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Blog de mirontsy.com (mirontsi@gmail.com)

Photo de mirontsyAHCRM

mirontsyAHCRM

Description :

Droit à l'information et droit d'informer
La liberté des médias et la démocratie

Le droit d'informer et le droit à l'information sont indissociables. Ils concernent tous les aspects de la vie économique, sociale et politique.

L'information se trouve partout, elle nous envahit via de tous les médias modernes, presse, radio, TV hertzienne, TV numérique, TNT et surtout INTERNET.

Elle est d'ailleurs omniprésente, voire même oppressante. au point, qu'à peine reçue, on passe à la suivante sans prendre le temps d'y réfléchir, le tout d'une manière assez mécanique, automatique, tel un gavage médiatique.

L'information, la sur-information, est peut-être en passe de devenir le nouvel opium du peuple.

Celui qui contrôle l'information, contrôle le pouvoir, et le pouvoir a de plus en plus la fâcheuse habitude de contrôler l'information

Le rôle joué par les médias a pris une telle importance dans la société qu'ils sont souvent considérés comme le "quatrième pouvoir"

Or, plus que jamais, il est important de prendre du recul, de trier, et surtout, de réfléchir à toute cette information.


Par exemple pour vous,, vous voulez vous tenir au courant de l'actualité ...du bled ?

Ce blog est fait pour vous !

Bien entendu, vous pouvez réagir à chaque article en laissant vos commentaires, vos avis, vos coups de gueule ainsi que vos coups de coeur...
Vos questions seront le bien venue et se fera un réel plaisir de vous répondre le plus souvent possible.
-----------------------------------------------------------------
l'hymne des Comores

Beramu yi tsi pepeza,
inadi wucopozi piya
yi dawula yi venuha,
ta sibabu ya yi dini vo ya tsangaya,
hunu Komoriya
Na ri keni,na mahaba,
ya hu vendza ya masiwa yatru,
Wasi wa Komori damu ndzima,
Wasi wa Komori dini ndzima,
Ya masiwa ra zaliwa,ya masiwa ya ri leya
Mola né ari sayidiya
Na ri keni ha niya,
Ri vendze watwaniya
Mahaba ya dini na duniya,

Beramu yi tsi pepeya
Rangu mwezi sita ya juillet,
Yi dawula yi venuha,
ma siwa zatru ya katuha,
Mawore na ndzuwani,Mwali na Ngazidja,
Na ri keni,na mahaba,
Ya hu vendza,
Ya masiwa !>>!

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Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...
C'est une histoire très touchant et sa fait prendre conscience de certaines choses envers notre mariage. On passe notre temps à penser aux choses non essentielles on se plaint de nos problèmes sans savoir pourquoi nous en avons et oublie le principal ... C'est une leçon de moral et sa fait bcoup méditer.

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s'est pas parlé l'un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon c½ur, car il s'était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j'avais juste pitié d'elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J'étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l'ai trouvée entrain d'écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d'ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu'elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l'ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l'avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d'elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j'ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son c½ur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l'ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C'était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J'ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu'il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J'ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu'elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j'ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n'ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonnés.
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 03:11

Modifié le dimanche 20 janvier 2013 04:37

Application de la nouvelle grille indiciaire: Les enseignants ont mis leur menace de grève à exécution

Application de la nouvelle grille indiciaire: Les enseignants ont mis leur menace de grève à exécution

Comme annoncé depuis quelques semaines, les enseignants ont prolongé les vacances car « aucune solution n'est trouvée ». Suite aux difficultés de mise en application de la nouvelle grille indiciaire, le syndicat des instituteurs à Ngazidja a déclenché une grève.

La rentrée des classes dans le public devait se dérouler cette semaine. Mais avant même de reprendre le chemin de l'école, les enseignants ont décidé de prolonger les vacances. Cette décision est prise ce lundi matin à l'issue d'une assemblée générale des travailleurs de l'éducation. Plus de 200 enseignants ont pris part à cette réunion qui s'est déroulée hier, à l'école primaire Application de Moroni. Après différentes discussions entre les enseignants et l'organisation syndicale, il s'est avéré qu'aucune solution n'est trouvée dans leur conflit qui les oppose avec le gouvernement sur l'application de la nouvelle grille indiciaire qui rehausse les salaires des professionnels de l'éducation.

« Par rapport aux avancements que nous avons obtenus de cette nouvelle grille indiciaire, cela ne fait que nous défavoriser », lance un enseignant. Selon un responsable, « aucun texte ne prévoit le changement de la grille indiciaire à la fonction publique ». Connaissant la mésentente entre le syndicat et le gouvernement, les éducateurs maintiennent leur position voulant toutefois, « un texte de garantie ». Des négociations sont en cours avec le gouvernement, mais les enseignants ne voient aucune garantie.

Dans cette rencontre, les propos du secrétaire général ont failli mettre le feu aux poudres. « Je prends acte que l'affaire ne s'arrête pas là », déclare le secrétaire général tout en souhaitant que les négociations ne soient pas rompues. Selon ce responsable, « on reprend les cours demain, pendant que les négociations sont en cours ». Ce propos qui n'a pas plu à beaucoup d'entre eux, a fait sortir tout le monde de la salle. « Ce n'est pas ce qu'on a décidé et il n'est pas logique de reprendre les cours sans qu'une solution soit trouvée », lance un éducateur avant de sortir de la salle.

Après quelques chuchotements, les enseignants se sont encore réunis mais cette fois-ci en dehors de la salle. Aucune solution n'est trouvée que de déclencher la grève pendant qu'une discussion est en cours avec le gouvernement. « On a patienté beaucoup de temps et pourquoi aujourd'hui l'Etat ne peut pas attendre quelques semaines de grève pour faire aboutir les négociations », tel est le mot qui a clôturée la réunion, faisant comprendre à l'opinion que la grève est déclenchée jusqu'à ce que les négociations aboutissent.

Fatouma Hamada

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#Posté le mercredi 05 janvier 2011 01:50

Processus électoral: Dr Ikililou remercie ses électeurs à Mwali

Processus électoral: Dr Ikililou remercie ses électeurs à Mwali

C'est avec sirènes et escorte que le « président » Iklilou Dhoinine sillonne l'ile de Mwali, localité par localité, pour remercier ceux qui lui ont donné confiance le 26 décembre dernier, pour diriger le pays pendant les 5 prochaines années.
Après le Sud de l'ile, ce samedi Dr Ikililou accompagné de son vice président Fouad Ben Mhadji se trouvaient dans son village natal Djoiezi pour le même objectif. « Après des mois de luttes, il est de mon devoir de venir vous féliciter car nous avons gagné » a lancé d'emblée celui que l'animateur appelle déjà le Chef de l'Etat Docteur Ikililou Dhoinine.

« Ceux qui étaient derrière moi et ceux qui n'y étaient pas, nous tous devons nous tenir main dans la main pour la réalisation de nos projets » a-t-il annoncé avant de poursuivre « fini les combats politiques, place maintenant au développement du pays ». Et le candidat sorti victorieux selon la CENI sur l'ensemble du territoire, de demander au public de transmettre ce message à ceux qui ne sont pas là.

Le notable Soilihi Mohamed viendra ensuite dans une brève allocution implorer Dieu « de nous guider dans le droit chemin dans les 5 ans avenir jusqu'à ce que les autres îles disent que Mohéli doit continuer .... ». « Après 53 ans Ikililou, devient le premier président d'origine mohélienne » a rappelé Ba Soilihi, après avoir demandé à ceux de l'autre camp de laisser les querelles intestines et venir aider leur frère Iki dans la réalisation de ses ½uvres.

Ce dimanche encore, un grand défilé populaire est organisé de Djoiezi à Fomboni où tout le monde est invité sans distinction de clan politique pour venir présenter les remerciements aux habitants de la capitale mohélienne. Ceci après que le maire de Fomboni Aboulkhairi Ali Mbarka ait distribué dans toute la ville, une lettre adressée aux mohéliens pour leur présenter ses meilleurs v½ux de l'année 2010, en leur rappelant qu'en battant les candidats du régime Sambi aussi bien au scrutin du gouverneur qu'à l'élection présidentielle à Mohéli, cette île a témoigné son mécontentement au régime Sambi qui, selon lui, a menti et trahi le peuple de l'ile de Djoumbé Fatima, faisant un bref bilan des 4 ans du régime.
Mouayad Salim
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#Posté le mardi 04 janvier 2011 09:35

Ikililou Dhoinine : “ensemble ½uvrons pour le développement harmonieux de nos îles et régions”

Ikililou Dhoinine : “ensemble ½uvrons pour le développement harmonieux de nos îles et régions” Vos premières impressions à l'annonce des résultats provisoires par la Ceni qui font de vous, dans quelques semaines, le président de la République ?

Je loue et remercie Dieu le tout puissant de m'avoir prêté vie, santé et
chance. Mes premières pensées vont à l'endroit de mes regrettés père et mère. J'implore leur bénédiction qui va m'être d'un grands recours durant ces cinq prochaines années. Ensuite je tiens à remercier les centaines de milliers de personnes qui ont placé leur confiance et espoir en ma personne. Avec l'aide de Dieu, j'espère ne pas les décevoir. Je remercie le président Sambi et l'ensemble des mes collègues de la Mouvance présidentielle, de la confiance qu'ils m'ont accordée pour porter les couleurs de notre camp lors de cette grande bataille qui vient de s'achever en notre faveur. Je remercie enfin toute l'équipe qui a travaillé pendant des mois avec mois pour obtenir ensemble cette magnifique victoire.

Maintenant, vous devez vous atteler à diriger le pays. Avec quelle coalition comptez-vous le faire ?

Il est très tôt pour parler de gouvernement. La Mouvance présidentielle depuis cinq ans accueille, sans grandes difficultés, des nouvelles formations et personnalités politiques en son sein. Certains estiment que vous devez vous ouvrir à des personnalités de l'opposition insulaire. Hier comme aujourd'hui, j'ouvre largement les portes à toutes les bonnes volontés, capacités et toutes ressources animées de bonne foi pour contribuer au développement de notre pays. À mes frères et s½urs cadres, je leur lance un vibrant appel pour qu'ils viennent à moi pour qu'ensemble nous ½uvrons pour le développement harmonieux de nos îles et régions. Les élections sont terminées. Nous devons nous rassembler pour le bien des Comores.

Un plan de rattrapage pour Mohéli ?

Je répète que nos îles et régions doivent se développer d'une manière harmonieuse. Et c'est cela qui va sauver notre pays contre ces vieux démons qui ont failli emporter notre nation. Je vais ½uvrer pour le bien être de tous les comoriens. J'ai la ferme volonté d'être le président de tous les comoriens. Je crois à la nation Comorienne ! Vous envisagez une éventuelle cohabitation avec Mohamed Ali Said ?

La constitution, toute la constitution, rien que la constitution. Comment comptez-vous gérer l'épineux dossier « Combo » ?

Un président de la République n'a pas à gérer un dossier judiciaire. C'est l'affaire de la justice et dans un degré moindre de la hiérarchie militaire. Toutefois le colonel Combo est un homme qui a admirablement bien servi le pays. Il faut que la lumière soit faite rapidement sur cette affaire, c'est le dernier hommage que le pays pourrait rendre à ce courageux officier. Quant au Général et les autres, ils doivent jouir pleinement de leur présomption d'innocence conformément à la loi. Par la suite une justice équitable doit être rendue dans des délais raisonnables pour mettre fin à ce mauvais dossier qui empoisonne depuis des mois notre vie publique.

La masse salariale des agents de l'Etat ne cesse d'augmenter, de jour en jour, alors que les recettes sont stationnaires......

Vous avez raison. Depuis des années nous vivons largement au dessus de nos moyens avec des recettes mensuelles qui tournent autour de 900 millions de fc alors que nos dépenses, rien que le paiement des agents de l'Etat, doivent mobiliser près d'un milliard et demi par mois. Et l'Etat a d'autres obligations que le paiement des fonctionnaires. C'est une situation qu'il va falloir remédier au plus vite. Des solutions, il en existe mais il faut la volonté de tous. Des mesures sont à prendre rapidement notamment l'assainissement du fichier de la Fonction publique, appliquer progressivement les cadres organiques en commençant par la superstructure de l'État et autres. Nous devons bien entendu chercher à augmenter nos recettes mais surtout encourager l'initiative privée. Et enfin tout doit être fait pour faciliter l'installation des investisseurs étrangers.

Revenons à la politique, quelle place occupera l'actuel président de la République ?

( ..rires..) Il sera à la place qui sera la sienne, c'est tout. Il faut que les gens sachent que la loi n'interdisait pas au président Sambi de se porter candidat s'il avait voulu absolument se maintenir au pouvoir. Je reste convaincu qu'il aurait passé sans encombre le cap de Mohéli et se faire réélire dans l'élection générale. Si vous voulez savoir, je ne manquerais pas de lui demander conseil à chaque fois que cela s'averera nécessaire. Pour le reste, est-il besoin de réaffirmer que je serais le président de la République avec toutes les prérogatives de cette fonction que j'attends assumer pleinement.

Comment compter vous résoudre l'épineux problème des directeurs généraux et autres places convoitées ?

Il n'y a aucune raison de chasser un responsable qui fait bien son travail pour la seule raison qu'il faut changer. Par contre je ne vais pas garder quelqu'un qui a failli à sa mission tout simplement par ce qu'il a eu à m'apporter son soutien lors des élections.

La place de la femme ?

Je suis un homme sensible au genre. Il ne faut pas toutefois perdre de vue certaines réalités actuelles du pays. La femme, tout comme l'enfant, aura une place de choix dans ma politique de développement de ce pays.

Et quelle place va occuper la pandémie du Sida dans votre action à la tête de l'Etat ?

Une préoccupation de tous les instants. Je verrais avec nos partenaires ce que l'on pourra faire concrètement et rapidement plus particulièrement en matière de prévention et de prise en charge des personnes vivant avec le Vih/Sida. Sur ce point le pays peut compter sur moi et je m'engage comme sur tout ce qui touche à la santé de notre population. En outre, je rappelle à ceux qui ne la connaissent pas que, comme moi, mon épouse est une professionnelle de santé qui s'est impliquée à fond dans la lutte contre le Sida en tant qu'une des hauts cadres de la direction nationale. Elle a poursuivi cette lutte au sein de l'Association comorienne pour le bien Être de la famille dont elle a été jusqu'à une date récente la présidente nationale.

A quant la passation du pouvoir ?

Attendons d'abord la proclamation officielle des résultats. Quant à la date de cette passation, comme vous le savez sans doute, elle doit être fixée d'un commun accord entre le président sortant et moi-même.

Propos recueillis par Riziki
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#Posté le mardi 04 janvier 2011 09:31

Comores - Présentation des veux à la nation : Sambi « regrette » l'attitude de l'opposition

Comores - Présentation des veux à la nation : Sambi « regrette » l’attitude de l’opposition
Le président sortant de l'Union des Comores, A.A. Sambi
Les élections présidentielles et des gouverneurs du 26 décembre dernier ont dominé largement le message à la nation du chef de l'Etat comorien. Ahmed Abdallah Sambi demande à l'opposition de reconnaitre les résultats des urnes.

Dans son intervention du vendredi 31 décembre dernier, le théologien s'érige en avocat du juge des élections. « Le bon sens et la courtoisie interdisent d'insulter les institutions de l'Etat qui sont impliquées dans le processus électoral. On ne peut s'attaquer à la cour constitutionnelle parce que le peuple ne t'a pas fait confiance», martèle le président sortant. Le président de la république regrette aussi les attaques contre la communauté internationale et ses observateurs car « elle fait beaucoup pour se pays ».

« Il faut accepter les résultats issus des urnes ». Cette phrase est répétée plusieurs fois par le chef de l'Etat sortant dans son message à la nation à l'occasion du nouvel an. « Il est bon de concourir à une élection présidentielle mais il est merveilleux de reconnaitre la décision du peuple », poursuit-il. Le président de la république qui a focalisé son discours sur l'élection du 26 décembre n'a pas manqué de fustiger l'attitude de l'opposition. « Quand est-ce qu'on aura des élections où le perdant aura le courage d'appeler sont adversaire pour le féliciter ? », se demande Ahmed Abdallah Sambi en faisant allusion à la position du camp Fazul qui met en cause les résultats provisoires publiés par la commission électorale.

Dans son discours en langue nationale de moins de 30 minutes, le locataire de Beit Salam sur le départ, dit ne pas comprendre ce rejet de l'opposition. Selon Sambi, « il ne devait pas y avoir de réclamation car les candidats étaient tous représentés à la Ceni mais aussi dans les commissions insulaires ». Pour rappel, l'opposition continue de rejeter les résultats, encore provisoires de l'élection. Elle a même déposé plusieurs recours pour contester le verdict de la commission électorale.
Source malango
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#Posté le lundi 03 janvier 2011 11:21

2010 en Afrique : une année présidentielle

2010 en Afrique : une année présidentielle

L'année politique sur le continent africain a été marquée par de nombreuses élections présidentielles. Neuf scrutins, pour beaucoup d'irrégularités, de conflits pré et post-électoraux et un peu d'alternance politique.
Dix-sept pays africains, dont 14 anciennes colonies françaises, ont commémoré en 2010 le cinquantenaire de leur indépendance. L'heure des bilans a été aussi le théâtre des bégaiements de la démocratie sur un continent où se multiplient pourtant les élections dites démocratiques. Elles plongent pourtant souvent les pays qui les organisent dans le trouble, l'incertitude, la terreur ou pis, comme en Côte d'Ivoire actuellement, dans la crise. Victoire du candidat et du parti au pouvoir, contestations de l'opposition : une rengaine entendue à maintes reprises cette année en Afrique.
Togo, 4 mars
Après un premier report du scrutin, les Togolais ont été appelés aux urnes pour élire leur Président. Sept candidats étaient en lice, dont le chef de l'Etat sortant, Faure Gnassingbé et son principal opposant Jean-Pierre Fabre. Le 6 mars 2010, la victoire est donnée au chef de l'Etat sortant avec près de 61 % des voix. Ce résultat, proclamé par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) est contesté par ses opposants qui dénoncent de multiples fraudes.
Autres actualités électorales :

Référendum constitutionnel au Kenya, 5 août
Les Kenyans ont adopté par référendum une nouvelle Constitution censée limiter les pouvoirs du président et redresser des « injustices historiques », notamment foncières, qui avaient alimenté les violences post-électorales meurtrières de 2007.
Référendum constitutionnel au Niger, 31 octobre
Quelque peu éclipsé par de nombreux remous et des rumeurs de tentatives de coup d'Etat, la nouvelle Constitution du Niger a été approuvée par plus de 90% de la population. Elle instaure la VIIe République et prévoit, entre autres, que le Président élu dispose d'un mandat de cinq ans renouvelable « une seule fois ». De même, il accorde une « amnistie aux auteurs et co-auteurs du coup d'État du 18 février (2010, ndlr) ».
Référendum constitutionnel à Madagascar, 17 novembre )
74,13% des électeurs malgaches se sont prononcés en faveur de l'adoption d'une nouvelle Constitution au cours d'un référendum qui a mobilisé 53% des inscrits. Des résultats entachés de problèmes techniques et de défaillances au niveau de la liste électorale. Un scrutin précédé d'une tentative de mutinerie militaire par un petit groupe d'officiers, à laquelle ont rapidement mis fin les autorités.

Elections législatives et sénatoriales en Egypte, 28 novembre Le premier tour des législatives, précédé par la répression, s'est déroulé dans un climat de fraude et de violence dénoncé dans la presse et les observateurs. Les Frères musulmans, principale force d'opposition, enregistrent un cuisant revers électoral et ne remportent aucun siège. Le 5 décembre, le second tour se déroule dans les mêmes conditions. Boycotté par les principaux partis de l'opposition islamique et laïque et marqué par une très faible participation (officiellement 27%), il voit le Parti national démocrate (PND) du président Hosni Moubarak rafler 419 des 508 sièges en jeu.
Soudan, 11 avril
Après 21 ans passés à la tête du pays, le président soudanais a été reconduit avec 68,24% des voix, à l'issue des premières élections multipartites depuis 1986. Un scrutin entaché par des fraudes généralisées et des affrontements au Sud-Soudan.
Burundi, 28 juin

Pierre Nkurunziza, âgé de 45 ans et au pouvoir depuis cinq ans, a été réélu avec 91,62 %. Le Président sortant était le seul candidat en lice, à la suite du retrait des six candidats d'opposition contestant la large victoire du parti au pouvoir (CNDD-FDD) lors des élections communales du 24 mai.
Guinée, 28 juin
Après 52 ans de régimes dictatoriaux et une élection houleuse marquée par plusieurs reports du second tour, des incidents à caractère ethniques, une nouvelle ère commence en Guinée. La Cour suprême a validé dans la nuit du jeudi 2 au 3 décembre la victoire du candidat du Rassemblement du peuple de Guinée (RPG) Alpha Condé. Avec 52,52% des voix, l'opposant historique a devancé l'ancien premier ministre Cellou Dalein Diallo 47,48% qui a accepté sa défaite.
Rwanda, 9 août 2010
Au pouvoir depuis le génocide de 1994 et sans véritable opposition, Paul Kagamé, le leader du Front patriotique Rwandais (FPR), est réélu pour 7 ans avec 93% des suffrages.
Côte d'Ivoire, 31 octobre
L'élection historique qui devait sortir la Côte d'Ivoire de la crise a tourné au fiasco. Au terme du second tour qui a opposé Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, la Côte d'Ivoire se retrouve avec deux présidents.
Tanzanie, 31 octobre
La quatrième élection depuis la mise en place du multipartisme en Tanzanie a vu la victoire du président sortant, Jakaya Kikwete, réélu avec 61,17%. Un scrutin dont l'Union européenne a souligné l'atmosphère apaisée. Fait rarissime sur le continent qui mérite d'être souligne.
Burkina Faso, 21 novembre
Au terme d'une élection boudée par les Burkinabè, Blaise Compaoré a été réélu avec 80,15% des voix. Dénonçant de graves irrégularités, l'opposition a rejeté les résultats du scrutin et contester sa légalité et sa légitimité.
Comores, 26 décembre
Aux Comores, l'ancien vice-président Ikililou Dhoinine a été déclaré vainqueur avec 68,87% des suffrages. Il deviendra le premier Mohélien à accéder à la magistrature suprême de ce pays. Un scrutin validé par la Cour constitutionnelle, malgré une requête en annulation déposée par l'opposition qui a qualifié ces élections de « coup de force électoral ».
En Centrafrique, au Tchad, en RDC, au Nigeria, au Niger, en Ouganda... L'année 2011 connaîtra aussi plusieurs scrutins présidentiels.
Source http://www.afrik.com/article21610.html
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#Posté le lundi 03 janvier 2011 11:15

Elections aux Comores : Des irrégularités ont bien été constatées

Elections aux Comores : Des irrégularités ont bien été constatées

Dans leur communiqué conjoint, l'Union Africaine, la Ligue des Etats Arabes, l'Organisation de la Francophonie et l'Organisation de la Conférence Islamique déclare que les élections du deuxième tour dans l'archipel des Comores se sont déroulées de manière "libre et régulière malgré certaines irrégularités ".

La proclamation des résultats de l'élection présidentielle aux Comores mercredi dernier ainsi que des trois gouverneurs ont donné lieu à la communication d'un communiqué des observateurs internationaux présents lors du vote. Le communiqué conjoint des différentes instances internationales et africaines qualifie le scrutin du 2ème tour du 26 décembre 2010 de "libre et transparent malgré certaines irrégularités".

Ainsi, des actes de fraudes auraient été commis dans les trois îles. Des irrégularités comme "l'expulsion des observateurs nationaux" lors des opérations de dépouillement, notamment à Anjouan. Aussi, des "bulletins et listes pré-cochés, feuilles d'émargement pré-émergées, des expulsions de représentants des candidats dans certains bureaux de vote d'Anjouan ont été constatés, des arrestations arbitraires dans l'île de Mohéli", poursuit le communiqué.

Said Larifou réclame l'annulation de l'élection

Cependant, malgré ces remarques révélatrices d'un climat de tension lors du vote, l'observatoire des élections a voulu tempérer. Pour lui, les irrégularités observées "ne sont pas de nature à entacher la régularité du scrutin".

Pour rappel, le candidat du pouvoir, en la personne d'Ikililou Dhoinine est arrivé largement en tête avec 66% des suffrages exprimés, ce qui fait de Dhoinine le premier président de l'Union des Comores issu de l'île de Mohéli. Il succède au président Sambi dont il était le vice-président.

Des résultats d'élections qui, sur le point d'être validés par la Cour constitutionnelle, ne plaisent pas à l'opposition emmenée notamment par le franco-comorien Said Larifou qui réclamait, dès lundi dernier, l'annulation du vote après avoir constaté ces mêmes irrégularités.

Dimanche 2 Janvier 2011 - 16:49
Ludovic Grondin
http://www.zinfos974.com/
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#Posté le dimanche 02 janvier 2011 10:41

MESSAGE de Son Excellence Monsieur AHMED ABDALLAH MOHAMED SAMBI, Président de l'Union des Comores, à l'occasion de l'échange des V½ux du nouvel an 2011 avec le Corps Diplomatique.

MESSAGE de Son Excellence Monsieur AHMED ABDALLAH MOHAMED SAMBI, Président de l’Union des Comores, à l’occasion de l’échange des V½ux du nouvel an 2011 avec le Corps Diplomatique.
Excellences Mesdames et Messieurs, Chers Amis,

C'est toujours avec un grand plaisir que je reçois les v½ux chaleureux que vous adressez à travers moi au peuple comorien et les souhaits que vous formulez pour le progrès et la prospérité de l'Union des Comores, à l'occasion de l'avènement de chaque nouvel an.

J'ai été sensible, aux propos aimables tenus en votre nom en ce début d'année 2010, par le Doyen du Corps Diplomatique à Moroni, Son Excellence Monsieur l'Ambassadeur de France. Je voudrais vous en remercier profondément.

A mon tour, je vous adresse, au nom du Peuple et du Gouvernement Comoriens et en mon nom personnel, à vous tous, ainsi qu'à vos pays respectifs et aux organismes que vous représentez, mes v½ux sincères, de paix, de bonheur, de santé, de progrès et de prospérité.

Excellences,

L'année 2010 qui vient de s'écouler, a été pour les Comores et les Comoriens, malgré les aléas politiques et les sombres prévisions que pouvait dicter la crise financière internationale, une année positive à plusieurs égards.

L'Histoire retiendra enfin que 2010 a été l'année des élections harmonisées du Président de l'Union des Comores et des Gouverneurs des iles autonomes. Nous venons en effet, de parachever dans la paix, le processus électoral qui va permettre une alternance pacifique au Sommet de l'Etat, dans le cadre de la présidence tournante entre les iles, à l'issue de scrutins libres démocratiques et transparentes.

Mais c'est également au cours de l'année écoulée, que mon Gouvernement a poursuivi sa politique d'ouverture aux investisseurs extérieurs et a recueilli les fruits de ses efforts pour l'assainissement des Finances publiques.

Ainsi, notre pays qui a su respecter scrupuleusement les conditions de ses différents accords avec les institutions financières internationales, a atteint le point de décision lui permettant de bénéficier des annulations de dette prévues par l'initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE) et par l'Initiative multilatérale pour l'allégement de la dette. La conférence de Doha en faveur de l'Union des Comores a permis d'engranger des financements importants pour nos projets de développement de nombreux secteurs, notamment le tourisme, l'éducation et la santé.

La situation politique a continué à se stabiliser. La clarification de la répartition des prérogatives entre l'Union des Comores et les îles qui la composent, apportée par la réforme constitutionnelle que j'ai proposée au peuple comorien et qui a été approuvée par référendum en 2009, a renforcé les pouvoirs de la présidence et du parlement, et éliminé quelques-uns des chevauchements de compétences qui avaient paralysé le pays les années précédentes.

Ainsi, mon successeur aura des atouts politiques et des perspectives financières et économiques que je n'ai pas eus en 2006 lors de mon investiture, pour relancer l'économie du pays et placer celui-ci sur le chemin du développement.

Toutefois, le pays aura, en 2011, d'autres défis financiers et économiques à relever, pour lesquels il aura bien entendu besoin, plus que jamais, de l'accompagnement de tous nos partenaires bilatéraux et multilatéraux, à qui je réitère ici, la gratitude sincère du peuple comorien et ma reconnaissance personnelle, pour leur disponibilité et leur soutien infaillibles et constants.

Je ne saurais clore mon propos, sans réaffirmer le soutien de l'Union des Comores au peuple palestinien et sa solidarité envers toute initiative visant à mettre un terme à l'occupation, à la guerre en Palestine et aux souffrances du peuple palestinien.

Pour terminer, je renouvelle mes v½ux sincères, pour que la paix et la prospérité prévalent dans vos pays respectifs et pour que l'année 2011 apporte l'espoir aux populations qui sont frappées par le sort ou qui sont victimes de la violence, sur le continent africain et partout ailleurs dans le monde.

A vous personnellement et à vos honorables familles, je souhaite une très bonne et heureuse année 2011.

Je vous remercie.

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#Posté le dimanche 02 janvier 2011 10:24

Après les résultats provisoires: Mouigni Baraka appelle les Grand-comoriens à la reconstruction de l'île

Après les résultats provisoires: Mouigni Baraka appelle les Grand-comoriens à la reconstruction de l’île

Après la proclamation des résultats provisoires par la commission électorale indépendante (CENI), Mouigni Baraka Said Soilih s'exprime devant les médias nationaux et internationaux.

Après la proclamation des résultats provisoires par la commission électorale indépendante (CENI), Mouigni Baraka Said Soilih s'exprime devant les médias nationaux et internationaux. Arrivé en tête avec 58,94%, le natif de Ntsoudjini pense que cette nouvelle victoire n'est pas celle d'un clan. Il appelle à l'unité de tous afin de récolter le succès dans l'île de Ngazidja.

Mouigni Baraka n'a pas tardé à réagir après la publication des résultats qui le donne en tête de cette élection. L'enfant Orange a appelé la presse pour une déclaration solennelle chez lui, à Ntsoudjini. Habillé d'un costume noir surmonté d'une cravate orange, il se dit désormais gouverneur « de tout le monde ». « A ceux qui n'ont pas voté pour moi, je leur dis qu'il y a un seul Ngazidja. Et je serai le gouverneur de tout ses habitants quelque soit leur origine ou opinion politique », lance Mouigni Baraka dans sa première déclaration, entouré des ténors de son Mouvement.

Dans cette communication, celui qui se présente comme le chef de l'exécutif élu de Ngazidja, n'a pas oublié son adversaire grand perdant de cette élection. L'ancien receveur des douanes « rend un grand hommage pour les efforts qu'il (Ndlr : Abdouloihabi) a déployés jusqu'à attendre le second tour », dit-il avant d'ajouter «qu'il a beaucoup de respect pour lui, pour ses idées et pour les comoriens qui ont voté pour lui ». Déclarant que cette victoire n'est pas celle d'un clan contre un autre, mais plutôt « la victoire du pays, de la démocratie et des valeurs de paix et de stabilité qui nous unissent. Je ferai tout pour le tout pour préserver ces valeurs », pense le prochain locataire de Ngazi-Ngomé.

Les désaccords entre l'Union et les pouvoirs insulaires sont au c½ur de la déclaration du gouverneur du mouvement politique Orange. Il estime qu'en l'élisant « vous avez choisi de rompre avec les conflits systématiques entre l'Union et les îles et le comportement du passé. Je mettrai tout en ½uvre pour que mon mandat de 5 ans soit celui de la paix, de la stabilité de notre pays et de du changement », ajoute t-il. Car, « pendant la campagne, poursuit-il, je vous ai promis d'agir dans l'intérêt de l'île et des comoriens en général. Je veux vous dire que je ne vous trahirai pas. Je travaillerai main dans la main avec le nouveau président de l'Union ».

« Les route, l'hôpital, l'éducation, la lutte contre le chômage et l'organisation de la diaspora », telles sont selon lui, « les priorités » de son quinquennat. « Tout cela, je le ferai avec vous, dans un esprit d'union et de fraternité. Personne ne doit se sentir exclu dans cette nouvelle dynamique de notre pays », conclut-il.

Ibnou Med Abdou

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#Posté le samedi 01 janvier 2011 05:56

Fazul et Abdouloihabi contre-attaquent: L'opposition réclame l'annulation du vote

Fazul et Abdouloihabi contre-attaquent: L’opposition réclame l’annulation du vote

Vingt quatre heures après la proclamation des résultats provisoires et la publication du rapport de la communauté internationale, l'opposition demande l'annulation de certains bureaux de vote à Ngazidja et l'annulation totale à Anjouan.

Après la proclamation des résultats provisoires des élections présidentielles et des gouverneurs des îles, déclarant Ikililou Dhoinine vainqueur au niveau de l'Union et Mouigni Baraka, Mohamed Ali Said et Anissi Chamsidinen respectivement chefs des exécutifs de Ngazidja, Mohéli et Anjouan, l'opposition réagit. Face à ses résultats qui sont pour eux « nuls et non avenus ». Après le rapport de la ligue arabe, de l'Union Africaine, de l'Organisation Internationale de la Francophonie et les Pays de la Conférence Islamique, qualifiant les élections de « libres et transparentes » mais avec des irrégularités, l'opposition fustige des graves défaillances qui ont émaillé le scrutin du 26 décembre.

« Le dimanche dernier, il n'y a pas eu de vote mais un coup d'Etat électoral », affirme Said Larifou, vice-président du candidat Fazul lors de ce point de presse, avant de dire que « les résultats du second tour ne sont pas dignes d'une démocratie libérale mais d'une république bananière ». Dans cette conférence, ils ont énuméré les événements passés le jour du scrutin jusqu'à sa publication des résultats dénonçant au passage « les fraudes massives » commises dans les trois îles.

«A Ngazidja, on a trouvé des surcharges des procès verbaux et des feuilles de dépouillement remplis et signés à 14 heures », poursuit Said Larifou, avant d'ajouter qu' « à Anjouan, il n'y a pas eu de vote ». Présent dans cette conférence, le chef de l'exécutif sortant à Ngazidja, Mohamed Abdouloihabi avance que « nous ne pourrons pas reconnaitre des résultats d'élection qui n'a pas eu lieu ». Celui qui n'obtient que 40% dans ce deuxième tour insiste que « dans tous les cas, cette élection ne pouvait être reconnue ou pas car ils ne sont que provisoires. Il faut attendre la décision de la cour ».

Dans cette rencontre organisée après une prière à la place de l'Indépendance contre « les fraudeurs », l'opposition promet de saisir la cour constitutionnelle à partir de ce vendredi pour l'annulation de l'élection. « Le jour même de l'élection, on s'est réservé le droit de demander l'annulation du scrutin. Aujourd'hui, on demande cette annulation car il y a eu beaucoup d'irrégularités », poursuit le colistier de Fazul à Ngazidja. « Nous allons faire deux requêtes : une pour les irrégularités de l'élection du gouverneur et l'autre pour les présidentielles », assure ce magistrat de formation.

Dans une déclaration conjointe publiée par les deux candidats « malheureux » selon la CENI, interpelle la communauté internationale après la publication leur rapport. Il lance un appel à la communauté internationale pour « plus de fermeté dans l'application des pratiques démocratiques sans laquelle il ne peut y avoir de réconciliation véritable dans le pays ».

Mohamed Youssouf

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#Posté le samedi 01 janvier 2011 05:42

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