Abonne-toi à mon blog ! (1 abonné)
Retour au blog de mirontsyAHCRM
COMORES : LA SOCIETE GULF com remerciée La société n'a pas estimé devoir opérer au port de Mutsamudu, comme le souhaitait la partie comorienne. Pour appuyer son refus de revoir à la hausse ces redevances, la société évoque des « charges énormes » qu'elle supporte. « Pour nous tromper, ils ont surchargé leurs états financiers de façon fantaisiste, avec des charges fictives » croit savoir un membre de la commission. Les dirigeants de Gulf...
jaacomoresanjouan, Posté le jeudi 25 août 2011 13:42
Plainte Contre le présidium – Sambi: 08 Chefs d'inculpation. PAR LE Front Anjouanais pour les Réformes et le Progrès (FARP)
Front Anjouanais pour les Réformes et le Progrès (FARP)
Mieux vaut savoir que douter »
..................
Plainte Contre
Le présidium – Sambi
(Sambi et ses deux vices présidents Ikililou et Idi Nadhoim)
....................
Objet: 08 Chefs d'inculpation contre le présidium -Sambi
Le présidium – Sambi doit répondre de ses délits commis contre l'Ile d'Anjouan et les Anjouanais. Sambi, Ikililou et Idi Nadhoim ont été élus collégialement, ils doivent répondre collégialement de leurs 08 Chefs d'inculpation autour du débarquement d'Anjouan de Mars 2008, un débarquement d'Anjouan qui a bien été prémédité, précédé de manœuvres dilatoires lancées dès Janvier 2007:
1er chef d'inculpation: crapulerie:
- Dès Janvier 2007, le présidium - Sambi initie et exécute une révision constitutionnelle avec comme unique objectif, déchoir l'Exécutif d'Anjouan des Pouvoirs constitutionnels de convocation des scrutins.
- En fait, il allait apparaitre que la démarche était destinée à boycotter le calendrier du renouvellement du mandat du président de l'Ile et à démettre malhonnêtement le président Bacar de sa fonction présidentielle d'Anjouan.
- Chose faite, car le scrutin n'était convoqué dans les délais et le présidium - Sambi allait tenter sans succès imposer le départ de Bacar en Mars 2007;
2ème Chef d'inculpation: machiavélisme:
- En Avril 2007, Sambi instruit sans succès une agression militaire conduite par l'AND contre la FGA pour déposer Mohamed Bacar;
- l'opération échoue et Sambi allait se comporter soi disant victime alors que c'est lui l'agresseur sanguinaire;
3ème chef d'inculpation: duperie:
- En Mai 2007, le présidium - Sambi engage la Communauté Internationale dans une médiation d'apaisement avec en contrepartie le départ de Mohamed Bacar de la Présidence d'Anjouan avant la convocation de l'élection présidentielle de l'Ile;
- chose faite, car Bacar était obligé par la Communauté Internationale à déguerpir Dari Nadja pour satisfaire le bon vouloir de Sambi;
4ème Chef d'inculpation: tromperie:
- Le 05 Juin 2007, le présidium - Sambi tente sans succès une intrusion militaire dans l'Ile où il n'était même pas interdit de séjour, une intrusion avec le support de Madeira et sa médiation de l'UA (nous y reviendrons!); il y a eu de sérieux dégâts matériels; une intrusion qui était destinée à boycotter le scrutin du 10 Juin 2007;
5è Chef d'inculpation: manipulation
- Le 08 Juin 2007, le présidium – Sambi signe un décret de report du scrutin d'Anjouan en violation de la Constitution et du Code Electoral; un report non exécuté par les organes électoraux régionaux.
- Il faudrait noter que Bacar était démissionné depuis le 11 Mai 2007;
6ème Chef d'inculpation: mensongerie :
- Dès le 11 Juin 2007, suite à la tenue du scrutin à Anjouan malgré son fameux décret de report, le présidium – Sambi s'était livré à fomenter des rapports accusant les Autorités d'Anjouan d'être auteurs de soi disant exécutions sommaires et tortures qui n'ont jamais eu lieu; sinon
- où sont les tombes des exécutés; et les handicapés à vie, les violées?
7ème Chef d'inculpation: criminalité:
- En Mars 2008, le présidium - Sambi recrute des soldats expatriés Tanzaniens et Soudanais sous la bannière de l'UA de Madeira et les adjoint à l'Armée Nationale (AND) pour mener les fusillades mortelles et sanguinaires devant faire plier dans le sang l'Ile d'Anjouan et les Anjouanais au bon vouloir de Sambi;
- à la base de ce lobbying, des rapports mensongers, truqués...;
8ème Chef d'inculpation: sadisme:
- Le 25 Mars 2007 et suivant, le présidium – Sambi s'est livré à des exaltions inhumaines sans précédent, des tués, des mis en cavale sans retour, des déportations, des exiles, et autres harcèlements qui seront soulevés le jour du procès.
Amnistie d'Ikililou: un camouflet!
Le présidium –Sambi cherche-t-il à s'amnistier!
Le présidium – Sambi face à sa haute trahison pour avoir fait brader la citoyenneté comorienne et mis aux enchères Comores Télécom, Ikililou l'acteur du débarquement d'Anjouan croit dissimiler toutes ces infractions à travers un soi disant amnistie destinée aux Autorités d'Anjouan déposées dans le sang le 25 Mars 2008.
Le Bureau Politique du FARP
jaacomoresanjouan, Posté le jeudi 25 août 2011 13:43
Lettre ouverte à Ikililou: une amnistie mal engagée PAR (FARP) Front Anjouanais pour les Réformes et le Progrès
Blog de jaacomoresanjouan
jaacomoresanjouan
Description :
blog de la JEUNESSE ANJOUANAISE AVERTIE
http://jaacomoresanjouan.skyrock.com/
Lettre ouverte à Ikililou: une amnistie mal engagée PAR (FARP) Front Anjouanais pour les Réformes et le Progrès
Front Anjouanais pour les Réformes et le Progrès (FARP)
Mieux vaut savoir que douter »
..................
Lettre ouverte
Au
Président Ikililou
Objet: démarche erronée d'amnistie par rapport au débarquement d'Anjouan
Monsieur le Président,
Il est apparu dans vos messages radiodiffusés que vous songez bien évoluer vers une amnistie en faveur des responsables Anjouanais que vous avez poussés vers l'Océan et les forêts en Mars 2008 dans le but de faire conquérir un Pouvoir à vie à Sambi.
Monsieur le Président,
L'idée d'une amnistie dans un Pays n'a jamais été en soi une mauvaise démarche. Toutefois, l'amnistie obéit à des règles universellement établies avec comme principe fondamentale, donner une chance à des condamnés qui ne sont pas encore au bout de leurs peines.
Concernant le débarquement d'Anjouan de Mars 2008 et les évènements qui l'ont précédé mais aussi succédé, l'attention de l'opinion Anjouanaise est attirée sur le fait que, Sambi s'étant volontairement absenté du Pays, vous, personnellement monsieur Ikililou, vice – président de Sambi de l'époque, vous avez consciemment endossé la mission de basse besogne; vous avez pleinement joué le rôle de premier plan pour avoir dirigé vous- même les fusillades, tortures et casses d'Anjouan:
1. en ayant hébergé dans votre Ile natale Moili les casseurs – tueurs en route vers Anjouan,
2. en ayant accompagné dans le transall, la 1ère section des casseurs - tueurs qui allaient donner le coup d'envoi des fusillades mortelles et écoulé le sang Anjouanais,
3. en ayant personnellement et immédiatement pris l'intérim de la présidence d'Anjouan post débarquement,
4. en ayant coordonné les plus humiliants des sévices physiques, psychologiques, moraux...post débarquement que les débarquant ont fait subir aux Anjouanaises et Anjouanais.
Monsieur le Président,
Pour toutes ces raisons, on peut comprendre que votre conscience vous interpelle pour que vous cherchiez à revoir votre copie, en cherchant à avoir recours à une amnistie. Cependant, vous ne pouvez prétendre au rôle principal d'un tel «film» car vous ne pouvez être juge et Partie, mais également parce que la souveraineté du Pays a été hypothéquée pour des succès personnels et contre le patriotisme comorien.
Monsieur le Président,
Vous ne pouvez, ni garantir, ni incarner un retour des exilés. Toutes les Parties prenantes à ce sanglant chantier doivent se retrouver. Le parallélisme des formes doit présider à cette approche d'amnistie pour divers problèmes:
1. un problème de responsabilité:
L'UA qui a tout décidé, tout donné, tout contribué pour qu'on bombarde Anjouan, l'UA doit verser sa sueur pour un retour à l'apaisement;
2. un problème de confiance, de crédibilité:
- Sambi, vous – même monsieur le Président Ikililou, Madeira de la médiation de l'UA et alliés êtes discrédités pour avoir constitué une école de mensonges et de lobbies qui ont fait engager le Pays dans des violences cruelles et dégradantes.
- Quelles seraient les garanties de votre parole donnée aujourd'hui pour le respect de la fameuse amnistie déjà mal engagée?
3. il est question de sécurisation d'une telle décision:
- ce n'est surtout pas seule l'AND qui avait pu déloger les Autorités Anjouanaises, et ne peut prétendre seule garantir le respect d'une amnistie
- il y a la Tanzanie et le Soudan avec leurs impitoyables tireurs d'élite qui ont incarné les casses et les bombardements de Mars 2008;
- le Sénégal avec la fourniture de l'officier supérieur- coordonateur de la stratégie des cruelles fusillades;
- l'Iran et la Libye avec leur couverture financière du cruel désastre;
Monsieur le Président,
Pour ce qui est de l'amnistie que vous préconisez:
- Qui doivent être amnistiés: les coupables ou les victimes?
- qui doivent demander pardon: les coupables ou les victimes?
- qui doivent pardonner: les coupables ou les victimes?
- Quel est le champ d'application de l'amnistie: crimes humains, crimes économiques, mensonges d'Etat?
- Quelle est la période concernée par votre amnistie?
Monsieur le Président,
La base d'une amnistie repose sur un pardon de coupables condamnés. D'où pour l'intérêt de tous, monsieur le Président, on ne peut s'en passer de pointer les coupables et les victimes de la situation actuelle née de l'élection présidentielle d'Anjouan de Juin 2007 et du débarquement de Mars 2008:
- qui est coupable de quoi autour de l'élection présidentielle d'Anjouan de Juin 2007 et qui est coupable de quoi avant, pendant et après le débarquement?
- Où sont les listes des tués, handicapés à vie autour de l'élection présidentielle et du débarquement d'Anjouan?
- Où sont les listes des assassinés, des fusillés à bout portant, des empoisonnés d'Anjouan d'avant, du pendant et du post débarquement?
Tout en espérant que vous vous armerez d'un courage en fer pour assumer vos propres dérives et faire assumer à vos alliés les leurs, nous vous prions d'accepter notre scepticisme quant à une quelque cohérence sur cette démarche d'amnistie car le dossier de la Banque postale reste instructif.
(FARP)