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Blog de mirontsy.com (mirontsi@gmail.com)

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mirontsyAHCRM

Description :

Droit à l'information et droit d'informer
La liberté des médias et la démocratie

Le droit d'informer et le droit à l'information sont indissociables. Ils concernent tous les aspects de la vie économique, sociale et politique.

L'information se trouve partout, elle nous envahit via de tous les médias modernes, presse, radio, TV hertzienne, TV numérique, TNT et surtout INTERNET.

Elle est d'ailleurs omniprésente, voire même oppressante. au point, qu'à peine reçue, on passe à la suivante sans prendre le temps d'y réfléchir, le tout d'une manière assez mécanique, automatique, tel un gavage médiatique.

L'information, la sur-information, est peut-être en passe de devenir le nouvel opium du peuple.

Celui qui contrôle l'information, contrôle le pouvoir, et le pouvoir a de plus en plus la fâcheuse habitude de contrôler l'information

Le rôle joué par les médias a pris une telle importance dans la société qu'ils sont souvent considérés comme le "quatrième pouvoir"

Or, plus que jamais, il est important de prendre du recul, de trier, et surtout, de réfléchir à toute cette information.


Par exemple pour vous,, vous voulez vous tenir au courant de l'actualité ...du bled ?

Ce blog est fait pour vous !

Bien entendu, vous pouvez réagir à chaque article en laissant vos commentaires, vos avis, vos coups de gueule ainsi que vos coups de coeur...
Vos questions seront le bien venue et se fera un réel plaisir de vous répondre le plus souvent possible.
-----------------------------------------------------------------
l'hymne des Comores

Beramu yi tsi pepeza,
inadi wucopozi piya
yi dawula yi venuha,
ta sibabu ya yi dini vo ya tsangaya,
hunu Komoriya
Na ri keni,na mahaba,
ya hu vendza ya masiwa yatru,
Wasi wa Komori damu ndzima,
Wasi wa Komori dini ndzima,
Ya masiwa ra zaliwa,ya masiwa ya ri leya
Mola né ari sayidiya
Na ri keni ha niya,
Ri vendze watwaniya
Mahaba ya dini na duniya,

Beramu yi tsi pepeya
Rangu mwezi sita ya juillet,
Yi dawula yi venuha,
ma siwa zatru ya katuha,
Mawore na ndzuwani,Mwali na Ngazidja,
Na ri keni,na mahaba,
Ya hu vendza,
Ya masiwa !>>!

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Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...
C'est une histoire très touchant et sa fait prendre conscience de certaines choses envers notre mariage. On passe notre temps à penser aux choses non essentielles on se plaint de nos problèmes sans savoir pourquoi nous en avons et oublie le principal ... C'est une leçon de moral et sa fait bcoup méditer.

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s'est pas parlé l'un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon c½ur, car il s'était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j'avais juste pitié d'elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J'étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l'ai trouvée entrain d'écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d'ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu'elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l'ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l'avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d'elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j'ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son c½ur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l'ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C'était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J'ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu'il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J'ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu'elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j'ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n'ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonnés.
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 03:11

Modifié le dimanche 20 janvier 2013 04:37

Bush lance un message d'adieu optimiste

A quatre jours de l'investiture de Barack Obama, George W. Bush a cherché à défendre ses huit années de mandat. Il a évoqué les réalités économiques du pays dans un discours empreint d'optimisme

AFP - George W. Bush a adressé jeudi aux Américains un message d'adieu reflétant les réalités du moment : la "fierté" devant l'avènement historique du premier président noir, mais aussi la gravité de la crise économique et la persistance de la menace terroriste.

M. Bush transmet la présidence de la première puissance mondiale à Barack Obama mardi et, ce jour-là, "sur les marches du Capitole se tiendra un homme dont l'histoire reflète la promesse immuable qu'offre notre pays. Ce sera un moment d'espoir et de fierté pour notre pays tout entier", a dit le président sortant dans une dernière allocution à l'adresse de ses compatriotes.

"Et je me joins à tous les Américains pour présenter mes meilleurs voeux de réussite au président élu, M. Obama, à sa femme Michelle et à leurs deux magnifiques filles", a-t-il déclaré.

M. Bush avait déjà salué à plusieurs reprises le caractère "historique" de l'accession, pour la première fois, d'un Noir à la fonction suprême.

Son ultime message solennel aux Américains a été l'occasion d'exalter la "vitalité de la démocratie américaine", mais aussi la force de caractère des Américains dans les moments difficiles. Il a aussi plaidé pour son bilan, même si son administration a souligné que l'heure n'était plus à la défense de huit années de présidence controversée et qu'il appartenait à présent à l'Histoire de juger.


M. Bush, dont ce devait être aussi la dernière apparition publique significative avant mardi, a aussi laissé quelques recommandations.

"J'ai connu des revers, comme tous ceux qui ont exercé ces fonctions avant moi. Il y a des choses que je ferais différemment si j'en avais la possibilité".

Mais il a redit combien les attentats du 11 septembre 2001 avaient changé le cours de sa présidence, devant une assemblée comprenant une cinquantaine de témoins privilégiés de sa présidence, des personnes pour la plupart ordinaires, des sauveteurs du 11-Septembre, des soldats engagés en Irak et en Afghanistan ou leurs parents, des acteurs sociaux.

Il a jugé "légitime de débattre de beaucoup (des) décisions" qu'il a prises dans le combat contre le terrorisme. "Mais il n'y a pas beaucoup de débats à avoir quant aux résultats. L'Amérique a passé plus de sept années sans connaître un autre attentat terroriste sur son sol", a-t-il souligné.

Il a placé la guerre en Irak, l'une des grandes controverses de sa présidence, sous le signe de ce combat contre le terrorisme, sans jamais employer l'intitulé contesté de "guerre mondiale contre le terrorisme". Il a dit que l'Irak et l'Afghanistan étaient à présent des démocraties.

M. Bush a évoqué ce qu'il considère comme les grandes réussites de sa présidence, en dehors de la défense du pays: une réforme scolaire, des mesures pour la couverture santé des personnes âgées ou des déductions fiscales.

Son administration a aussi pris des mesures "résolues" face à ce qui est devenues l'une des pires récessions depuis des décennies.

"Les temps sont très difficiles pour les familles qui travaillent dur, mais le tribut à payer serait bien plus lourd si nous n'avions pas agi", a-t-il déclaré.

"Même dans les temps les plus durs, nous regardons vers le vaste horizon qui s'étend devant nous. J'ai confiance dans la promesse qu'offre l'Amérique parce que je connais la trempe des Américains", a-t-il ajouté, affirmant quand même son "optimisme" dans cette allocution bien plus sombre que celle de son prédécesseur Bill Clinton.

Il a aussi prévenu que "la plus grave menace pesant sur nos compatriotes reste celle d'un nouvel attentat terroriste". "Nous devons rester déterminés. Nous ne devons jamais baisser la garde".

En même temps, "nous devons continuer à dialoguer avec le monde", a-t-il dit. "Nous devons rejeter l'isolationnisme et son corollaire, le protectionnisme".


Jeudi 15 janvier 2009
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#Posté le vendredi 16 janvier 2009 01:42

Modifié le vendredi 16 janvier 2009 02:41

Comores : la juge des enfants rappelle le 'devoir des parents'

Face à la "recrudescence" des cas d'abandons et d'adoptions "illégales" d'enfants, d'agressions sur mineur qui "se règlent à l'amiable", la juge des enfants, Maoulida Djoubeir, est en colère et le fait savoir, rapporte le quotidien Al-Watwan. Extraits.

La juge des enfants Maoulida Djoubeir se bat pour mettre fin aux différentes formes de maltraitance subies par l'enfant. Dans son combat, elle donne la priorité à la protection des nouveaux-nés "adoptés" et des enfants abondonnés et lutte pour en finir avec les personnes qui "s'en approprient". Pour ce faire, elle se bat contre l'adoption "sans la procédure judiciaire requise" des enfants abandonnés par leurs parents, en particulier par leur mère. Elle avertit : "Seul le juge a l'autorité de placer un enfant dans une famille". Elle rappelle qu'aucune sage-femme ou infirmier n'a le droit de donner un enfant à qui que ce soit "même avec le consentement de la mère", comme cela est déjà arrivé dans certaines maternités.

(...) Les cas d'abandons d'enfants se sont multipliés ces derniers temps aux Comores. Certains parents ont du mal à s'occuper de leurs enfants. A ce propos, la juge rappelle "à toutes et à tous que la protection de l'enfant est un devoir pour tout parent". Il arrive qu'une jeune fille abandonne son enfant après l'échec du mariage. De même, des jeunes couples ne veulent pas garder l'enfant et "l'abandonnent à une grand-mère ou un autre parent proche".

C'est pour cette raison que le tribunal insiste sur les "droits et le devoir" des parents de s'occuper de leur enfant. La juge rappelle qu'éventuellement, "la mère doit exiger du père qu'il prenne ses responsabilités en s'occupant de son enfant. S'il refuse de s'acquitter de ses droits et devoirs à l'amiable, la mère doit nous consulter pour connaître les procédures à suivre pour obliger le père à prendre ses responsabilités".

Dans son cabinet, elle travaille sur les cas sociaux et les cas pénaux. (...) En ce qui concerne les cas d'agression sexuelle sur mineur, Maoulida Djoubeir déplore que les gens recourent "si souvent à des règlements à l'amiable" : "Déclarez ces cas à la justice et les coupables seront punis", garantit-elle.

(Al-Watwan)

Jeudi 15 Janvier 2009 - 20:44:45 -
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#Posté le vendredi 16 janvier 2009 01:30

Somalie: le superpétrolier saoudien relâché pour trois millions de dollars

Les pirates somaliens qui détenaient le superpétrolier saoudien Sirius Star et ses 25 marins depuis le 15 novembre ont annoncé à l'AFP avoir "libéré" vendredi le navire dont la capture avait précipité le déploiement d'imposantes forces navales étrangères au large de la Somalie

"Tous nos hommes ont à présent quitté le Sirius Star. Le navire est libre, l'équipage est libre", a déclaré le chef des pirates Mohamed Said par téléphone à l'AFP depuis le port de Harardhere, à environ 300 km au nord de la capitale Mogadiscio.

Les pirates avaient réclamé le 19 novembre le paiement d'une rançon de 25 millions de dollars pour relâcher le bateau mais avaient depuis réduit leurs exigences financières.

On ignorait vendredi si une rançon avait été ou non versée. Toutefois, des sources proches des négociations faisaient état vendredi du versement de trois millions de dollars à un groupe de pirates à terre jeudi.

Une dispute a brièvement éclaté entre ces pirates sur la répartition de cette somme, selon ces mêmes sources.

"Il y a eu des problèmes de dernière minute mais à présent, tout est finalisé", a indiqué Mohamed Said, sans autre précision.

"Nous nous refusons à tout commentaire pour le moment", a réagi un porte-parole de la société saoudienne propriétaire du bateau, Vela International Marine Ltd, filiale de transport maritime de la compagnie nationale saoudienne d'hydrocarbures Aramco.

"Je suis à Harardhere à l'heure actuelle et la question du Sirius Star a été résolue pacifiquement. Je ne peux pas entrer dans les détails de l'accord mais je peux vous dire que le bateau est libre", a confirmé à l'AFP un autre pirate du même groupe Sahafi Abdi Aden.

"Aucun membre d'équipage ou pirate n'a été blessé pendant cette prise d'otages", a-t-il ajouté.

L'équipage du Sirius Star est composé de 25 marins, deux Britanniques, deux Polonais, un Croate, un Saoudien, et 19 Philippins.

Le superpétrolier, lancé en 2008 et d'une valeur de 150 millions de dollars, est chargé de deux millions de barils de brut, une cargaison estimée à l'époque de sa capture à 100 millions de dollars.

Le bateau était ancré devant Harardhere, petit port devenu l'un des principaux repaires des bandits des mers.

La capture du Sirius Star, long de 330 mètres, est l'opération de piraterie la plus spectaculaire menée à ce jour au large de la Somalie.

Le pétrolier croisait dans l'Océan Indien à 480 milles nautiques (890 km) au sud-est de Mogadiscio et plein est par rapport au port kényan de Mombasa, lorsqu'il avait été pris en chasse par deux embarcations de pirates. Seize minutes plus tard, les pirates étaient à bord et contrôlaient le navire.

Cette attaque avait une nouvelle fois démontré la détermination et la témérité de ces hommes lourdement armés, n'hésitant pas à opérer en très haute mer, à bord d'embarcations rapides lancées depuis des "bateaux-mères".

Plus de cent navires ont été attaqués en 2008 par les pirates somaliens, qui auraient perçu des rançons d'un montant total de quelque 120 millions de dollars, faisant de la piraterie un des business les plus florissants de Somalie, livrée au chaos depuis le début d'une guerre civile en 1991.

Environ 12% du commerce maritime et 30% du pétrole brut mondial transitent par le détroit de Bab el Mandeb, goulot d'étranglement entre la mer Rouge et le golfe d'Aden, au large des côtes somaliennes.

Face à cette menace pour le commerce maritime mondial, l'Union européenne a lancé le 8 décembre la première opération navale de son histoire, "Atalante", pour traquer les bandits des mers, avec six bâtiments et trois avions de patrouille sous commandement britannique.

Jeudi, les Etats-Unis ont annoncé à leur tour la création d'une nouvelle force "multinationale" sous commandement américain, "pleinement opérationnelle vers la mi-janvier", pour lutter contre la piraterie dans la région.

De son côté, la coalition navale internationale menée par les Etats-Unis a insisté dans un communiqué sur la nécessité de faire preuve de "ténacité pour régler le problème de la piraterie internationale".
AFP


Source: Yahoo France actualité
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#Posté le jeudi 15 janvier 2009 05:31

Nouveau message de ben Laden, qui reste l'ennemi N.1 pour Obama

Al-Qaïda et son chef Oussama ben Laden restent "la menace numéro un" pour la sécurité des Etats-Unis, a déclaré mercredi le président élu américain Barack Obama, après un nouveau message audio de l'inspirateur des attentats du 11 septembre 2001.

"Ben Laden et Al-Qaïda sont la menace numéro un pour la sécurité américaine", a-t-il dit à des journalistes.

"Nous allons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour les empêcher de créer des refuges à partir desquels ils peuvent attaquer les Américains", a-t-il ajouté.

Dans un message diffusé mercredi sur internet à moins d'une semaine de l'investiture du nouveau président américain, Oussama ben Laden met en garde Barack Obama contre l'ouverture de nouveaux fronts dans sa guerre sainte contre les intérêts occidentaux,

Le message, un enregistrement audio de 22 minutes dont fait état SITE, un centre américain spécialisé dans la surveillance des sites islamistes, est le premier en huit mois du chef d'Al-Qaïda, sous réserve de son authenticité.

Il intervient alors que George W. Bush, dont la présidence aura été marquée par les attentats du 11-Septembre revendiqués par Al-Qaïda, s'apprête à passer le relais à son successeur le 20 janvier.

Ben Laden exulte devant l'héritage que M. Bush laisse à M. Obama.

"Les indicateurs suggèrent (...) que 75% du peuple américain sont contents du départ du président qui les a enlisés dans des guerres avec lesquelles ils n'ont rien à voir", se réjouit Ben Laden.

"Il les a plongés dans une crise économique jusqu'au cou", a-t-il dit.

Selon lui, M. Obama fait déjà face à des choix difficiles par rapport aux engagements militaires américains en Afghanistan et en Irak.

"C'est très difficile pour un homme d'hériter (...) d'une longue guérilla face à un adversaire patient et têtu". "S'il se retire de la guerre, c'est une défaite militaire. Et s'il continue, il plonge dans une crise économique".

"Nous suivons notre voie pour ouvrir d'autres fronts, avec la bénédiction de Dieu", ajoute-t-il.

Ben Laden recense la "Palestine", la province pakistanaise du Waziristan, le Maghreb et la Somalie comme faisant partie des nouveaux champs de bataille où ses combattants affronteraient l'Occident.

Il critique les gouvernements arabes pour leur passivité face à l'offensive israélienne dans la bande de Gaza, les accusant de se comporter comme les administrations fantoches mises en place entre les deux guerres mondiales par les puissances coloniales au Moyen-Orient.

Il estime qu'Israël a lancé son offensive, qui a fait plus de 1.000 morts depuis le 27 décembre, de peur que le pouvoir de son allié américain ne décroisse rapidement, le laissant vulnérable.

"Ce déclin horrible et rapide du pouvoir américain est l'une des importantes raisons, pour les Israéliens, de cette attaque cruelle à Gaza, dans une tentative désespérée de tirer profit des derniers jours des deux mandats du président Bush et des néo-conservateurs".

Estimant qu'il n'y avait rien à attendre du Conseil de sécurité de l'ONU, il appelle les musulmans à travers le monde à lancer un jihad (guerre sainte).

"Le devoir est d'inciter au jihad individuel et de recruter la jeunesse dans des brigades pour le jihad pour la cause d'Allah contre l'alliance des Croisés-sionistes et leurs agents dans la région".

La Maison Blanche a estimé que l'enregistrement relevait d'un effort pour rompre l'"isolement" du chef d'Al-Qaïda et récolter de l'argent pour financer son action.

Le département d'Etat a estimé que ce n'était "rien de plus qu'un nouvel acte de propagande", selon son porte-parole, Sean McCormack.

Traqué mais à ce jour introuvable, Oussama ben Laden, dont la tête est mise à prix pour 25 millions de dollars par Washington, a revendiqué la responsabilité des attentats du 11 septembre 2001 qui ont fait près de 3.000 morts aux Etats-Unis et ont conduit à l'invasion de l'Afghanistan.

AFP

Source Yahoo France actualité


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#Posté le jeudi 15 janvier 2009 05:20

Al-Qaïda - Ben Laden sort de son silence pour Gaza


-Après 8 mois de silence, le chef d'Al-Qaïda a publié un enregistrement -non encore authentifié- appelant au djihad "pour arrêter l'agression contre Gaza".
-Il évoque aussi la fin de la présidence de George W. Bush et la crise économique



La dernière intervention d'Oussama Ben Laden remontait au mois de mai 2008. Elle portait déjà sur Gaza, dont il dénonçait le blocus par l'Etat hébreu. Le chef d'Al-Qaïda a publié mercredi un enregistrement audio de 22 minutes intitulé "Appel au djihad (la guerre sainte) pour arrêter l'agression contre Gaza", où le conflit a débuté il y a 19 jours. Le chef du réseau terroriste critique la gestion arabe de la situation à Gaza, et appelle à la guerre sainte pour rétablir "Jérusalem et la Palestine".

Plusieurs sites islamistes sur internet ont diffusé cet enregistrement, dont l'authenticité ne pouvait être vérifiée dans l'immédiat. "Dieu nous a accordé la patience pour poursuivre la voie du djihad pendant sept ans, puis sept ans et encore sept ans", estime notamment Ben Laden. "La question qui se pose, c'est l'Amérique pourra-t-elle poursuivre sa guerre contre nous pendant encore plusieurs décennies ? Les faits suggèrent l'inverse", ajoute-t-il, avant d'évoquer la crise financière mondiale qui, en entamant l'influence des Etats-Unis, aboutira, selon lui, à affaiblir son allié israélien.

Selon la société américaine IntelCenter spécialisée dans la surveillance des sites internet islamistes, Ben Laden évoque aussi la fin du mandat du président américain George W. Bush et le début de celui de Barack Obama, qui prendra ses fonctions le 20 janvier.

Réaction de la Maison-Blanche : ce nouvel enregistrement révèle l'"isolement" du chef d'Al-Qaïda. Al-Qaïda et Oussama ben Laden restent "la menace numéro un" pour la sécurité des Etats-Unis, a quant à lui déclaré le président élu américain Barack Obama.


Source: LCI.fr
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#Posté le jeudi 15 janvier 2009 04:28

Modifié le jeudi 15 janvier 2009 04:38

Nouveaux raids de l'aviation israélienne sur Gaza-ville

Alors que l'aviation israélienne a poursuivi ses raids sur les villes de Gaza et Rafah faisant au moins 16 morts, le bilan dans la bande de Gaza s'élève à 1 038 morts et 4 850 blessés.

AFP - L'armée israélienne poursuivait son offensive jeudi contre la bande de Gaza, qui a fait plus de 1.000 morts depuis le 27 décembre, au moment où s'esquissait une issue diplomatique sous les auspices de l'Egypte en vue d'un cessez-le-feu.

Le bilan des victimes s'est alourdi après de nouveaux raids de l'aviation israélienne dans la nuit contre Gaza, Khan Younès (centre) et la ville de Rafah (sud). Ils ont fait au moins 16 morts palestiniens, dont un adolescent de 13 ans, selon des sources médicales et des témoins.

Par ailleurs, cinq personnes ont été blessées dans un bombardement aérien visant une mosquée à Rafah, selon des sources médicales.

Depuis le début de l'offensive le 27 décembre, le nombre de morts dans le territoire palestinien est de 1.038 et celui des blessés de plus de 4.850, selon le dernier bilan fourni à l'AFP par le chef des services d'urgence à Gaza, Mouawiya Hassanein.

Alors que ce bilan ne cesse de s'alourdir, une source diplomatique égyptienne a annoncé que Le Caire avait obtenu l'accord du Hamas à son plan visant à mettre fin à la guerre et attendait désormais la réponse d'Israël.

Le principal négociateur israélien, Amos Gilad, est attendu jeudi au Caire.

Mais un responsable du Hamas à Gaza est resté évasif lors d'une conférence de presse au Caire, ne disant pas clairement si le mouvement acceptait le plan.

Le Hamas ne demande pas "l'amendement des grandes lignes" du plan égyptien, mais a présenté sa vision "dans les détails" pour mettre fin à la guerre de Gaza, a déclaré Salah al-Bardawil. Il a souligné que le Hamas "n'avait pas de divergences avec l'Egypte, qui agit comme médiateur" dans les discussions indirectes avec Israël.

Le représentant du Hamas au Liban et membre de sa direction, Oussama Hamdan, a pour sa part affirmé sur la chaîne d'information arabe Al-Jazira que des "points de divergences" demeuraient dans les discussions.

Le ministre espagnol des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos a indiqué à Ramallah (Cisjordanie) qu'un accord de cessez-le-feu était "très proche", mais la Maison Blanche a exprimé son scepticisme sur l'acceptation par le Hamas du plan égyptien.

De son côté, le ministre allemand des Affaires étrangères Franck-Walter Steinmeier est arrivé jeudi matin en Israël, première étape d'une tournée destinée à tenter d'obtenir une trêve humanitaire à Gaza. Il doit se rendre à Ramallah puis au Caire.

Au moins 315 enfants et 100 femmes figurent parmi les morts de l'offensive israélienne dont l'objectif affiché est de contraindre le Hamas qui contrôle Gaza à mettre fin aux tirs de roquettes contre Israël.

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, qui a entamé mercredi en Egypte une tournée régionale pour tenter d'obtenir l'arrêt des combats, a affirmé qu'il "n'y avait plus de temps à perdre".

Une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU appelant à l'instauration "d'un cessez-le-feu immédiat" est restée lettre morte depuis son adoption le 8 janvier.

L'Assemblée générale de l'ONU se réunit jeudi en urgence pour montrer que "la communauté internationale est pleinement en faveur d'un cessez-le-feu immédiat", a expliqué un porte-parole.

Mais, selon un haut responsable du ministère israélien de la Défense, Israël ne se sent "pas sous pression pour mettre fin à l'opération à ce stade".

"La seule vraie issue que nous voyons se présentera lorsque (Barack) Obama arrivera à la Maison Blanche", a-t-il indiqué à l'AFP, en référence à la prise de fonction du président américain élu, le 20 janvier.

De son côté, le chef d'Al-Qaïda Oussama ben Laden a appelé dans un enregistrement au jihad (guerre sainte) "pour arrêter l'agression contre Gaza".

Mercredi, 14 roquettes ont été tirées de la bande de Gaza vers Israël. Les tirs ont fait quatre morts dans le sud d'Israël depuis le début de l'offensive.

Au total, dix militaires et trois civils israéliens ont été tués depuis le 27 décembre. Sept soldats ont été blessés mercredi, dont un grièvement.

Par ailleurs, trois roquettes tirées du Liban ont explosé près de la ville frontalière de Kyriat Shmona, selon la police israélienne, entraînant une riposte de l'armée.

Cette attaque, la deuxième du genre depuis le 27 décembre, n'a pas été revendiquée.

Dans la bande de Gaza, un million d'habitants vivent sans électricité, 750.000 sont sans eau et les hôpitaux fonctionnent grâce à des générateurs de secours, selon l'ONU.

Le président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), Jakob Kellenberger, a jugé la situation humanitaire dans le territoire, où il s'était rendu mardi, "dramatique" alors que le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a qualifié d'"inacceptable" la mort de plus de 300 enfants.

La revue médicale britannique The Lancet a accusé les forces israéliennes d'"atrocités".

Dans un entretien à la BBC, le président syrien Bachar al-Assad, dont le pays abrite le bureau politique du Hamas, a affirmé que l'offensive à Gaza risquait de "semer l'extrémisme et la terreur" dans la région.

En signe de protestation, la Bolivie et le Venezuela ont rompu leurs relations diplomatiques avec Israël.

Les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont accepté la proposition de l'Arabie saoudite de tenir jeudi à Ryad un sommet régional sur la guerre à Gaza.

En revanche, la tenue d'un sommet arabe consacré à Gaza vendredi au Qatar restait incertaine, le quorum n'ayant pas encore été atteint.


Source: France 24

Conflit israélo-palestinien - Israël - OFFENSIVE À GAZA
Jeudi 15 janvier 2009
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#Posté le jeudi 15 janvier 2009 03:38

Mayotte

Une "confédération bilatérale" pour rapprocher les quatre îles de l'archipel des Comores

Dans la dernière partie de sa libre-opinion, le professeur André Oraison propose des solutions institutionnelles qui pourraient au bout d'un temps assez long arriver à résoudre le différend franco-comorien, à condition que toutes les parties concernées arrivent à aller dans le même sens.

LES responsables politiques comoriens sont eux-mêmes conscients qu'ils doivent aller beaucoup plus loin dans la voie des réformes. C'est le cas d'Ahmed Abdallah Mohamed Sambi qui, à l'occasion des nouvelles élections présidentielles du 14 mai 2006, a réussi l'alternance politique en remplaçant démocratiquement le colonel Azali Assoumali. Dès sa toute première déclaration à la presse, le nouveau chef de l'État, originaire d'Anjouan, a, certes, tenu à rappeler - comme tous ses prédécesseurs depuis le 6 juillet 1975 - le postulat immarcescible selon lequel « Mayotte est et restera toujours comorienne ». Cependant, il a innové en précisant, avec lucidité, qu'il faudra que les choses changent de manière substantielle dans le cadre du nouveau régime « pour que les habitants de Mayotte soient tentés d'intégrer l'Union des Comores » (1). Mais que faire exactement pour que cet objectif puisse un jour être atteint ?

Pour renverser la tendance, le Gouvernement de Moroni devrait prendre une série de mesures destinées à rassurer les Mahorais. On peut ici en citer quelques-unes. Il devrait en premier lieu coopérer avec les différentes composantes de la Communauté internationale et d'abord avec le Gouvernement de Paris - en bénéficiant au besoin d'une assistance financière et technique de la France - pour lutter contre l'immigration clandestine et massive à Mayotte de nationaux comoriens. Il est certain que ce phénomène - grandissant depuis 1976 - donne une très mauvaise image de marque de l'État comorien et révèle le délabrement de son organisation économique, sociale et sanitaire (2). L'afflux continu et de plus en plus important d'immigrés comoriens en situation irrégulière - on évalue leur nombre à près de 50.000 en 2008, soit environ le quart de la population locale - est aussi et surtout un facteur de déstabilisation non négligeable de la société mahoraise traditionnelle confrontée à de graves problèmes économiques, sanitaires, scolaires et sociaux. Cet afflux de clandestins se traduit par des risques de plus en plus réels de "dérive xénophobe", la multiplication des violences urbaines dans les banlieues du chef-lieu de Mamoudzou et la montée en puissance d'une délinquance juvénile de survie de plus en plus préoccupante, dans un pays où plus de 56% de la population a moins de vingt ans. Dénoncée par des élus locaux de plus en plus impuissants, cette immigration massive est également responsable de l'augmentation du taux de chômage qui dépasse déjà 40% de la population active dans une île caractérisée par une impressionnante explosion démographique depuis une trentaine d'années et où la densité de population (534 habitants au km2) est déjà près de cinq fois supérieure à celle de la France métropolitaine (111 habitants au km2).

Dès à présent, une conclusion partielle s'impose : si elle veut assurer plus de stabilité dans la zone Sud-Ouest de l'océan Indien et lutter contre les filières de l'émigration clandestine dans son intérêt bien compris et d'abord de celui de ses nationaux résidents à Mayotte et à La Réunion, la voie de la France apparaît toute tracée. Dans le cadre de ce qui pourrait être l'équivalent d'un "Plan Marshall", l'ancienne Puissance coloniale a intérêt à aider un nouvel État comorien, démocratique et décentralisé sur le plan institutionnel, économique, social et sanitaire. Dans cette optique et après leur premier entretien officiel à l'Élysée, le 28 septembre 2007, les présidents Abdallah Mohamed Sambi et Nicolas Sarkozy ont annoncé la mis en place d'un "Groupe de travail de haut niveau" (G.T.H.N.) franco-comorien avec la participation d'élus mahorais afin de faire des propositions constructives. Les travaux de ce groupe devraient aboutir au cours de la présente année 2009 à un accord bilatéral portant sur le développement conjoint de Mayotte française et des Comores indépendantes et sur la circulation des personnes et des biens entre les différentes composantes de l'archipel (3). Que dire alors en guise de réflexions terminales ?

Réflexions terminales

L'actuel Gouvernement de Moroni devrait tout mettre en ½uvre pour pérenniser le plus rapidement possible la "transition démocratique" aux Comores et pour favoriser l'instauration d'un véritable fédéralisme dans "l'Archipel aux parfums" impliquant un Parlement bicaméral afin d'assurer de manière distincte la représentation de l'ensemble des populations locales et celle des différents États membres de la fédération. Si Mayotte devait un jour réintégrer le giron comorien, sous une forme ou sous une autre (dans l'hypothèse évidemment la plus optimiste et corrélativement la plus lointaine), ce ne pourrait être qu'après l'instauration d'un État de droit durable aux Comores et d'un authentique État fédéral impliquant un bicaméralisme qui n'existe pas aujourd'hui et laissant une très large autonomie aux entités fédérées - Anjouan, Grande Comores et Mohéli - sur le plan constitutionnel, économique, social, sanitaire et financier.
Ce n'est qu'une fois ces objectifs atteints ou sur le point d'être atteints par la négociation que pourrait alors être envisagée, pour une période indéterminée, une "confédération bilatérale" entre les Comores et Mayotte. Une telle structure devrait permettre aux Mahorais - tout en demeurant dans la République française - de discuter sur un pied d'égalité avec leurs cousins comoriens sur un certain nombre de sujets communs : art et traditions, culture et éducation, pêche, santé, sport, tourisme. Il est clair qu'une telle liste n'est pas exhaustive. En vue de parvenir à l'objectif d'un rapprochement entre Mayotte et les autres îles Comores, les autorités de Moroni devraient à l'occasion faire prévaloir la modération afin de dialoguer sur un pied d'égalité et sans a priori avec les représentants de Mayotte par le biais de commissions mixtes paritaires permanentes comoro-mahoraises avec le soutien politique et financier de la France et les encouragements de la Communauté internationale (4). Pour aboutir à une solution durable, consensuelle et pacifique, cette stratégie de la persuasion risque d'être longue et les résultats ne sont pas d'avance garantis. Il faut d'emblée le savoir. Mais la patience n'est-elle pas l'art d'espérer ? Que dire, en dernière analyse, si l'on veut faire preuve de réalisme ? Quelle réponse peut-on donner à la sempiternelle question : quand prendra fin le combat du pot de terre contre le pot de fer, le combat de "David contre Goliath" ?

Voici notre ultime réflexion : penser que le vieux différend franco-comorien sur Mayotte - une petite terre postée en sentinelle à l'entrée nord du canal de Mozambique - puisse être résolu rapidement, c'est faire preuve d'un optimisme incommensurable. C'est croire au matin des magiciens. Imaginer que "l'île au parfum envoûtant d'ylang-ylang", ancrée sur la route des cyclones et des grands pétroliers, puisse dans un proche avenir réintégrer le giron comorien dans le cadre d'un État fédéral authentique et pérenne, c'est - pour reprendre la formule d'un délégué soviétique à une conférence sur le désarmement à Genève dans les années "60" - "passer de l'autre côté du miroir et suivre Alice au pays des merveilles".

(Fin)

André Oraison,
Professeur de droit public à l'Université de La Réunion


(1) Voir l'interview de l'actuel Président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, in "Élection présidentielle aux Comores. Sambi rafle 58% des suffrages", “Le Quotidien“ de La Réunion, mercredi 17 mai 2006, p. 20.

(2) Le phénomène de l'immigration clandestine est d'autant plus important que Mayotte est distante de 70 kilomètres à peine de l'île la plus proche de l'archipel des Comores qui est celle d'Anjouan. Outre la proximité géographique et la recherche d'un avenir meilleur, des liens familiaux, religieux et culturels entre les ressortissants des quatre îles comoriennes peuvent expliquer ces flux migratoires importants. Voir Nauleau (B.), "Situation alarmante des mineurs à Mayotte", “Le Journal de l'Ile”, samedi 29 novembre 2008, p. 21.

(3) Voir ISSA (I.), "Bilan de la visite de Yves Jégo aux Comores. La « nouvelle entente » Paris-Moroni", Le Quotidien de La Réunion, samedi 17 mai 2008, p. 9.

(4) Voir Carayol (R.), "Nouvelle priorité des élus locaux. Mayotte, du département à la coopération régionale", “Le Quotidien” de La Réunion, mardi 20 mai 2008, p. 21.


Une "confédération bilatérale" pour rapprocher les quatre îles de l'archipel des Comores
Témoignages du mercredi 14 janvier 2009 (page 9)
http://www.temoignages.re/article.php3?id_article=34549
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#Posté le jeudi 15 janvier 2009 01:40

Le président Sambi à d'Abu Dhabi

Le président Sambi au forum économique d'Abu Dhabi

Le chef de l'Etat comorien, Ahmed Abdallah Sambi, quitte Moroni ce lundi soir pour Abu Dhabi où il va prendre part à un forum économique organisé à l'initiative du monde arabe et de l'Union africaine (UA), a annoncé un fonctionnaire du ministère des Relations extérieures des Comores.

Selon la même source, M. Sambi sera accompagné du chef de la diplomatie comorienne, Ahmed Ben Saïd Jaffar et de l'ambassadeur Ibrahim Abdallah.

Par ailleurs, des sources diplomatiques à Moroni indiquent que le président de l'Union des Comores, qui quittera Abu Dhabi le 18 janvier, va se rendre par la suite au Koweït pour un autre sommet socio-économique qui réunira les chefs d'Etat du monde arabe.

"Si ce sommet se voulait strictement socio-économique, je n'en suis pas moins convaincu que les questions politiques surgiront et feront ouvrir de larges parenthèses aux débats en raison de la situation qui prévaut actuellement en Palestine avec les bombardements de Gaza par l'armée israélienne", a déclaré un fonctionnaire du ministère comorien des Relations extérieures qui a requis l'anonymat.

PANA
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#Posté le mercredi 14 janvier 2009 05:02

Modifié le mercredi 14 janvier 2009 05:48

Clandestins

Clandestins : une nuit à traquer les “kwassas-kwassas”

Dans l'obscurité, le pilote de la vedette coupe ses moteurs, ses feux et laisse le bateau dériver près de l'îlot de M'Tsamboro. À bord, chacun fait silence, guettant bruits et lumières de tout ce qui est sur mer, à la recherche de clandestins.

Quatre policiers de la Police aux frontières, équipés de lunettes thermiques, entament leur deuxième nuit consécutive de travail. Mission : tenter d'empêcher les habitants des îles voisines des Comores, particulièrement ceux d'Anjouan, située à 70 km, d'entrer clandestinement à Mayotte, où le niveau de vie est dix fois plus élevé, entassés dans des embarcations, les “kwassas-kwassas”, qui naviguent au ras de l'eau. Conçus pour 8 passagers, ces bateaux peuvent contenir jusqu'à près de 50 clandestins. Ils passent parfois au-dessus de la barrière de corail. Souvent aussi, ils font naufrage, avec de nombreuses victimes. Les policiers, qui demandent à ne pas être identifiés, sont partis vers 21 h 00, après une première liaison radio avec l'élément de base navale de Mayotte. Celui-ci coordonne l'action en mer des administrations et la mise en ½uvre de leurs moyens, sous l'autorité du préfet. Ce soir, un bâtiment de la gendarmerie est également en mer, mais depuis quelques jours, les forces françaises - huit bateaux au total - sortent moins, à cause d'un problème de mauvaise qualité d'essence. Les trois vedettes semi-rigides de la Paf et de la gendarmerie nautique, qui peuvent filer à 45 n½uds (80 km/h environ) grâce à deux moteurs de 250 CV, sont clouées à quai. Mais les moyens nautiques utilisant du gazole restent aptes au service. Trois kwassas interceptés en une soirée

“Nous faisons route au nord”, dit dans la radio le chef de bord à “Charlie Oscar”, la Marine nationale, qui répond “RAS”. Pas de “kwassa” signalé par les trois radars installés dans l'île, qui balayent 60 % de la zone à couvrir, laissant un trou dans le secteur sud sud-ouest. Un radar mobile est également utilisé de temps à autre et, jusqu'à une date récente, un hélicoptère était loué à une société privée. Mais l'appareil s'est écrasé sur une plage d'Anjouan. 21 h 10 : pendant que le bateau de la Paf fait route au nord, celui de la gendarmerie file au sud. Une heure de navigation. Mer calme. Pleine lune. Moteurs coupés, l'équipage signale au PC de Petite Terre : “Dérive opérationnelle”. Silence à bord. Rien. Tout d'un coup, l'homme de veille entend un moteur. Un autre saisit ses jumelles et aperçoit un petit bateau. Un kwassa ? La vedette s'approche, braque un projecteur. Les passagers du petit bateau, sans aucun feu, parlent français, ne fuient pas, coupent leur moteur. Le chef de bord aperçoit sur un côté de la coque une immatriculation française : des Mahorais, qui reviennent tardivement, dans le noir, d'une plage. “C'est bon”, leur crie le chef de bord. Ils remettent leurs moteurs en route. “C'est le hasard”, lâche un membre d'équipage. “Le 22 décembre, six kwassas ont été faits (interceptés, ndlr). Si ça se trouve, il y en a 10 qui sont passés. Le 29, le même équipage en a intercepté trois”. Une performance puisqu'il faut alors faire monter les clandestins à bord, remorquer leur bateau, confier les passagers aux fonctionnaires du centre de rétention et les passeurs à la police judiciaire. Bilan 2008, toutes forces françaises confondues : 256 kwassas interceptés


CLICANOO.COM | Publié le 13 janvier 2009
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#Posté le mercredi 14 janvier 2009 04:56

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