Je me réfère au communiqué 012/03 du parti PEC (parti pour l'entente comorienne) concernant la décision du gouverneur d'Anjouan de mettre fin au monopole de l'office Nationale d'importation et de commercialisation du riz ONICOR pour rappeler que depuis la création de cette office (ONICOR) jusqu'à ce jour, sa gestion n'a jamais été une réussite, malgré les multiples changements de dirigeants à sa tête. Cela veut tout simplement dire que le problème n'est pas seulement celui des dirigeants mais bien de tout un système. Il est d'autant plus étonnant de constater qu'une telle société agissant seule sans concurrent, donc en situation de quasi monopole, se débrouille pour être toujours déficitaire.
Pour moi il n'ya qu'une seule raison qui puisse expliquer cela, au minimum il ya incompétence manifeste mais ce qui est très probable c'est la malhonnêteté, les détournements massifs des fonds et la corruption. Avec des telles pratiques, cette société n'a non seulement jamais réussi mais ne réussira jamais
Pour moi il n'ya qu'une seule raison qui puisse expliquer cela, au minimum il ya incompétence manifeste mais ce qui est très probable c'est la malhonnêteté, les détournements massifs des fonds et la corruption. Avec des telles pratiques, cette société n'a non seulement jamais réussi mais ne réussira jamais
• à équilibrer ses comptes ni à satisfaire les besoins d'approvisionnement de cette denrée de première nécessité pour le pays. Par cette société, lorsque les comoriens peuvent avoir du riz, il ne peut être autre chose que de riz de très mauvaise qualité à prendre ou à laisser. Le plus souvent c'est bien entendu les pénuries à répétitions se produisant surtout aux périodes de grande nécessité comme pendant le RAMADAN.
Force est malheureusement de constater que cette pratique malfaisante pour notre pays est la même pour la société Mamwe et comor hydrocarbures ainsi que toutes les autres sociétés d'état.
Les anjouanais ont encore en mémoire l'expérience très réussi de leur autonomie pour ce qui concerne les produits de première nécessité. La société orizan durant son existence à Anjouan à fourni les meilleurs services jamais égalés aux Comores avec les preuves d'une gestion saine ayant dégagés des bénéfices. Au lieu que ces bénéfices servent à son développement et que cet exemple réussi soit propagé aux autres îles, ils ont été récupérés par le gouvernement de l'union aussitôt après son débarquement de mars 2008 et ont été injectés et donc engloutis dans ONICOR.
Pour au moins Les raisons DE TELS GESTIONS, les anjouanais regrettent et regretteront Anjouan hydrocarbures et EDA.
• Pour dire vrai, preuves à l'appui, la gestion insulaire des produits de première nécessité, a fait ces preuves à Anjouan.
• Il est vrai aussi de dire que la gestion de ces mêmes produits au niveau national n'est que suites d'échecs pour les raisons que tous les comoriens connaissent.
La constitution comorienne par sa volonté de large autonomie aux iles, autorise à juste titre, la prise en charge des produits de premières nécessités par l'autorité insulaire.
En tant qu'anjouanais et au nom de tous les anjouanais qui ne peuvent qu' être d'accord avec moi, nous applaudissons l'initiative de Mr le gouverneur d'envisager la gestion des produits de première nécessité par sa gouvernance à Anjouan. C'est un devoir citoyen et tout comorien aimant son pays ne peut s'il est objectif qu'apprécier et préférer ce qui réussi tout en s'opposant aux pratiques d'échecs récurrents.
Je suis persuadé que tout comorien anjouanais ou non qui aime son pays ne peut que s'indigner des pratiques mafieuses des sociétés dites nationales et ne pourra qu'apprécier l'expérience réussi à Anjouan tout en souhaitait qu'elle soit mise en application dans les autres iles .
Le riz étant l'aliment de base et de premier nécessité pour les comoriens, seuls les familles ayant des membres à Mayotte ou en métropole mangent du riz de meilleure qualité.
Pour remédier à cette crise sans fin, des produits de première nécessité, la loi fondamentale issue des accords de Fomboni a à juste titre accordé aux autorités insulaires un large pouvoir d'agir et c'est ce que son excellence le gouverneur d'Anjouan est entrain de vouloir faire sous le regard émerveillé des anjouanais en particulier mais sûrement de tous les comoriens de bonne foi.
l'ORIZAN , l'EDEA, Anjouan Hydrocarbures ont fait une bonne démonstration . Les comoriens n'oublieront jamais leurs quelques années d'existence malheureusement stoppée à tord. C'était la seule période aux Comores depuis la proclamation unilatérale de l'indépendance que la population comorienne avait une variété de riz et encore de meilleure qualité.
Pendant cette période de bonne gestion à Anjouan malgré les dures conditions d'embargo, combien de fois, des tonnes de riz et de carburant ont été transférés à Ngazidja et à Mohéli pour aller secourir la population victime de pénurie ? Les faits sont là et sont témoins.
C'est dommage que les 900 millions de francs comoriens d'une petite et jeune société anjouanaise ORIZAN et six cent cinquante millions de francs de la société Anjouan hydrocarbures ont été viré pour être engloutis dans le budget d'ONICOR et de comor Hydrocarbures .
Conséquence de cette décision ONICOR et Comor Hydrocarbures ne s'en sortent toujours pas. Depuis bientôt 4 ans les anjouanais affluent les magasins à la recherche de quelques grains de riz et aucun parti politique n' a jamais dénoncé cette dérive. Pour une meilleure réussite de ces deux sociétés ne fallait-il pas transférer la direction de ses deux sociétés à Anjouan ?
Comment peut-on parler d'entente comorien si les ventres anjouanais sont affamés ,??,,, ???????
Le gouverneur d'Anjouan a pris la bonne décision qui s'imposait et je ne doute pas qu'il puisse y avoir un seul anjouanais objectif qui n'adhère à cette volonté. Au nom de JIRMA, je salue vivement son courage tout en appelant aux comoriens de soutenir ces genres de bonnes décisions.
Les pratiques mafieuses qui font sombrer notre pays dans le KO et la misère sans fin sont à condamner sans réserve.
Force est malheureusement de constater que cette pratique malfaisante pour notre pays est la même pour la société Mamwe et comor hydrocarbures ainsi que toutes les autres sociétés d'état.
Les anjouanais ont encore en mémoire l'expérience très réussi de leur autonomie pour ce qui concerne les produits de première nécessité. La société orizan durant son existence à Anjouan à fourni les meilleurs services jamais égalés aux Comores avec les preuves d'une gestion saine ayant dégagés des bénéfices. Au lieu que ces bénéfices servent à son développement et que cet exemple réussi soit propagé aux autres îles, ils ont été récupérés par le gouvernement de l'union aussitôt après son débarquement de mars 2008 et ont été injectés et donc engloutis dans ONICOR.
Pour au moins Les raisons DE TELS GESTIONS, les anjouanais regrettent et regretteront Anjouan hydrocarbures et EDA.
• Pour dire vrai, preuves à l'appui, la gestion insulaire des produits de première nécessité, a fait ces preuves à Anjouan.
• Il est vrai aussi de dire que la gestion de ces mêmes produits au niveau national n'est que suites d'échecs pour les raisons que tous les comoriens connaissent.
La constitution comorienne par sa volonté de large autonomie aux iles, autorise à juste titre, la prise en charge des produits de premières nécessités par l'autorité insulaire.
En tant qu'anjouanais et au nom de tous les anjouanais qui ne peuvent qu' être d'accord avec moi, nous applaudissons l'initiative de Mr le gouverneur d'envisager la gestion des produits de première nécessité par sa gouvernance à Anjouan. C'est un devoir citoyen et tout comorien aimant son pays ne peut s'il est objectif qu'apprécier et préférer ce qui réussi tout en s'opposant aux pratiques d'échecs récurrents.
Je suis persuadé que tout comorien anjouanais ou non qui aime son pays ne peut que s'indigner des pratiques mafieuses des sociétés dites nationales et ne pourra qu'apprécier l'expérience réussi à Anjouan tout en souhaitait qu'elle soit mise en application dans les autres iles .
Le riz étant l'aliment de base et de premier nécessité pour les comoriens, seuls les familles ayant des membres à Mayotte ou en métropole mangent du riz de meilleure qualité.
Pour remédier à cette crise sans fin, des produits de première nécessité, la loi fondamentale issue des accords de Fomboni a à juste titre accordé aux autorités insulaires un large pouvoir d'agir et c'est ce que son excellence le gouverneur d'Anjouan est entrain de vouloir faire sous le regard émerveillé des anjouanais en particulier mais sûrement de tous les comoriens de bonne foi.
l'ORIZAN , l'EDEA, Anjouan Hydrocarbures ont fait une bonne démonstration . Les comoriens n'oublieront jamais leurs quelques années d'existence malheureusement stoppée à tord. C'était la seule période aux Comores depuis la proclamation unilatérale de l'indépendance que la population comorienne avait une variété de riz et encore de meilleure qualité.
Pendant cette période de bonne gestion à Anjouan malgré les dures conditions d'embargo, combien de fois, des tonnes de riz et de carburant ont été transférés à Ngazidja et à Mohéli pour aller secourir la population victime de pénurie ? Les faits sont là et sont témoins.
C'est dommage que les 900 millions de francs comoriens d'une petite et jeune société anjouanaise ORIZAN et six cent cinquante millions de francs de la société Anjouan hydrocarbures ont été viré pour être engloutis dans le budget d'ONICOR et de comor Hydrocarbures .
Conséquence de cette décision ONICOR et Comor Hydrocarbures ne s'en sortent toujours pas. Depuis bientôt 4 ans les anjouanais affluent les magasins à la recherche de quelques grains de riz et aucun parti politique n' a jamais dénoncé cette dérive. Pour une meilleure réussite de ces deux sociétés ne fallait-il pas transférer la direction de ses deux sociétés à Anjouan ?
Comment peut-on parler d'entente comorien si les ventres anjouanais sont affamés ,??,,, ???????
Le gouverneur d'Anjouan a pris la bonne décision qui s'imposait et je ne doute pas qu'il puisse y avoir un seul anjouanais objectif qui n'adhère à cette volonté. Au nom de JIRMA, je salue vivement son courage tout en appelant aux comoriens de soutenir ces genres de bonnes décisions.
Les pratiques mafieuses qui font sombrer notre pays dans le KO et la misère sans fin sont à condamner sans réserve.
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