
Le mercredi 29 décembre, la commission Nationale Électorale a publié ce qui seraient les résultats des présidentielles aux Comores. Grâce aux reportages de la chaine nationale comorienne ORTC et de la chaine française RFO, les hommes avertis ses sont aperçus de la supercherie. En réalité, il n y a pas eu élections aux Comores et la question que l'on se pose : pourquoi les Comores sont tombés si bas? Les mécanismes de la fraude massives ont été clairement prédéfinis au vu et au su de tout le monde. trois exemples les illustrent si bien.
Il était remarquable aux moments où les candidats sont allés votés, qu'il n' y avait pas d'enveloppes dans ces élections. Les bulletins étaient pliés, non vérifiés et déposés aux urnes par l'électeur. Qui peut certifier que des électeurs n'ont pas déposés, un ou plusieurs bulletins en même temps alors qu'une fois pliés, il était impossible d'en déterminer le nombre. Pour faire éliminer son adversaire, la combine consistait à disposer de bulletins, de les distribuer à ses propres électeurs, dans les bureaux où on n'est sûr de perdre, de les doubler au moment du vote et le tour est joué.
Après le scrutin, les dépouillements montreront qu'il y a plus de votants que personnes cochées, le bureau est donc éliminé d'office. Avec ce même système si au contraire, le président et le secrétaire sont acquis, le contraire se produit. Une fois l 'électeur a déposé les deux bulletins, le secrétaire coche deux personnes. Au moment du dépouillement, il y a autant de personnes votant que de bulletins.
Pour que cette fraude diabolique puisse être au point, il ne fallait qu'une chose: disposer par avance des bulletins et des procès verbaux vierges. Cela a donc été le rôle de Francis MADEIRA, ce bandit venu du Mozambique et qui a fait des élections comoriennes des dix dernières années, sa caisse viagère. Il a fourni aux éléments de la CNEI, dont les observateurs internationaux, comme le ministère des élections, ont relevé les dysfonctionnements, tous les documents nécessaires à cette fraude massive (bulletins, procès verbaux, listes d'émargement).
Après que le forfait soit établi, il s'est empressé de minimiser l'ampleur de la fraude, afin d'éviter une annulation pure et simple des élections.
Il va de soi, que compte tenu du fait que les cadres comoriens ont décidé de mettre en veilleuse toute leur intelligence, pour confier le destin du peuple à des étrangers, alors même les connaissances les plus élémentaires, comme des enveloppes dans une élection, disparaissent.
Certains experts et observateurs nationaux diront en quoi une enveloppe pourrait-elle limiter une fraude ? La réponse est évidente. Si un électeur met deux bulletins dans une enveloppe, ils sont considéré comme nuls et la décompte du nombre de votant se fait sur le nombre d'enveloppes déposées, donc conformé à la réalité de la participation.
Doubler des bulletins pour faire éliminer un bureau ou augmenter le nombre de partisans votants n'aurait pas de sens.
Face à cette réalité, la tâche de la Cour constitutionnelle est rude. Soit elle prend le risque de confier le destin du pays à des gens fraudeurs, connus de tous, à l'intérieur comme à l'extérieur avec les conséquences que cela engendre, ou bien, elle remet les pendules à l'heure avec comme risque de reporter à plus tard, l'élection d'un véritable Président de l'Union.
Les commentaires qui ont suivi, les remarques des observateurs européens, de la part des autorités comoriennes ont été aussi désinvoltes. Comment comprendre, qu'un ministre des affaires étrangères, qui disposaient de 4 ans et demi, pour réunir les fonds capables d'organiser une élection, sans y parvenir, peut-il se permettre de critiquer des observateurs dont leur seul reproche est d'avoir observé ? Va-t-on falloir trouver un autre terme pour désigner ces experts nationaux et internationaux venus exprès justement non pas pour veiller au bon déroulement du scrutin car ce n'est pas leur rôle, mais de regarder comment le scrutin s'est déroulé, s'il était libre, démocratique et sans fraudes majeures ?
Sans prétendre voler au secours de ces européens qui ont dit ce qu'ils ont vu, mais il est regrettable, que les Comores, réduites à la mendicité pour organiser ses propres élections, s'octroient le pouvoir de dicter à ceux-là même qui ont financé les opérations , ce qu'ils doivent dire aux opinions internationales sur le déroulement du scrutin?
S'agissant de l'amalgame entre la question de l'île comorienne de Mayotte et l'appréciation d'un scrutin, les conneries ont dépassés les limites. Quelle sera l'opinion du simple citoyen, qui a vu, il y a à peine deux mois, un Président, donner l'autorisation à son ministre des affaires étrangères, de signer un accord confiant la sécurité intérieure et extérieure à un pays que l'on qualifie d'ennemi, sans comprendre que ce Président comme sont ministre sont des fous farfelus?
Quel citoyen, qui connait le parcours politique d'un Moutapha Said Cheikh, déserteur, puisque absent des véritables combats patriotiques, en 1975, en 1976 et durant toute la période pré-indépendance, comprendra que ses expressions ont un sens ? Moustapha croit-il que nos mémoires sont si courtes, pour lui rappeler que c'est bien la France , qu'il considère ennemi, à qui il a confié sa santé notamment lors de son passage pour bilan de santé à l'hôpital du Val de Grâce, n'est-ce pas?
Messieurs, quand on a rien à dire, la meilleure façon est de se taire, puisque les Comores ne sont pas un bien personnel, mais un bien collectif, qui appartient à ceux qui osent aller au charbon quand il faut et comme il faut. Les discours n'ont jamais libérés des peuples, ce ne sont que les actes, et croyez moi les vôtres, sont loin du compte.
Source ntryngui future
Il était remarquable aux moments où les candidats sont allés votés, qu'il n' y avait pas d'enveloppes dans ces élections. Les bulletins étaient pliés, non vérifiés et déposés aux urnes par l'électeur. Qui peut certifier que des électeurs n'ont pas déposés, un ou plusieurs bulletins en même temps alors qu'une fois pliés, il était impossible d'en déterminer le nombre. Pour faire éliminer son adversaire, la combine consistait à disposer de bulletins, de les distribuer à ses propres électeurs, dans les bureaux où on n'est sûr de perdre, de les doubler au moment du vote et le tour est joué.
Après le scrutin, les dépouillements montreront qu'il y a plus de votants que personnes cochées, le bureau est donc éliminé d'office. Avec ce même système si au contraire, le président et le secrétaire sont acquis, le contraire se produit. Une fois l 'électeur a déposé les deux bulletins, le secrétaire coche deux personnes. Au moment du dépouillement, il y a autant de personnes votant que de bulletins.
Pour que cette fraude diabolique puisse être au point, il ne fallait qu'une chose: disposer par avance des bulletins et des procès verbaux vierges. Cela a donc été le rôle de Francis MADEIRA, ce bandit venu du Mozambique et qui a fait des élections comoriennes des dix dernières années, sa caisse viagère. Il a fourni aux éléments de la CNEI, dont les observateurs internationaux, comme le ministère des élections, ont relevé les dysfonctionnements, tous les documents nécessaires à cette fraude massive (bulletins, procès verbaux, listes d'émargement).
Après que le forfait soit établi, il s'est empressé de minimiser l'ampleur de la fraude, afin d'éviter une annulation pure et simple des élections.
Il va de soi, que compte tenu du fait que les cadres comoriens ont décidé de mettre en veilleuse toute leur intelligence, pour confier le destin du peuple à des étrangers, alors même les connaissances les plus élémentaires, comme des enveloppes dans une élection, disparaissent.
Certains experts et observateurs nationaux diront en quoi une enveloppe pourrait-elle limiter une fraude ? La réponse est évidente. Si un électeur met deux bulletins dans une enveloppe, ils sont considéré comme nuls et la décompte du nombre de votant se fait sur le nombre d'enveloppes déposées, donc conformé à la réalité de la participation.
Doubler des bulletins pour faire éliminer un bureau ou augmenter le nombre de partisans votants n'aurait pas de sens.
Face à cette réalité, la tâche de la Cour constitutionnelle est rude. Soit elle prend le risque de confier le destin du pays à des gens fraudeurs, connus de tous, à l'intérieur comme à l'extérieur avec les conséquences que cela engendre, ou bien, elle remet les pendules à l'heure avec comme risque de reporter à plus tard, l'élection d'un véritable Président de l'Union.
Les commentaires qui ont suivi, les remarques des observateurs européens, de la part des autorités comoriennes ont été aussi désinvoltes. Comment comprendre, qu'un ministre des affaires étrangères, qui disposaient de 4 ans et demi, pour réunir les fonds capables d'organiser une élection, sans y parvenir, peut-il se permettre de critiquer des observateurs dont leur seul reproche est d'avoir observé ? Va-t-on falloir trouver un autre terme pour désigner ces experts nationaux et internationaux venus exprès justement non pas pour veiller au bon déroulement du scrutin car ce n'est pas leur rôle, mais de regarder comment le scrutin s'est déroulé, s'il était libre, démocratique et sans fraudes majeures ?
Sans prétendre voler au secours de ces européens qui ont dit ce qu'ils ont vu, mais il est regrettable, que les Comores, réduites à la mendicité pour organiser ses propres élections, s'octroient le pouvoir de dicter à ceux-là même qui ont financé les opérations , ce qu'ils doivent dire aux opinions internationales sur le déroulement du scrutin?
S'agissant de l'amalgame entre la question de l'île comorienne de Mayotte et l'appréciation d'un scrutin, les conneries ont dépassés les limites. Quelle sera l'opinion du simple citoyen, qui a vu, il y a à peine deux mois, un Président, donner l'autorisation à son ministre des affaires étrangères, de signer un accord confiant la sécurité intérieure et extérieure à un pays que l'on qualifie d'ennemi, sans comprendre que ce Président comme sont ministre sont des fous farfelus?
Quel citoyen, qui connait le parcours politique d'un Moutapha Said Cheikh, déserteur, puisque absent des véritables combats patriotiques, en 1975, en 1976 et durant toute la période pré-indépendance, comprendra que ses expressions ont un sens ? Moustapha croit-il que nos mémoires sont si courtes, pour lui rappeler que c'est bien la France , qu'il considère ennemi, à qui il a confié sa santé notamment lors de son passage pour bilan de santé à l'hôpital du Val de Grâce, n'est-ce pas?
Messieurs, quand on a rien à dire, la meilleure façon est de se taire, puisque les Comores ne sont pas un bien personnel, mais un bien collectif, qui appartient à ceux qui osent aller au charbon quand il faut et comme il faut. Les discours n'ont jamais libérés des peuples, ce ne sont que les actes, et croyez moi les vôtres, sont loin du compte.
Source ntryngui future
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