des revenus ne doit pas échapper à l'impôt“. La déclaration sonne comme un cri de guerre. Et ce n'est pas peu dire. Mais pour y parvenir, toutes les réformes préconisées supposent d'être engagées avec les échéances prévues. “En moins d'un mois, nous avons mis en place plusieurs mesures structurelles, recommandées par le Fmi, notamment le conseil d'administration de la futur Agid (Administration générale des impôts et des domaines), le comité de pilotage de la réorganisation et de la modernisation et la mise en place du programme proprement dite“, déclare le Dg, Moussa Hamada.

L'administration fiscale unifiée préconisée vise à pallier les difficultés et l'inefficacité liées à l'existence de quatre administrations indépendantes, pour assurer une transparence de la chaine des recettes et la fiabilité de la comptabilité, veiller au respect des règles d'affectation des recettes, et empêcher l'immixtion directe du pouvoir politique dans la gestion de l'administration et la politique fiscale. L'Agid aura pour mission de définir les orientations et la politique de l'administration fiscale et de surveiller à la loupe les recettes.

Le nouveau Dg parle d'informatisation des impôts par une firme belge retenue, qui va évaluer d'abord le système fiscale aux Comores afin de moderniser les services. Parce qu'au niveau de Ngazidja, 316 contribuables ont été répertoriés mais 13 seulement ont été imposés. 96 sont listés à Ndzuwani contre 3 à Mwali. Or, de l'avis du service des recettes fiscales, le mois d'août, les impôts ont atteint le pic, avec des recouvrements de l'ordre de 280 millions, 250 millions et 240 millions, étant entendu que les deux premiers versements le sont par Comores Télécom seulement, grâce à un nouveau protocole négocié par le nouveau directeur.

Il reste encore beaucoup à faire. Des montagnes à déplacer. Une grosse société d'Etat, comme Comores hydrocarbures, grand contribuable pressenti par le budget, à égalité avec Comores Télécom, n'a pas depuis 2006, daigné présenter un bilan au fisc et n'a jamais réglé ses impôts sur les bénéfices divers. La déperdition se chiffre en milliards. Selon le Dg des impôts, “le défaut de pilotage des réformes est perçu aujourd'hui comme un des obstacles majeurs dans leur réalisation, l'efficacité et l'efficience de l'administration“.

Au niveau de la gestion interne, rassure-t-il, “nous avons d'ores et déjà créé des outils simples, mais efficaces, pour faciliter les contribuables au regard de leurs obligations fiscales, notamment la création d'un agenda fiscal. Cet outil détaille les obligations diverses, le service qui s'en charge, les dates butoirs de dépôt, ou de paiement, identifiant les personnes soumises à telle ou telle obligation, ainsi que les références des articles du code général des impôts qui s'appliquent“. Un état général harmonisé du salaire est diffusé et communiqué aux entreprises, pour le calcul de l'impôt général sur le revenu, incluant le salaire de base, les indemnités et primes, les cotisations à la caisse de retraire et à la caisse de prévoyance sociale, définissant la base taxable, les retenues et le total à payer.

Selon le Dg, “ces nouveaux instruments permettront aux usagers d'éviter les pénalités de retard, améliorer le civisme fiscal... Et en ce qui concerne les retenus à la source de l'IS (impôt sur les salaires), aucune erreur n'est possible vue la simplicité du document“. Les impôts vont pour la première fois tester le système de télé-déclaration de la taxe sur la consommation et de l'impôt sur le salaire, à l'adresse teledeclarationdgi@hotmail.com. Ce nouveau système permet aux collectionneurs de ces impôts d'économiser les coûts engendrés par cette collecte et l'administration gagne doublement en se passant des tournées infructueuses et en établissant, avec cette nouvelle méthode, des plans de trésorerie réalistes.

Selon Moussa Hamada, “chez nous, l'impôt est beaucoup plus quérable que portable et ce comportement doit changer. Et pour éviter au contribuable d'avoir un interlocuteur pour chaque catégorie d'impôts, nous allons mettre en place le système de dossier unique comme partout ailleurs“. Dans la pratique, l'ensemble des impôts, droits et taxes auxquels est assujettis un contribuable sera géré par un seul agent, pour qu'il ait une vision globale du dossier fiscal. “La brigade mixte impôt et douanes, qui était en veilleuse, sera remise en selle et disposera de tous les moyens pour l'accomplissement de sa mission de collecte de renseignements et d'identification des fraudeurs potentiels et surtout les faux forfaitaires“, souligne-t-il.

Le directeur général des impôts distingue, dans cette bataille, le secteur informel en deux catégories. Le secteur informel qui n'a pas automatiquement pour objectif d'échapper à la fiscalité et dont la fraude fiscale ne constitue pas un facteur décisif de développement de leurs activités. Par contre, des activités économiques importantes sont parfois dissimulés et visent à éluder l'impôt, et ce sont ceux-là même qui approvisionnement l'ensemble du secteur informel. “Nous sommes déterminés à les éradiquer par des sanctions financières et pénales. Parmi les propositions phares, la direction propose au gouvernement de ne pas autoriser l'accès aux marchés publics, aux entreprises qui ne peuvent pas faire prévaloir d'un quitus fiscal”.

Dans l'urgence, les impôts ont imaginé un profond et long programme de recyclage et de formation de ses agents par la firme “Doits d'Afrique”, sous financement du Prci et du Commissariat général au plan. La date buttoir, fixé par le Fmi, est le mois d'octobre pour la revue. Le principal indicateur ne tient qu'à une mobilisation forte des recettes pour répondre aux objectifs qualitatifs et quantitatifs fixés par le budget. Parce que le nouveau code général des impôts adopté par le parlement entrera en vigueur le 1er janvier 2012 et commande que les nombreuses faiblesses du service soient corrigées pour pourvoir l'appliquer à la lettre.

Ahmed Ali Amir
Source Alwatwan
 
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#Posté le vendredi 26 août 2011 05:01

Modifié le vendredi 26 août 2011 05:24

Les rebelles libyens espionnent les pro-Kadhafi à l'aide d'un drone miniature

Les rebelles libyens espionnent les pro-Kadhafi à l'aide d'un drone miniature

Un drone miniature fourni par une société canadienne permet à la rébellion libyenne de suivre les mouvements des troupes restées fidèles à Mouammar Kadhafi.

La rébellion libyenne a utilisé un drone miniature pour ses opérations d'espionnage des troupes du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, a révélé la société canadienne qui s'est chargée de la fourniture.
Un ex-officier supérieur de l'armée canadienne, aujourd'hui patron de la société de sécurité Zariba, s'est rendu fin juillet dans l'enclave rebelle de Misrata, sur les rives de la Méditerranée, pour former les rebelles à l'utilisation de ce drone.

"Les rebelles se déplaçaient sur la route et ils étaient la cible de tirs, alors qu'eux-mêmes cherchaient à savoir où se trouvaient les forces de Kadhafi. Ils recherchaient donc désespérément des solutions en termes d'imagerie pour détecter les soldats au loin", a dit mercredi cet ancien soldat, Charles Barlow.

Les drones ont joué un rôle crucial dans le conflit en Libye, les Occidentaux utilisant ces appareils de reconnaissance pour anticiper les déplacements des forces de Kadhafi et ainsi appuyer la rébellion.
Mais les rebelles sur le terrain ne semblaient pas disposer eux-mêmes de ces équipements. "Ils ont tenté à un certain moment d'installer des caméras sur des modèles réduits d'hélicoptères mais ça ne fonctionnait pas très bien", souligne M. Barlow.

Après avoir étudié différentes propositions, notamment européennes, la rébellion a choisi la technologie du groupe canadien Aeryon Labs.
Aeryon a signé un contrat avec la société Zariba de M. Barlow pour fournir cet équipement stratégique au Conseil national de transition (CNT), organe de la rébellion libyenne.

Le mini-drone est une sorte de robot volant, d'un poids inférieur à 1,5 kilo et pouvant donc être transporté au sol par un combattant dans un simple sac à dos. Dirigé à distance grâce à un écran tactile, il ressemble à un hélicoptère miniature doté de quatre hélices.

Les rebelles rencontrés à Misrata par leur fournisseur canadien n'étaient pas des anciens soldats des forces libyennes, mais des civils sans expérience de la manipulation de ces appareils. "En une après-midi, ils savaient déjà comment faire voler l'engin", relève M. Barlow.

Un seul drone miniature - d'une valeur d'environ 100.000 dollars - a été vendu à la rébellion libyenne, a indiqué M. Barlow. "Ils en voulaient davantage", mais ils ont déjà pris Tripoli, a-t-il précisé.
Les deux sociétés canadiennes, qui devaient attendre une victoire de la rébellion à Tripoli pour annoncer ce contrat stratégique, espèrent maintenant vendre de nouveaux appareils au futur pouvoir à Tripoli.
Ce type de drone miniature a été vendu par le passé à de nombreuses sociétés, dont le géant pétrolier BP qui a eu recours à cette technologie lors de la marée noire dans le golfe du Mexique au printemps 2010, a précisé Mme Marni McVicar, porte-parole d'Aeryon.

AFP | 25.08.2011 | 08:44
Source Tribune de Gèneve

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#Posté le vendredi 26 août 2011 04:18

Le Président de la République a nommé les membres de la Commission Nationale de Prévention et de Lutte contre la Corruption (CNPLC)
Moroni, le 25 août 2011
 
DECRET N° 11 - 162/PR


Portant nomination des Membres de la Commission Nationale de Prévention et de Lutte contre la Corruption (CNPLC).


LE PRESIDENT DE L'UNION,


VU la Constitution de l'Union des Comores du 23 décembre 2001 révisée ; VU la loi N° 08-013/AU du 25 juillet 2008, relative à la transparence des activités publique, économique, financière et sociale, notamment en son article 8 alinéa 2 ; VU le décret N° 11-079/PR du 30 mai 2011, relatif au Gouvernement de l'Union des Comores ;
 
D E C R E T E :


ARTICLE 1er : Sont nommés membres de la Commission Nationale de Prévention et de Lutte contre la Corruption (CNPLC), les personnalités dont les noms suivent :
 
M. MCHAMI Mohamed M. Saïd Youssouf MOHAMED Représentants du Président de l'Union
 
M. MOHAMED Halifa, Représentant de l'Assemblée de l'Union
 
M. Moissuli MOHAMED AZIRI, Représentant du Ministère des Finances de l'Union
 
M. Bakar NOMANE MOHAMED, Représentant du Ministère de la Justice de l'Union
 
M. MOUZAOUI AMROINE Représentant des organisations professionnelles du secteur privé
 
M. CHAMD-EDINE MAULICE Abdourahamani Magistrat, représentant le corps judiciaire
 
ARTICLE 2 : Le présent décret sera enregistré, publié au Journal Officiel de l'Union des Comores et communiqué partout où besoin sera.
 
Dr IKILILOU DHOININE

Source Beit Salam



 
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#Posté le jeudi 25 août 2011 18:20

Comores: Trèves de diversions, visons le mal.

Comores: Trèves de diversions, visons le mal.
Pourquoi tant de dérapages et tant de perte de temps ?
 
Les Comores n'ont pas vraiment besoin de grands séminaires qui exploitent les OMD et le DSRP. Ce ne sont que des grandes messes n'aboutissant qu'à des grands discours creux. Les différents gouvernants en gesticulant de la sorte, ne font que gagner continuellement de temps tout en faisant perdre ce temps précieux au peuple. La situation nationale est de loin très chaotique. Elle nécessite des mesures très basiques.

Le peuple comorien a eu beaucoup de patience alors qu'il n'a rien vu venir depuis des décennies, si ce n'est que du bricolage et des déclarations d'intention. Leurs autorités s'attèlent depuis ce temps à chercher et à soigner le mal ailleurs, alors qu'il se présente là de visu, devant eux.

La demande de ce peuple ne se résume qu'à trois mots ; trois mots seulement et chacun en fera ce qu'il voudra. Trois mots simples qui guérissent tous les maux. Trois mots basiques qui résument tout. Trois mots qui sont : « Manger, travailler, dormir ». Ceci s'applique partout ; ceci répond à tout ; ceci oriente vers partout et ceci arrange tout.

Le peuple ne sera pas étonné quand on lui dira de tout remettre à zéro et recommencer, puisque tout est en désordre et chercher à arranger sera même incertain.

Le peuple ne demandera pas à aller sur la lune en fusée quand il n'a même pas eu à utiliser à bon escient les ânes pour se déplacer.

Les comoriens ne demanderont pas de gros salaires si le peu qu'ils gagneront, suffira à la famille de manger, se soigner et éduquer les enfants.

Les Comoriens seront prêt à oublier la haute technologie s'ils arrivent à être informés à temps et partout où ils seront.

Ils pratiqueront humblement leur religion et réaliseront leurs rites culturels sans exagération, comme chacun aura été toujours lassé par son labeur quotidien.

Les comoriens aimeront sûrement leur pays et leurs concitoyens quand personne n'aura rien à envier à personne.

En mangeant ils auront à produire avant et à surveiller continuellement leur santé.

Pour travailler ils devront être éduqués et formés bien à l'avance avec des moyens adaptés.

Pendant que dormir suppose un toit digne et tout ce qui va avec pour s'y rendre, s'éclairer et vivre en sécurité.

Est-ce que c'est trop demander pour un peuple à ses dirigeants? Pourquoi donc s'atteler à des maux chimériques, lesquels les comoriens ne souffrent même pas, au lieu de s'occuper de leurs mains, de leur ventre et de leur tête qui leur font mal, mais vraiment très mal?


Saïd MZE DAFINE
 
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#Posté le jeudi 25 août 2011 18:44


COMORES : LA SOCIETE GULF com remerciée


 
La société n'a pas estimé devoir opérer au port de Mutsamudu, comme le souhaitait la partie comorienne. Pour appuyer son refus de  revoir à la hausse ces redevances, la société évoque des « charges énormes » qu'elle supporte. « Pour nous tromper, ils ont surchargé leurs états financiers  de façon fantaisiste, avec des charges fictives » croit savoir un membre de la commission.

Les dirigeants de Gulf com n'auraient rien proposé «  de concret pour que le contrat soit aussi profitable à l'Etat comorien, » poursuit notre interlocuteur, accusant AI Marwane de vouloir « garder le statut quo » parce que « le premier contrat lui était très favorable ». Avec ce premier contrat la partie comorienne ne percevait annuellement qu'une redevance fixe de 71 millions fc.« Ce qui est très dérisoire, » estime-t-il. Notre interlocuteur évalue à plusieurs centaines de millions fc les bénéfices engrangés annuellement par la société de Dubaï. « La commission avait prôné pour la résiliation du contrat », confie notre interlocuteur.

MMADI MOINDJIE
Source : Albalad comores n°580 du 25 aout 2011
 
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#Posté le jeudi 25 août 2011 11:55

 
COMORES / Un livre en arabe sur Mayotte
 
 
Une  appropriation des peuples arabes  de la question de Mayotte dans sa dimension, historique, politique et humaine

L'ambassadeur Karihila revient sur l'histoire des Comores, en donnant d'autres faits d'histoires jusqu'ici inconnus et qui démontrent encore plus la dimension historique de la question de Mayotte. Dans son livre, la question de la balkanisation est traitée avec beaucoup de détails, expliquant la position géostratégique, lieu de passage des deux tiers du pétrole du Golfe vers l'Europe.
Une première. Un livre en arabe consacré à la question de Mayotte. “Parmi nos territoires occupées, l'île comorienne de Mayotte“ de  Dr. Hamidou Karihila, ancien ambassadeur.  Cent quatre-vingt-dix pages qui traitent de la question en revenant sur les aspects historiques, les motivations politiques et géostratégiques, mais aussi les conséquences de l'occupation sur l'instabilité permanente du nouvel Etat comorien et sur les relations avec ses voisins.
Publié par la maison d'édition Matabi Al Nahda  de Mascat (Oman), le livre  donne un éclairage complet et nouveau sur le sujet.

Révélation

L'ile comorienne de Mayotte, terre arabo-islamique, fut d'abord gouvernée par des dirigeants arabes et musulmans issus des tribus omanaises Al Nabhan et Al Moundhir avant que l'usurpateur malgache Andrian Tsouli ne se proclame sultan de l'ile en l'an 1836. Le ton est donné et la suite coule de source.
Ce prince malgache qui avait obtenu asile politique à Mayotte après avoir été chassé de son île, usurpe le pouvoir et cède l'île comorienne aux Français par un traité signé, le 25 avril 1841, entre lui et le délégué de la France, Passot, moyennant une somme annuelle de cinq mille piastres et une  prise en charge de deux de ses enfants pour poursuivre leurs études à Bourbon.
Dans ce livre, Dr Karihila révèle, en outre, que le Sultan  Saïd Ben Sultan Alboussaidi (1806-1856), sultan d'Oman et Zanzibar, protecteur des princes et sultans musulmans dans la région a protesté vigoureusement contre cette concession auprès des autorités anglaises ayant la charge de faire respecter  et préserver l'unité et l'intégrité territoriale de ses Etats conformément au traité passé en 1839 avec Mascate.
 
95% pour l'indépendance

Il a reçu, à sa demande, le consul anglais à Zanzibar Mr.Atkins Hamerton pour exprimer son mécontentement, dénonçant la politique française de démantèlement progressif de son empire sous l'½il indifférent de ses alliés anglais.
Le ministre anglais des Affaires étrangères s'adressa à son homologue français F.Guizot pour exprimer la contestation de Sayed Saïd et lui rappeler l'engagement de son pays par rapport au respect de l'intégrité de l'empire d'Oman, donnant des instructions fermes au commandant de la station du Cap de mener une enquête sur la politique française aux Comores et sur l'authenticité de la cession de Mayotte à la France. Depuis, la France décide d'étendre son  influence et son hégémonie sur les trois autres îles en vertu des traités imposés aux sultans en 1886.
Les quatre îles de la lune, devenues une colonie française rattachée à Madagascar en 1912, deviennent une colonie au sein d'une autre. En 1946, après la Seconde Guerre mondiale, l'archipel de Comores a été doté d'un statut de territoire l'outre-mer et on lui a octroyé l'autonomie interne au début des années soixante du siècle dernier, jusqu'à la déclaration unilatérale d'indépendance, le 6 Juillet 1975, après une consultation organisée, en décembre de l'année précédente, dont le résultat a été de 95% en faveur de l'indépendance contre 5%.
Karihila revient sur l'histoire des Comores, en donnant d'autres faits d'histoires jusqu'ici inconnus et qui démontrent encore plus la dimension historique de la question de Mayotte. Dans son livre, la question de la balkanisation est traitée avec beaucoup de détails, expliquant la position géostratégique, lieu de passage des deux tiers du pétrole du Golfe vers l'Europe.
Il aborde également les conditions de l'octroi de l'indépendance, les violations répétées du droit international et de la constitution française et le reniement français des accords convenus de Paris.
Les lourdes conséquences  d'une marche forcée

Malgré les péripéties et l'usage de la force par la France, l'archipel des Comores est admis aux Nations Unies, à l'Organisation de l'unité africaine (aujourd'hui Union africaine), l'Organisation de la conférence islamique (Oci), au Mouvement des non-alignés, et à la Ligue des États arabes, avec ses quatre iles et sa souveraineté sur Mayotte. Ce livre dénonce les lourdes conséquences de la marche forcée de la départementalisation, et les drames humanitaires qui s'en suivent avec les centaines de morts en mer, les expulsions des milliers de Comoriens dans leur propre pays et les détentions arbitraires dans le centre de rétention administrative (Cra).  Ce livre sort à point nommé. Juste au moment où la question de Mayotte occupe une place de choix dans les conférences des Etats arabes et à la veille de l'Assemblée générale de l'Onu, en septembre prochain. Il permettra aux pays et peuples arabes de mieux comprendre et de s'approprier davantage la question dans toute sa dimension, historique  politique et humaine.

AAA
Source : Al-watwan N° 1809 du jeudi 25 août 201


 
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#Posté le jeudi 25 août 2011 10:51

Modifié le jeudi 25 août 2011 11:35

Comores et l'initiative Ippte : 4 points de performances pour réussir la troisième revue


Comores et l’initiative Ippte : 4 points de performances pour réussir la troisième revue
Une mission du Fonds monétaire international (Fmi) a quitté Moroni le mardi 23, après une semaine de travail dans le cadre du Programme connu sous le nom d'Initiative pays pauvres très endettés ou Ippte. Une mission non formelle, qui avait pour objectif, selon le vice-président chargé des Finances publiques, Mohamed Ali Soilihi, de “remettre le programme sur les rails“, après l'échec, au mois de juin dernier, de la troisième revue pour les Comores devant le Conseil d'administration du groupe de la Banque mondiale et du Fmi.

La mission, qui doit revenir en début du mois d'octobre, espère pouvoir trouver à son retour “une consolidation des progrès dans la stabilisation budgétaire et des avancées décisives dans le programme des reformes structurelles“. Ainsi, quatre points de performances sont exigés pour réussir le passage à cette troisième revue. Il s'agit de l'amélioration des recettes intérieures et la réduction des dépenses (salaires), de la mise en oeuvre de la gestion informatisées des effectifs de la fonction publique et l'application des cadres organiques et, enfin, du suivi des mesures structurelles, notamment le processus de privatisation des sociétés d'Etat (Sch et Comores Télécom).

“Le serpent de mer qu'est la masse salariale a surtout failli bousiller le programme. Nous devons donc gérer sainement la fonction publique. Et pourquoi pas, avec les effectifs actuels de 12.300 fonctionnaires, arriver au niveau acceptable de 10.500“, a avancé le vice-président en charge des Finances publiques, lors de la conférence de presse organisée avant le départ de l'équipe du Fmi. Par ailleurs, dans un communiqué publié à l'issue des sept jours de travail, le chef de la mission du Fmi, M. Mantungulu, a soutenu que la loi des finances rectificative approuvée par le parlement en juin a “replacé les salaires de la fonction publique à un niveau plus compatible avec la capacité de mobilisation des recettes de l'Etat“.

Une mesure qui n'entre logiquement en vigueur qu'après la promulgation dudit texte par le chef de l'Etat. En ce qui concerne les mesures structurelles, le vice-président a indiqué que malgré les retards, le processus de privatisation des sociétés d'Etat suivait son cours. Selon lui, l'option d'une concession a été retenue pour le cas de la Société comorienne des hydrocarbures (Sch) et une ouverture du capital pour ce qui est de l'opérateur Comores Télécom. Enfin, ces revues du Fmi, qui se font tout les six mois, (six revues au total) devront aboutir au point d'achèvement du programme Ippte en fin 2012.

Ks
Source

Comores et l’initiative Ippte : 4 points de performances pour réussir la troisième revue
 
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#Posté le jeudi 25 août 2011 10:30

Modifié le jeudi 25 août 2011 10:42

Excuse de blog MIRONTSYAHCRM.skyrock.com

Excuse  de blog  MIRONTSYAHCRM.skyrock.com


Voilà depuis  janvier 2011 que nous n'avons pas  mis à jour  notre blog mirontsyahcrm  et nous  présentons sincèrement  nos  excuses aux éventuels lecteurs  réguliers de ne pas avoir donné signe de vie avant !
 
Ce silence est du avant tout au temps passé ces derniers mois sur la réalisation du site de mirontsyahcrm  en ligne  pour permettre aux lecteur de partager beaucoup des choses tels que des vidéos, de galerie , forum etc..
 
Toutes nos excuses aux lecteurs  de ce blog, pour le manque de mises à jours. Nous vous promettons plus de régularité à l'avenir.
 


 
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#Posté le mercredi 24 août 2011 18:18

Modifié le jeudi 25 août 2011 12:05

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