
Le président sortant de l'Union des Comores, A.A. Sambi
Les élections présidentielles et des gouverneurs du 26 décembre dernier ont dominé largement le message à la nation du chef de l'Etat comorien. Ahmed Abdallah Sambi demande à l'opposition de reconnaitre les résultats des urnes.
Dans son intervention du vendredi 31 décembre dernier, le théologien s'érige en avocat du juge des élections. « Le bon sens et la courtoisie interdisent d'insulter les institutions de l'Etat qui sont impliquées dans le processus électoral. On ne peut s'attaquer à la cour constitutionnelle parce que le peuple ne t'a pas fait confiance», martèle le président sortant. Le président de la république regrette aussi les attaques contre la communauté internationale et ses observateurs car « elle fait beaucoup pour se pays ».
« Il faut accepter les résultats issus des urnes ». Cette phrase est répétée plusieurs fois par le chef de l'Etat sortant dans son message à la nation à l'occasion du nouvel an. « Il est bon de concourir à une élection présidentielle mais il est merveilleux de reconnaitre la décision du peuple », poursuit-il. Le président de la république qui a focalisé son discours sur l'élection du 26 décembre n'a pas manqué de fustiger l'attitude de l'opposition. « Quand est-ce qu'on aura des élections où le perdant aura le courage d'appeler sont adversaire pour le féliciter ? », se demande Ahmed Abdallah Sambi en faisant allusion à la position du camp Fazul qui met en cause les résultats provisoires publiés par la commission électorale.
Dans son discours en langue nationale de moins de 30 minutes, le locataire de Beit Salam sur le départ, dit ne pas comprendre ce rejet de l'opposition. Selon Sambi, « il ne devait pas y avoir de réclamation car les candidats étaient tous représentés à la Ceni mais aussi dans les commissions insulaires ». Pour rappel, l'opposition continue de rejeter les résultats, encore provisoires de l'élection. Elle a même déposé plusieurs recours pour contester le verdict de la commission électorale.
« Il faut accepter les résultats issus des urnes ». Cette phrase est répétée plusieurs fois par le chef de l'Etat sortant dans son message à la nation à l'occasion du nouvel an. « Il est bon de concourir à une élection présidentielle mais il est merveilleux de reconnaitre la décision du peuple », poursuit-il. Le président de la république qui a focalisé son discours sur l'élection du 26 décembre n'a pas manqué de fustiger l'attitude de l'opposition. « Quand est-ce qu'on aura des élections où le perdant aura le courage d'appeler sont adversaire pour le féliciter ? », se demande Ahmed Abdallah Sambi en faisant allusion à la position du camp Fazul qui met en cause les résultats provisoires publiés par la commission électorale.
Dans son discours en langue nationale de moins de 30 minutes, le locataire de Beit Salam sur le départ, dit ne pas comprendre ce rejet de l'opposition. Selon Sambi, « il ne devait pas y avoir de réclamation car les candidats étaient tous représentés à la Ceni mais aussi dans les commissions insulaires ». Pour rappel, l'opposition continue de rejeter les résultats, encore provisoires de l'élection. Elle a même déposé plusieurs recours pour contester le verdict de la commission électorale.
Source malango
Watwania, Posté le lundi 03 janvier 2011 13:34
N'importe quoi, C'est triste pour l’opposition Mna chema es toujours Clown. C’est regrettable pour lui. Pourquoi vous n’avez pas réussi à convaincre la population à vous voter. La population a compris que vous êtes des manipulateurs et des affames du pouvoir. Vous nous laissez tranquille avec votre opposition pourrie. La France ne vient pas distribuer du pouvoir.