Hassan, nageur comorien en demi finales aux jeux paralympiques de Londres
Aux jeux paralympiques de Londres, Hassan Ahmada Djaé se lance mercredi au 50 mètres nage libre. Tous les espoirs sont permis car tous ses déplacements sont couronnés de médailles.
Hassan aura à affronter 17 concurrents internationaux, les uns plus forts que les autres. Mais ce nageur handicapé incarne l'espoir de toute une nation, lui qui a toujours remporté de médailles dans tous ses déplacements. Dans l'Océan indien, certains l'appellent Monsieur médaille. « Hassan a décroché des médailles à Madagascar, Réunion, aux Seychelles. Mais, au niveau international, c'est sa 1ère expérience », explique son entraineur. Aujourd'hui, à 11h 30, (13h 30 à Moroni) les demi-finales et le soir la finale. « Mes adversaires sont tous redoutables. Donc, je crains tout le monde. Mais, je crois à la finale », s'encourage l'athlète comorien.
Déclaration réconfortante
A en croire le président de la fédération handisport, le rêve est permis : « Même sans tenue représentative comme toutes les autres délégations sportives, sur le plan social l'athlète comorien et son entourage technique se portent bien. Hassan s'entraine bien, dans le même couloir que s'entrainaient le champion américain Mickel Phleps ». La série de tests effectuée par notre ambassadeur, procédure soumise à tous les nageurs, (1er test pour l'authentification du handicap et laqualification à lacompétition et 2e test médical et physique dans l'eau, pour la santé) s'est révélée réconfortante.
Bon àBerlin ! Pourquoi pas à Londres ?
Il doit affronter les 17 adversaires, engagés au 50 m nage libre. Souleymane Bakari. Son entraineur est rassuré et rassure : « Hassan a le même couloir que Phleps. Je crois que c'est un bon signe du destin. L'objectif, c'est la finale. Après, on verra ». Sur ces 17 nageurs engagés, seuls 8 seront qualifiés pour la finale, prévue ce soir. Avant Londres, Hassan avait subi avec succès un test à Berlin. En Allemagne, il a terminé 5e sur 8, avec un record de 38, 21 secondes. Le record paralympique est 25, 34. Le recordman africain, le Mauricien Scody, est crédité de 34,28 secondes. « Il est présent à Londres », précise Mgueni. Est-ce une information ou un avertissement ?
Bon àBerlin ! Pourquoi pas à Londres ?
Il doit affronter les 17 adversaires, engagés au 50 m nage libre. Souleymane Bakari. Son entraineur est rassuré et rassure : « Hassan a le même couloir que Phleps. Je crois que c'est un bon signe du destin. L'objectif, c'est la finale. Après, on verra ». Sur ces 17 nageurs engagés, seuls 8 seront qualifiés pour la finale, prévue ce soir. Avant Londres, Hassan avait subi avec succès un test à Berlin. En Allemagne, il a terminé 5e sur 8, avec un record de 38, 21 secondes. Le record paralympique est 25, 34. Le recordman africain, le Mauricien Scody, est crédité de 34,28 secondes. « Il est présent à Londres », précise Mgueni. Est-ce une information ou un avertissement ?
Madame-d-Artois, Posté le dimanche 09 septembre 2012 18:10
Bonne chance à lui et que le meilleur gagne. Ceci dit en passant, on a démonté les anneaux olympiques avant l'arrivée des sportifs handicapés.
Les résumés sont programmés à minuit ou 1 heure du matin minimum.
Alors, je me pose une question : lorsque l'on ne possède plus une entière validité, on devient une sous-espèce qui ne mérite pas la même reconnaissance ?
Au vrai, je ne me la pose plus.
Bien à vous !