
Le président de l'Assemblée se dit « choqué »
Moroni, (HZK-Presse) – Après la plainte de la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC) contre à l'ancien président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, qu'elle accuse de détournement de fonds, le président de l'Assemblée Nationale monte au créneau. Bourhane Hamidou rejette les accusations portées contre l'ancien président de la république.
Trois jours après la plainte de la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC), principal parti d'opposition, contre le président Sambi pour qu'il s'explication par rapport à la gestion des fonds du projet Habitat et des retombés financières de la vente de la nationalité comorienne à des investisseurs étrangers, les réactions fusent de partout. La dernière en date, est celui du Président de l'Assemblée Nationale et ancien ministre de l'intérieure de Sambi.
Celui qui a accompagné l'ancien président tout au long de sa carrière de guide religieux et homme politique, Bourhani Hamidou tient à rejeter les accusations portées contre l'ancien président. « Je tiens à rappeler que le président de la république n'est pas justiciable devant une juridiction ordinaire et que seule la Cour suprême en s'appuyant sur des preuves, est habilitée à le juger sur un fait accompli dans le cadre de l'exercice de ses fonctions », lit-on dans un communiqué signé par le président de l'Assemblée est distribué par lui-même dans les places publiques.
Dans cette plainte déposée par l'opposition auprès du procureur de la république contre Sambi, le président de l'Assemblée Nationale se dit « choqué que des personnes qui ont eu à exercer des hautes responsabilités de l'Etat comptant parmi elles des avocats censés maitriser la loi, se soient laissées guider par des visées politiciennes pour salir la réputation de l'ancien chef de l'Etat ».
Pour donner une grande valeur à son communiqué, ce député de la région de Hambou « condamne avec la plus grande fermeté ce comportement indigne de citoyens qui ridiculisent notre nation à des fins politiques ». Et ce poulain de Sambi aurait souhaité que l'opposition donne des projets et des propositions pour aider le pays à avancer. « Les comoriens ont besoin d'un projet de société et des propositions émanant de l'opposition et de la majorité pour alléger les besoins de première nécessité des comoriens au lieu des attaques individuelles qui doivent cesser au risque d'ouvrir la boite à pandore » prévient-il.
Trois jours après la plainte de la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC), principal parti d'opposition, contre le président Sambi pour qu'il s'explication par rapport à la gestion des fonds du projet Habitat et des retombés financières de la vente de la nationalité comorienne à des investisseurs étrangers, les réactions fusent de partout. La dernière en date, est celui du Président de l'Assemblée Nationale et ancien ministre de l'intérieure de Sambi.
Celui qui a accompagné l'ancien président tout au long de sa carrière de guide religieux et homme politique, Bourhani Hamidou tient à rejeter les accusations portées contre l'ancien président. « Je tiens à rappeler que le président de la république n'est pas justiciable devant une juridiction ordinaire et que seule la Cour suprême en s'appuyant sur des preuves, est habilitée à le juger sur un fait accompli dans le cadre de l'exercice de ses fonctions », lit-on dans un communiqué signé par le président de l'Assemblée est distribué par lui-même dans les places publiques.
Dans cette plainte déposée par l'opposition auprès du procureur de la république contre Sambi, le président de l'Assemblée Nationale se dit « choqué que des personnes qui ont eu à exercer des hautes responsabilités de l'Etat comptant parmi elles des avocats censés maitriser la loi, se soient laissées guider par des visées politiciennes pour salir la réputation de l'ancien chef de l'Etat ».
Pour donner une grande valeur à son communiqué, ce député de la région de Hambou « condamne avec la plus grande fermeté ce comportement indigne de citoyens qui ridiculisent notre nation à des fins politiques ». Et ce poulain de Sambi aurait souhaité que l'opposition donne des projets et des propositions pour aider le pays à avancer. « Les comoriens ont besoin d'un projet de société et des propositions émanant de l'opposition et de la majorité pour alléger les besoins de première nécessité des comoriens au lieu des attaques individuelles qui doivent cesser au risque d'ouvrir la boite à pandore » prévient-il.
Mohamed Youssouf
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