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Blog de mirontsy.com (mirontsi@gmail.com)

Photo de mirontsyAHCRM

mirontsyAHCRM

Description :

Droit à l'information et droit d'informer
La liberté des médias et la démocratie

Le droit d'informer et le droit à l'information sont indissociables. Ils concernent tous les aspects de la vie économique, sociale et politique.

L'information se trouve partout, elle nous envahit via de tous les médias modernes, presse, radio, TV hertzienne, TV numérique, TNT et surtout INTERNET.

Elle est d'ailleurs omniprésente, voire même oppressante. au point, qu'à peine reçue, on passe à la suivante sans prendre le temps d'y réfléchir, le tout d'une manière assez mécanique, automatique, tel un gavage médiatique.

L'information, la sur-information, est peut-être en passe de devenir le nouvel opium du peuple.

Celui qui contrôle l'information, contrôle le pouvoir, et le pouvoir a de plus en plus la fâcheuse habitude de contrôler l'information

Le rôle joué par les médias a pris une telle importance dans la société qu'ils sont souvent considérés comme le "quatrième pouvoir"

Or, plus que jamais, il est important de prendre du recul, de trier, et surtout, de réfléchir à toute cette information.


Par exemple pour vous,, vous voulez vous tenir au courant de l'actualité ...du bled ?

Ce blog est fait pour vous !

Bien entendu, vous pouvez réagir à chaque article en laissant vos commentaires, vos avis, vos coups de gueule ainsi que vos coups de coeur...
Vos questions seront le bien venue et se fera un réel plaisir de vous répondre le plus souvent possible.
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l'hymne des Comores

Beramu yi tsi pepeza,
inadi wucopozi piya
yi dawula yi venuha,
ta sibabu ya yi dini vo ya tsangaya,
hunu Komoriya
Na ri keni,na mahaba,
ya hu vendza ya masiwa yatru,
Wasi wa Komori damu ndzima,
Wasi wa Komori dini ndzima,
Ya masiwa ra zaliwa,ya masiwa ya ri leya
Mola né ari sayidiya
Na ri keni ha niya,
Ri vendze watwaniya
Mahaba ya dini na duniya,

Beramu yi tsi pepeya
Rangu mwezi sita ya juillet,
Yi dawula yi venuha,
ma siwa zatru ya katuha,
Mawore na ndzuwani,Mwali na Ngazidja,
Na ri keni,na mahaba,
Ya hu vendza,
Ya masiwa !>>!

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Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...
C'est une histoire très touchant et sa fait prendre conscience de certaines choses envers notre mariage. On passe notre temps à penser aux choses non essentielles on se plaint de nos problèmes sans savoir pourquoi nous en avons et oublie le principal ... C'est une leçon de moral et sa fait bcoup méditer.

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s'est pas parlé l'un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon c½ur, car il s'était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j'avais juste pitié d'elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J'étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l'ai trouvée entrain d'écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d'ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu'elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l'ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l'avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d'elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j'ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son c½ur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l'ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C'était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J'ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu'il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J'ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu'elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j'ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n'ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonnés.
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 03:11

Modifié le dimanche 20 janvier 2013 04:37

Opérations électorales: Le Cvt de Ngazidja en action

Opérations électorales: Le Cvt de Ngazidja en action
Dès l'arrivée du matériel électoral pour le second tour de ce 26 décembre, le Comité de Vigilance et de Transparence de Ngazidja est entré en action en suivant le paquetage et colisage des matériels vers les entrepôts régionaux.

Comme Mohéli et Anjouan, le Cvt Ngazidja se met en place pour sécuriser le vote et de mettre en place un dialogue social. Il est là pour suivre la Commission Electorale Nationale Indépendante (Ceni) et la Commission Electorale Insulaire (Cei) dans toutes ses actions pour le déroulement du scrutin. Trois jours avant le double scrutin du deuxième tour, le Cvt Ngazidja a suivi le Snap dans le colisage et le paquetage des matériels électoraux. « Les personnes qui ont fait le dépotage étaient très vigilants et respectueux. Le travail allait bon train », affirme Ali Chamasse, président du Cvt de Ngazidja.

Dans son rôle d'éviter la fraude et la corruption et veiller à la sécurisation du vote, le Cvt a suivi attentivement les opérations sur le terrain. Au cours de ce travail, on a remarqué que les bulletins étaient distribués par séries décroissantes dans chaque bureau de vote. « Grâce à cette disposition, personne ne peut faire l'objet d'un mélange des bulletins et aide à éviter les fraudes », avance Bengaly Kouyaté, expert en logistique et opérations électoraux au Pnud et aussi membre du Cvt Ngazidja.

Eparpillés ce dimanche dans les circonscriptions de Ngazidja, les membres du Cvt ont suivi avec attention le déroulement du scrutin. Sur place, ils ont assisté à l'acheminement des matériels électoraux dans les différents bureaux de vote de l'île. « A part quelques problèmes liés à la logistique, le scrutin s'est bien déroulé et sans incident », dit ce coordinateur électoral, Bengaly Kouyaté qui sillonnait la région d'Itsandra Hamanvou lors du 2ème tour des élections générales, avant d'ajouter que « Seulement l'action du paraphage des bulletins a retardé le démarrage du scrutin dans certains bureaux de vote de l'île ».

A quelques kilomètres de là, le commandant Ali Djambae, chargé de la sécurité au Cvt Ngazidja qui couvrait la zone de Bambao, parle de « vote transparent et sans embrouilles ». Jusqu'à la fermeture des bureaux de vote, le scrutin s'est déroulé dans le calme et sans incident hormis le cas d'Ifoundihe Chamboini dans la région du Mbadjini Ouest. « Un électeur voulait voter sans sa carte d'électeur mais un des assesseurs s'y est refusé, et le problème a dégénéré, nécessitant l'intervention des forces de l'ordre », précise un membre du Cvt se trouvant en place.

Mohamed Youssouf

Opérations électorales: Le Cvt de Ngazidja en action

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#Posté le mardi 28 décembre 2010 02:21

Premières tendances sorties des urnes : Ikililou Dhoinine largement en tête à l'élection de la présidence de l'Union, Mouigni Baraka (Ngazidja), Mohamed Ali Saïd (Mohéli) et Anissi Chamsidine (Anjouan) à l'élection des gouverneurs

 Premières tendances sorties des urnes : Ikililou Dhoinine largement en tête à l'élection de la présidence de l'Union, Mouigni Baraka (Ngazidja), Mohamed Ali Saïd (Mohéli) et Anissi Chamsidine (Anjouan) à l'élection des gouverneurs

Les résultats sortis des urnes et compilés dans la journée de lundi créditent le candidat de la mouvance présidentielle, Ikililou Dhoinine, d'un score qui le place sur la pus haute marche du podium devant Mohamed Fazul et Abdou Djabir. A l'élection des gouverneurs des îles, la mouvance compte deux candidats en passe d'occuper les fauteuils de gouverneurs des îles. Le candidat du mouvement Orange, affilié à la coalition soutenant Sambi, Mouigni Baraka à Ngazidja et Anissi Chamsidine à Ndzuwani. Face à cette vague de la Mouvance, seul Mohamed Ali Saïd a réussi à engranger un suffrage le maintenant à son poste de gouverneur à Mwali.

Ces résultats provisoires devront être annoncés, officiellement par la Ceni, mardi en fin de journée en attendant leur validation dans les prochains jours par la Cour constitutionnelle.

Selon des résultats partiels, tenant compte des dépouillements du vote de l'île de Ngazidja, le candidat Ikililou aurait recueilli quelques 41.874 voix (60,20%) contre 23.954 pour Mohamed Saïd Fazul (34,44%) et 3.731 voix au profit de Abdou Djabir (5,36%). A l'élection du gouverneur de l'île, Mouigni Baraka Saïd Soilih du mouvement Orange aurait obtenu 63.570 voix (58,92%) contre 44.326 voix pour le compte du gouverneur sortant, Mohamed Abdouloihabi. Ces résultats provisoires ne prennent pas en compte sept bureaux de vote de Ngazidja qui n'avaient pas encore été comptabilisés, au moment où nous mettions sous presse.

Dans l'île de Djumbe Fatima, le gouverneur sortant a obtenu la confiance de 6.859 électeurs (53,65%) alors que Ali Saïd Hilali, de la mouvance du président de la République sortant, n'a pas réussi à atteindre la barre des six milles avec près de 5.922 voix (46,33%). Des 21.500 inscrits sur les listes électorales de l'île, 62,41% ont participé à ce scrutin du 26 décembre. Pour les élections présidentielles, Mohamed Saïd Fazul est arrivé en tête avec 5.863 voix (45,34%) juste devant Ikililou Dhoinine qui a comptabilisé 5.815 voix (44,97%) suivi par Abdou Djabir qui engrange 1250 électeurs (9,67%). Le taux de participation à l'élection présidentielle dans l'île de Mwali semble être le plus élevé avec 62,40%.

A Ndzuwani pour la présidentielle, sur 53.262 suffrages exprimés pour les trois candidats en lice, Ikililou en a, à lui seul, recueillis 36.678 voix, soit près de 69%, laissant loin derrière ses deux challengers de l'opposition, avec 28% pour le mieux nanti, Fazul, et seulement 3% pour le juriste Djabir.
S'agissant de l'élection du gouverneur, là aussi, les résultats se sont révélés largement en faveur d'Anissi Chamsidine, qui a semé son adversaire Moussa Toybou, le malheureux gouverneur sortant de l'île, d'une longueur de 11.905 voix. L'enfant de Marahare a raflé près de 60% des suffrages, avec 35.827 voix récoltées. Le double scrutin de dimanche a par ailleurs été quelque peu boudé, comme cela se passe d'habitude à Ndzuwani : seuls 46% des inscrits se sont rendus dans les urnes.
Irchad et Sardou
 Premières tendances sorties des urnes : Ikililou Dhoinine largement en tête à l'élection de la présidence de l'Union, Mouigni Baraka (Ngazidja), Mohamed Ali Saïd (Mohéli) et Anissi Chamsidine (Anjouan) à l'élection des gouverneurs
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#Posté le mardi 28 décembre 2010 02:15

Modifié le mardi 28 décembre 2010 02:26

Elections aux Comores : coup de force électoral selon l'opposition.

Elections aux Comores : coup de force électoral selon l’opposition.
Dimanche matin, devant un bureau de vote de Mirontsy


Après le scrutin de dimanche, la population anjouanaise attend avec résignation la publication des résultats provisoire par la CENI annoncée pour ce mardi. Mais d'ores et déjà, la direction de campagne de la mouvance présidentielle le Baobab a publié en fin de matinée lundi, ses résultats provisoires.

Ils accréditent pour les présidentielles de l'Union, Ikililou Dhoinine en tête, avec 68,87%, Mohamed Saïd Fazul 27,99% et Abdou Djabir 3,14%. Pour ce qui est des élections du gouverneur de l'île, c'est sans surprise Anissi Chamsidine du Baobab qui détrône Moussa Toybou avec 59,99% contre 40,01% pour son adversaire. Ces chiffres se rapprochent de ceux recueillis auprès de la commission insulaire en charge des élections lundi matin, alors que plus d'une dizaine de bureaux éparpillés dans l'île n'étaient pas encore comptabilisés.

L'opposition a déjà fait savoir lors d'une conférence de presse dimanche, son intention d'introduire une requête pour annulation du scrutin à Anjouan. Il appartiendra donc à la Cour Constitutionnelle de statuer.

Dimanche soir pourtant, chaque camp a fêté sa victoire, que ça soit pour les présidentielles ou pour les élections du gouverneur à Anjouan. Se sentant affaibli par les échos qui venaient des régions où plusieurs cas de fraudes ont été signalés, les partisans de Fazul et Moussa, ont veillé à l'hôtel Al-amal où siégeaient les observateurs internationaux et le représentant spécial du président de la Commission de l'Union africaine. Ce n'est que vers 11h30 que ces partisans ont quitté les lieux devenus depuis une forteresse lourdement protégée par les forces de l'ordre.

En fin d'après midi, les partisans de Moussa Toybou chantaient toujours leur victoire « volée » selon eux, par le Baobab. La situation est incertaine. On ne sait quelle sera la réaction de ces partisans convaincus que le pouvoir aurait confisqué leur victoire. Mais au fil des heures la tension baisse et on a l'impression que la population anjouanaise s'est résignée à accepter le verdict qui tombera ce jour.

Ici on continue à croire que le pouvoir ne perd jamais une élection. Même si, avec l'arrivée au pouvoir de Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, élu démocratiquement en 2006, après un scrutin libre et transparent, il avait promis de mettre fin à toute mascarade électorale. Mais hélas, les habitudes sont têtues. Et on s'achemine vers « un énième coup de force électoral » s'obstine à croire, Mohamed Abdallah, ce partisan de l'opposition et ancien Ministre de la justice de Mohamed Bacar. Ironie du sort, les usurpateurs d'hier, deviennent les défenseurs de la transparence aujourd'hui

Par Kamal Ali Yahoudha
Source malango
Elections aux Comores : coup de force électoral selon l’opposition.
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#Posté le mardi 28 décembre 2010 02:01

Modifié le mardi 28 décembre 2010 02:34

Nouveaux Généraux comoriens: un ancien FGA éc½uré réagit:

Nouveaux Généraux comoriens: un ancien FGA éc½uré réagit:
05 Nouveaux Généraux de l'AND de Sambi;

L'Armée comorienne vient brutalement d'être étoffée en généraux, colonels, Lieutenants Colonels, Commandants, Capitaines et autres sous-officiers. Intéressons au pull de Généraux:

1/ D'abord, les impressions:
il est question de partage de gâteaux et rien d'autre.
Mwali pas servi; on peut s'attendre à de nouvelles nominations.

2/ Ensuite, la crédibilité et les interrogations:
Quelle différence entre les Galons d'un Sambi putschiste constitutionnel depuis le 26 Mai 2010 et ceux attribués par Bob Denard putschiste militaire en 1995?
Nos Officiers supérieurs ne seront-ils fiers dans leur uniforme?

3/ Enfin, la légalité:
pour un Sambi qui n'est plus en fonction, hors mandat, ces Galons peuvent-ils jouir d'une quelconque légalité?

Qui sont ces généraux?

1 - Général Ismaël Mogné Daho, originaire d'Itsandra – Ngazidja
«Illustré par le fait d'avoir réussi à protéger son camp de la Gendarmerie en laissant son Président Abdallah être assassiné en 1989».
Originaire d'Itsandra: ancien gendarme formé dans le tas; niveau scolaire 3ème de l'enseignement Général aux Comores; il a évolué dans la gendarmerie comme Homme de rang, sous-officier, Capitaine. Il est propulsé directement Colonel en 1989 pour avoir pu protéger l'entrée au Camp de la Gendarmerie à Bob Denard en laissant son Président Ahmed Abdallah être exécuté. Il a su protéger son camp de la Gendarmerie et non son Président; il dirige le département de la Protection civile sans camion extincteur, ni sapeurs pompiers, ni ambulance.

2 - Général Rocher Djamal Edine: originaire de Foumbouni – Ngazidja

«Pilote de chasse d'une Armée de l'Air qui n'existe pas»
Niveau universitaire, formé au Royaume du Maroc; c'est un Pilote de chasse pour des Comores sans Armée de l'Air, ni mirage, ni Tranzall.

3 - Général Bastui Ahmed Abdou, originaire de Mutsamudu – Anjouan

«Général sans avoir vécu de sa vie dans un quelconque camp militaire»
niveau universitaire, formé au Royaume du Maroc; il a franchi toutes les étapes jusqu'à devenir Général sans avoir vécu, ni dans le moindre camp de Gendarmerie, ni un quelconque commandement; il n'a jamais connu, ni l'arme, ni la munition.

Il est passé capitaine, Commandant, Lieutenant Colonel, Colonel puis Général en 3ans seulement (2007 – 2010), il est fils d'Ahmed Abdo M'hadji, ancien Directeur de Cabinet et ministre de la Défense du Président Ahmed Abdallah sous Bob Denard, 1978 - 1988.

4 - Général Ibrahim Abdou Rakib, originaire de Mutsamudu – Anjouan

«Un bon imam; il passe sa vie à la mosquée et non dans l'Armée»
niveau secondaire aux Comores, sortant de l'Académie Militaire du Royaume du Maroc; c'est un rescapé de l'accident d'avion civil à hauteur de Mirontsy en 2003; physiquement il ne peut plus être soldat, il ne mériterait que la retraite.


5 - Général Halidi Charif, originaire de Mutsamudu – Anjouan

«Récompensé pour avoir trahi et combattu en 2008 ses propres troupes de la FGA qui ont fait de lui Colonel»
gendarme formé dans le tas; il était promû Colonel de la FGA en 2002 en récompense des services qu'il a rendus pour la réussite du séparatisme Anjouanais. Pour être candidat aux dernières présidentielles, il était démissionnaire de l'Armée. C'est en qualité de civil qu'il est nommé Général.
un ancien FGA éc½uré




Ancien FGA éc½uré réagit
Kemal DAROUECHI
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#Posté le lundi 27 décembre 2010 18:17

Présidentielle-Comores: L'opposition dénonce des fraudes massives

Océan indien - Comores .Moroni, Comores - Les opérations de vote pour l'élection du président de l'Union des Comores et des gouverneurs des îles qui composent l'archipel tenues dimanche, ne se sont pas déroulées dans "des conditions démocratiques", a dénoncé lundi à Moroni, Abdillah Mbaé, le co-listier du Dr Abdou Djabir, l'un des deux candidats de l'opposition au scrutin.

« La démocratie a été tronquée », a dit M. Mbaé, ajoutant : « certains acquis ont été remis en cause », pour déplorer le fait que ce fut le seul candidat du pouvoir qui avait accès aux médias d'Etat.

Le co-listier de M. Djabir en Grande-Comore a fustigé ce qu'il a appelé les corrupteurs qui auraient usé « de tous les moyens, en nature et en espèces, pour acheter la conscience des gens au vu et au su de tous ».

De son côté, Mohamed Said Fazul, l'autre candidat de l'opposition qui a parlé d'un scrutin qui s'est déroulé « dans le calme et dans des conditions acceptables » à Mohéli a, en revanche, fait état de «mascarade à Anjouan» où, a-t-il affirmé, « il n'y a pas eu de vote ».

M. Fazul s'est par ailleurs plaint que ses représentants avaient été chassés des bureaux de vote en Grande-Comore et à Anjouan.

Rappelons que plus de 384.000 électeurs avaient à choisir dimanche, l'un d'entre les trois candidats issus des élections primaires du 7 novembre à Mohéli, la plus petite île de l'archipel, dont le tour est arrivé pour présider aux destinées de l'Union des Comores pour les cinq ans à venir.

Dans le cadre de la Constitution de 2001 qui a instauré une présidence tournante entre les trois îles de l'archipel (Mohéli, Grande-Comore et Anjouan), chaque candidat s'est présenté avec trois vice-présidents issus des trois îles.

Rappelons que l'île de Mohéli succède à Anjouan après la présidence de Grande-Comore avec le colonel Azali Assoumani de 2002 à 2006.

Pana 27 décembre 2010
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#Posté le lundi 27 décembre 2010 17:54

Election aux Comores : Un scrutin émaillé de fraudes à Anjouan

Election aux Comores : Un scrutin émaillé de fraudes à Anjouan
Bureau de vote à Barakani où l'on a voté dans le calme

Au-delà du nom du prochain président de l'Union des Comores, la grande question concernant ce scrutin résidait dans la capacité du pays à organiser des élections transparentes et sans taches. Il semblerait que ce ne soit pas encore le cas cette fois-ci.


Il est 16h00 et les échos que nous recevons des différents bureaux de vote d'Anjouan ne prédisent rien de bon. «Les élections sont entachées de fraudes.» Cette phrase est lâchée par un membre du Comité de Vigilance et de Transparence que Malango a rencontré à l'entrée du portail de l'école primaire de Mirontsy, hermétiquement gardé par des éléments armés de la gendarmerie, qui filtrent les électeurs « pour prévenir d'éventuels troubles », nous confie l'un d'eux.

Ce n'est cependant pas le sens que la foule, qui rôde dans les parages, donne à ce « barrage express », destiné selon elle à « entretenir les pratiques frauduleuses ».

Dans la matinée, les observateurs de la ligue arabe ont été témoin d'un cas généralisé de fraude dans cette localité voisine de Mutsamudu. Dans presque tous les bureaux de cette ville, les listes étaient déjà « pré-cochées ». Ce qui veut dire qu'à 8h00 du matin, une grande partie de l'électorat mirontsien avait déjà voté sans s'être présenté devant l'urne. « Incroyable ! », nous dira Karim, un électeur de Mirontsy I. « Dès l'ouverture de ce bureau, j'y étais avec des amis et on a compté moins de 20 votants. Et pourtant, sur la liste d'émargement, on avait déjà coché plus de 150 inscrits. » Ce constat a été fait dans tous les bureaux de Mirontsy. L'opposition voit la main du pouvoir, qui avait pris le soin de désigner, à quelques jours du scrutin, comme présidents et secrétaires des bureaux des partisans de la mouvance présidentielle dans les bureaux des circonscriptions acquises à l'opposition.

C'est aussi le cas à Moya.

A Moya, un membre du Comité de Vigilance et de Transparence des Elections, Election aux Comores : Un scrutin émaillé de fraudes à Anjouan   organe mis en place le Programme des Nations Unies pour le Développement, fait état d'un bourrage massif dès le début des opérations électorales. « J'ai failli être arrêté à Moya par les forces de l'ordre qui ne voulaient pas que je fasse mon travail. Un officier responsable de la sécurité du scrutin dans la région a même saisi mon téléphone portable où j'avais stocké des photos compromettantes pour eux, car ce sont ces gendarmes qui orchestraient ces bourrages. Il a effacé mes photos malgré le badge et le papier officiel qui attestent que je suis membre du Comité de vigilance et que mon devoir était de fournir des preuves sur tout incident que nous rencontrons sur le terrain. » Mohamed Nadhoiri, car il s'agit de lui, dit avoir fui Moya avec son collègue pour rentrer à Mutsamudu car selon lui « notre sécurité était menacée par ceux-là même qui devaient assurer notre sécurité. »

Même son de cloche à Hajoho dans la région de Bambao Mtsanga et à Mremani dans le Nyumakele.

Ces cas de fraude qui ont été rapportés par nos informateurs dans toutes les régions d'Anjouan ne représentent qu'une partie des cas d'irrégularités.

A moins de deux heures de la fermeture des bureaux de vote, on ne sait qui remportera ce scrutin. Quelle sera la position des observateurs internationaux qui sont en nombre sur le terrain? Car si à Grande Comore et à Mohéli, le scrutin semble s'être déroulé sans incident majeur, à Anjouan le scrutin est émaillé de fraudes massives, chaque camps accusant l'autre de tricher, comme il se doit.


Source malango

Election aux Comores : Un scrutin émaillé de fraudes à Anjouan
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#Posté le lundi 27 décembre 2010 02:37

Election présidentielle aux Comores : l'opposition dénonce une fraude massive sur l'île d'Anjouan

Election présidentielle aux Comores : l’opposition dénonce une fraude massive sur l'île d’Anjouan
Des agents électoraux comptent les voix dans un bureau
situé à Moroni, le 26 décembre 2010.

Le second tour de l'élection présidentielle et des gouverneurs de chacune des trois îles de l'archipel des Comores qui s'est tenu dimanche 26 décembre 2010, s'est déroulé dans un calme relatif malgré des dénonciations de fraude. Ikililou Dhoinine, le vice-président sortant, et candidat du pouvoir à la magistrature suprême favori après sa victoire au premier tour, faisait face à deux candidats de l'opposition : Mohamed Saïd Fazul, ancien chef de l'exécutif de Mohéli, et Abdou Djabir. Des candidats qui dénoncent une fraude massive sur l'île d'Anjouan.

Juste à la fermeture des bureaux de vote, un concert de klaxons a commencé dans les rues de Moroni. Chaque camp crie victoire. Pourtant, au moins une semaine est nécessaire pour connaître les résultats de la Commission électorale. Le taux exact n'est pas encore connu. Mais on constate tout de même une participation élevée par rapport au premier tour.

« Mascarade électorale »

Si à la Grande Comore et à Mohéli, l'élection s'est déroulée dans un calme relatif, à Anjouan, en revanche, la journée de vote était chargée. Des observateurs interrogés au téléphone mentionnent plusieurs cas douteux dans cette île natale du chef de l'Etat sortant.

Alors que le porte-parole du gouvernement parle d'incident minime, l'opposition évoque une mascarade électorale. L'un des candidats, Mohamed Saïd Fazul annonce qu'il ne reconnaîtra pas les résultats d'Anjouan, car les consignes de la CENI n'étaient pas respectées, surtout en ce qui concerne le positionnement des militaires.

L'opposition a déjà écrit à la Cour constitutionnelle pour soulever ces cas présumés de fraude.

Source http://www.rfi.fr/afrique/20101227
Election présidentielle aux Comores : l’opposition dénonce une fraude massive sur l'île d’Anjouan
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#Posté le lundi 27 décembre 2010 02:15

Abeïd qui passe en appel ce matin risque d'être libéré

Abeïd qui passe en appel ce matin risque d'être libéré

L'ancien chef séparatiste anjouanais Saïd Abeïd Abderemane passe à la cour d'appel du tribunal de Mutsamudu à 9H (heure des Comores). C'est suite au rejet de sa demande de libération au tribunal d'instance de Mutsamudu.

Des bruits courent déjà à Anjouan que l'ancien officier de l'armée française "sera liberé aujourd'hui".
Certains observateurs parlent que l'enjeu électoral étant passé, "il n'est pas un élement génant politiquement". Ensuite, le président actuel de la cour d'appel de Mutsamudu, Monsieur Fateh El-Yachroutu le connait bien (son fils était le mari de la nièce d'Abeïd)puisqu'il occupait ses fonctions quand Abeïd faisait la pluie et le bon temps à Anjouan de 1998 à 2002.

Ensuite la famille Abeïd qui a beaucoup de moyens financiers constitue un lobby influent à Anjouan. On commente que Fazul et Moussa Toybou ont fait des bons scores aux élections d'hier pour sanctionner les autorités comoriennes d'avoir arrêté Abeïd et son bras militaire Askalane originaire de cette ville voisine de Mutsamudu. D'ailleurs l'avocat d'une des victimes (Antuaba) Maître Absoulatuf évitait de passer à Mirontsy ou de s'exposer à Mutsamudu "menacé indirectement" par Askalane et Allaoui Wa Bapouroukou.

Fait grave: La personne condamnée pour viol avec premeditation "a eu le kilo" d'appeler Antuaba en France pour la menacer de "livrer une pièce compremetante" au tribunal ce matin si elle "ne se désiste pas". Evidemment, l'avocat d'Antuaba n'a pas reçu "cette pièce". Le reponsable du centre penitentier de Koki reconnait que c'est "un des surveillants corrompus" qui a chargé, son portable, cherché le numéro d'Antuaba en France et le donner au condamné pour l'appeler. C'est pour lui "faire pression ou la torturer d'avantage".

Le responsable de la prison confirme avoir fait un rapport au ministère de la justice. L'avocat d'Antuaba va demander que ce coupable soit sévèrement sanctionné.
Nous demandons aux autorités comoriennes de transferer ces "prisonniers spéciaux" au centre penitenttier de Moroni pour éviter ces moyens de pression et empêcher une fois de plus qu'ils s'échapent facilement pour aller à Mayotte. Abeïd a l'habitude de faire les "aller-retour en Kwassa-Kwassa" en defiant les autorités comoriennes.

Les hommes de paix et de liberté disent que si Abeïd est libéré, c'est une atteinte au pouvoir judiciaire et une nouvelle "humiliation" des victimes de viol, tortures, tentatives d'assassinat".
Certaines personnes vont jusqu'à dire que si c'est le cas, "il faut se faire justice soi-même", entendez par là corrompre des gens pour les agresser physiquement ou les blesser. Ce qui va occasionner des reglèments de comptes et des degats collateraux entre certaines familles de Mutsamudu ou d'Anjouan.
Un des responsables de SOS DEMOCRATIE COMORES va assister à ce procès et va demander à intervenir comme temoin. Si le président de la Cour d'Appel va lui autoriser à parler.

Nous apprenons que vu les covinances du président de la Cour d'appel avec Abeïd, c'est Rafik, c'est le 1er Consieller à la Cour d'Appel qui va présider cette audience.


Affaire à suivre.
sosdemocratiecomores
le 27 décembre 2010
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#Posté le lundi 27 décembre 2010 02:07

Présidentielle : l'opposition dénonce des "fraudes massives"

Présidentielle : l'opposition dénonce des "fraudes massives"
Un Comorien devant des affiches électorales, le 26 décembre 2010 à Moroni.


Les électeurs comoriens ont voté dimanche pour élire leur nouveau président et désigner les gouverneurs des trois îles de cet archipel de l'océan Indien, dans un double scrutin marquée par une "fraude massive" sur l'île d'Anjouan, selon l'opposition.

Les opérations de vote ont débuté vers 8H00 locales (5H00 GMT) dans les trois îles de l'Union, Grande Comore, Anjouan et Mohéli, où l'affluence a été variable d'une région à l'autre.

Dans la capitale Moroni, les électeurs semblaient s'être peu mobilisés jusqu'à la clôture des bureaux de vote aux alentours de 18H00 locales, alors que l'affluence a été plus grande en province, selon des témoins.

"Ce n'est pas un vote, mais une mascarade"

Dés la fin de matinée, l'opposition s'est inquiété d'incidents dans plusieurs localités d'Anjouan, avant de dénoncer dans l'après-midi une "fraude massive" orchestrée par le pouvoir sur cette île, avec bulletins volés, bourrages d'urnes et assesseurs de l'opposition chassés des bureaux.

"Ces troubles se sont déroulés dans les localités où le candidat du pouvoir était en mauvaise position, pour pouvoir faire ensuite annuler les résultats, (...) ce sont des actions ciblées", a affirmé Saïd Larifou, au nom de l'opposition.

"Ce n'est pas un vote, mais une mascarade", a dénoncé pour sa part le chef de l'opposition locale, Mohamed Djanfaari.

"En dehors (de la capitale de l'île) Mutsamudu, il n'y a pas un bureau de vote qui n'ait reçu la visite de militaires venus remplir les urnes", a-t-il accusé.

Quelque 384.358 électeurs étaient appelés à départager les trois premiers candidats arrivés en tête lors du premier tour le 7 novembre, avec comme favori le vice-président et dauphin désigné du chef de l'Etat sortant Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, Ikililou Dhoinine, qui avait rassemblé 28,19% des suffrages.

En vertu d'un système de présidence tournante instauré par la Constitution de 2001 entre Mohéli, Grande Comore et Anjouan, ces trois candidats sont issus de la petite Mohéli, qui verra pour la première fois l'un de ses ressortissants prendre la tête de l'Union des Comores depuis son indépendance en 1975.

Un des principaux enjeux de l'élection est de parachever le processus de réconciliation nationale engagé depuis 2001, sous l'égide de l'Union africaine (UA), à la suite de la crise séparatiste de l'île d'Anjouan en août 1997.

Le scrutin doit aussi mettre un terme à une crise politique née de la prolongation controversée du mandat du président Sambi au-delà du 26 mai dernier, une mesure vivement contestée par l'opposition et la population de Mohéli.

Comme lors du premier tour, la présidentielle de ce dimanche était couplée avec l'élection des gouverneurs des îles, avec à chaque fois un candidat du pouvoir et un candidat de l'opposition en lice, à l'exception d'Anjouan, d'où est originaire le président Sambi, et où les deux prétendants appartiennent au camp présidentiel.

La désignation de ces gouverneurs, élus comme le chef de l'Etat pour cinq ans, est un enjeu politique majeur à l'échelle de chaque île.

Le vote du 7 novembre avait été marqué par des difficultés logistiques, et "quelques manquements", selon une mission internationale d'observation électorale, alors que des candidats d'opposition avaient déjà dénoncé des "fraudes".

La Ceni avait pris des mesures pour prévenir de nouveaux problèmes, mais certains de ses responsables reconnaissaient en coulisses être préoccupés par la situation sur Anjouan.

Comme lors du premier tour, une mission internationale d'observateurs de l'Union Africaine (UA), de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), et de la Ligue arabe, a été déployée pour assister au vote.

La commission électorale n'a par ailleurs donné aucune indication sur les horaires ou la date de publication des premiers résultats provisoires et le taux de participation.

source jeune afrique
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#Posté le dimanche 26 décembre 2010 17:10

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