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Blog de mirontsy.com (mirontsi@gmail.com)

Photo de mirontsyAHCRM

mirontsyAHCRM

Description :

Droit à l'information et droit d'informer
La liberté des médias et la démocratie

Le droit d'informer et le droit à l'information sont indissociables. Ils concernent tous les aspects de la vie économique, sociale et politique.

L'information se trouve partout, elle nous envahit via de tous les médias modernes, presse, radio, TV hertzienne, TV numérique, TNT et surtout INTERNET.

Elle est d'ailleurs omniprésente, voire même oppressante. au point, qu'à peine reçue, on passe à la suivante sans prendre le temps d'y réfléchir, le tout d'une manière assez mécanique, automatique, tel un gavage médiatique.

L'information, la sur-information, est peut-être en passe de devenir le nouvel opium du peuple.

Celui qui contrôle l'information, contrôle le pouvoir, et le pouvoir a de plus en plus la fâcheuse habitude de contrôler l'information

Le rôle joué par les médias a pris une telle importance dans la société qu'ils sont souvent considérés comme le "quatrième pouvoir"

Or, plus que jamais, il est important de prendre du recul, de trier, et surtout, de réfléchir à toute cette information.


Par exemple pour vous,, vous voulez vous tenir au courant de l'actualité ...du bled ?

Ce blog est fait pour vous !

Bien entendu, vous pouvez réagir à chaque article en laissant vos commentaires, vos avis, vos coups de gueule ainsi que vos coups de coeur...
Vos questions seront le bien venue et se fera un réel plaisir de vous répondre le plus souvent possible.
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l'hymne des Comores

Beramu yi tsi pepeza,
inadi wucopozi piya
yi dawula yi venuha,
ta sibabu ya yi dini vo ya tsangaya,
hunu Komoriya
Na ri keni,na mahaba,
ya hu vendza ya masiwa yatru,
Wasi wa Komori damu ndzima,
Wasi wa Komori dini ndzima,
Ya masiwa ra zaliwa,ya masiwa ya ri leya
Mola né ari sayidiya
Na ri keni ha niya,
Ri vendze watwaniya
Mahaba ya dini na duniya,

Beramu yi tsi pepeya
Rangu mwezi sita ya juillet,
Yi dawula yi venuha,
ma siwa zatru ya katuha,
Mawore na ndzuwani,Mwali na Ngazidja,
Na ri keni,na mahaba,
Ya hu vendza,
Ya masiwa !>>!

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Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...
C'est une histoire très touchant et sa fait prendre conscience de certaines choses envers notre mariage. On passe notre temps à penser aux choses non essentielles on se plaint de nos problèmes sans savoir pourquoi nous en avons et oublie le principal ... C'est une leçon de moral et sa fait bcoup méditer.

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s'est pas parlé l'un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon c½ur, car il s'était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j'avais juste pitié d'elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J'étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l'ai trouvée entrain d'écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d'ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu'elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l'ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l'avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d'elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j'ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son c½ur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l'ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C'était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J'ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu'il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J'ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu'elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j'ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n'ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonnés.
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 03:11

Modifié le dimanche 20 janvier 2013 04:37

COMORES / FRANCE

COMORES / FRANCE : SUSPENSION DES RECONDUITES A LA FRONTIERE

Le vendredi 28 septembre 2007 au Palais de l'Elysée, les Présidents SAMBI et SARKOZY avaient convenu de maintenir la question de Mayotte dans un cadre bilatéral et de poursuivre avec détermination le dialogue approfondi relancé entre les deux pays, afin de permettre dès que possible le règlement de ce contentieux. Cette rencontre avait donné naissance à un bébé « handicapé » surnommé GTHN. (Groupe de Travail de Haut Niveau), aujourd'hui agonisant. Pour rappel les nations unies ont toujours demandé à la France (entre autres) d'accélérer le processus de négociation avec le Gouvernement comorien en vue de rendre rapidement effectif le retour de l'île de Mayotte dans l'ensemble comorien. Ce que l'on assiste en ce moment c'est exactement le contraire : la France s'apprête à départementaliser Mayotte sous un silence « complice » de l'Etat comorien. En fait, le GTHN est « monté » pour détourner l'opinion internationale sur autre chose au moment de la départementalisation de Mayotte : Il faut endormir tout le monde au moment opportun : C'est une tactique diplomatique. Endormir l'ennemi avant de l'achever Cependant, tout n'est pas perdu. Les Comores ont une carte à jouer : La suspension des reconduites à la frontière des Comoriens refoulés de Mayotte par les autorités françaises. C'est une décision légitime et humaine. En droit international et en droit comorien, les comoriens refoulés de Mayotte ne sont pas clandestins à Mayotte. Quand le président Sambi affirme que ''désormais, il n'aura pas de pourparlers entre les Comores et la France jusqu'à l'arrivée prévue du président français Nicolas Sarchozy aux Comores'' et quand il pose comme préalable à une reprise des négociations ''L'affirmation claire et nette qu'il n'y aura pas des gens qui périront en mer en essayant de se rendre à Mayotte dans des kwasa'', cela n'a aucun sens. C'est une déclaration qui ne veut absolument rien dire. C'est une déclaration vide. La seule chose qui puisse conduire à des négociations sereines, c'est cette courageuse et populaire décision. Il n'y a pas d'autres. Les déclarations sporadiques du chef de l'Etat Comorien ne changeront rien. Croyez-moi. Le Mali refuse toujours de signer l'accord sur la gestion des flux migratoires. Voilà une décision courageuse et patriotique. Et pourtant les clandestins maliens en France, sont des vrais clandos contrairement aux comoriens se trouvant à Mayotte.



De : FRANCOISE
mardi 13 janvier 2009 (23h57)
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#Posté le mercredi 14 janvier 2009 04:49

Modifié le mercredi 14 janvier 2009 05:26

Chine - Comores

La Chine apporte un appui budgétaire de 1,4 million de dollars aux Comores


La Chine octroie au gouvernement de l'Union des Comores un appui budgétaire d'un montant de 1,4 million de dollars.

Les actes de remise et de réception de ce don non remboursable ont été signés, mardi à Moroni, par le ministre comorien des Finances, Mohamed Ali Soilihi, et l'ambassadeur de Chine aux Comores, Tao Weiguang.

M. Tao a affirmé qu'il s'agit d'un apport du gouvernement chinois au programme d'assistance dont les Comores ont grandement besoin après avoir venu à bout de la rébellion sécessionniste dans l'île d'Anjouan en mars 2008.

Dans leurs efforts de redynamisation du pays, les institutions financières internationales et les pays amis des Comores ont mis en place le programme d'assistance d'urgence post-conflit.

MORONI, 6 janvier (Xinhua) --

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#Posté le mercredi 14 janvier 2009 04:41

Modifié le mercredi 14 janvier 2009 06:23

Comores:

Comores: Des vandales s'en prennent à Radio Ngazidja

Deux hommes encagoulés se sont introduits le week-end dernier dans l'unique studio de la Radio Ngazidja (proche du gouvernement de l'île autonome de la Grande-Comore), à Moroni, blessant un animateur, avant de s'enfuir, a révélé seulement ce mercredi, Mohamed Abdelkader, le directeur de la station.

Citant l'animateur victime de l'agession, M. Abdelkader a précisé que les deux hommes se sont introduits dans l'unique studio de la station et se sont précipités sur les équipements avec "l'intention criminelle de les casser".

D'après le directeur de la station, l'animateur a été grièvement frappé par l'un des agresseurs lorsqu'il a tenté de lui enlever sa cagoule pour le reconnaître.

"Abdallah Ahmed doit la vie sauve à un micro resté ouvert qui a retransmis les bruits des coups et a attiré l'attention de nombreux auditeurs du quartier vite venus au secours de la station", a ajouté le directeur de la station.

Selon Mohamed Abdelkader, les deux hommes, qui ont constaté l'impossibilité de parvenir au bout de leur dessein, sont repartis par l'escalier de secours et ont retrouvé leur véhicule stationné à quelques dizaines de mètres du siège de la radio.

Le lendemain, les responsables de Radio Ngazidja ont porté plainte contre X sans trop d'espoir de voir un jour les agresseurs devant la justice.

En 2004, lors des élections législatives, la station avait été agressée de la même manière, ses équipements brisés mais personne n'a jamais su à quoi a abouti l'enquête dont la gendarmerie avait été chargée.

Une autre station, Moroni FM, avait fait l'objet d'une agression semblable au cours de la même période, le matériel de studio anéanti sans que l'enquête ouverte à ce sujet ait abouti à quoi que ce soit.

En attendant la justice des hommes, les responsables de la station ont fait lire un hitma sur le coran pour "prier Dieu le tout puissant de rendre justice".

Moroni - 07/01/2009

Pana
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#Posté le mercredi 14 janvier 2009 04:34

Maurice, les Seychelles et les Maldives accusées

Maurice, les Seychelles et les Maldives accusées de trafic de poisson avec les pirates somaliens

Trois pays de l'Océan indien -l'Ile Maurice, les Seychelles et les Maldives- ont été accusés d'acheter du poisson illégalement capturé par les pirates dans les eaux territoriales de la Somalie, indique un rapport remis à la presse jeudi par le Bureau de la High Seas Task Force (Groupe de travail sur les affaires en haute mer).

Selon cet organisme basé dans la capitale somalienne, Mogadiscio, le blanchiment de l'argent du poisson rapporte des centaines de millions de dollars aux pirates somaliens et cela ne semble pas être considéré comme un crime, au même titre que le blanchiment d'argent.

Selon un officiel de l'industrie de la pêche à l'Ile Maurice, le problème de la pêche illégale existe depuis plusieurs années dans cette partie de l'Océan indien.

Il a expliqué que malgré les mesures déjà prises, notamment la mise sur pied d'une unité spéciale de la police au port pour contrôler les bateaux de pêche, il n'a toujours pas été possible de mettre fin à cette pratique.

Il a précisé que "quelque 1.000 bateaux de pêche ont accosté au port de Port Louis en 2008 pour du transbordement, de l'entretien et des réparations et il est extrêmement difficile de vérifier l'origine de leur cargaison de poissons".

"Les trafiquants prennent possession de la cargaison en provenance des eaux somaliennes en haute mer, puisque que ce pays n'a pas les moyens techniques de contrôler l'origine des captures", a-t-il ajouté.


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#Posté le mercredi 14 janvier 2009 04:29

Modifié le mercredi 14 janvier 2009 05:32

L'actualité malgache


Ravalomanana s'offre un Boeing : le F.M.I. s'interroge

Le président malgache Marc Ravolomanana vient de s'offrir un Boeing 737-700 d'une valeur de 112 milliards d'Ariary (près de 43 millions d'euros). Le FMI s'interroge sur l'origine des fonds.

Le président malgache, devançant les critiques qui ne manqueront pas, tente de rassurer son opinion publique en affirmant que « l'appareil devrait nous permettre d'améliorer nos relations avec l'extérieur». Il justifie cet investissement pharaonique en ajoutant que « les pays, associations ou sociétés qui ne maîtrisent pas les technologies modernes ne réussiront pas dans le concert de la mondialisation».

Aménagé pour le transport de VIP (Very important person), l'avion présidentiel a été racheté à Roy Disney, neveu du célèbre Walt Disney. Il peut transporter entre 120 à 140 personnes, mais ne compte que 25 sièges. Le reste de l'espace accueille un bureau et un salon privé. L'appareil a une autonomie de vol de 11, voire 12 heures.

« N'est-ce pas que c'est beau ? » s'est extasié le chef de l'état auprès de tous les chefs d'institution et membres du gouvernement, venus l'accompagner à l'aéroport international d'Ivato où le Boeing a atterri pour la première fois ce samedi.

Le chef de l'état malgache n'a pourtant pas divulgué l'origine de l'enveloppe budgétaire consacrée à l'achat de l'aéronef. L'achat du nouveau Force One représente une somme colossale. Les112 milliards d'Ariary représentent plus du 80 % du budget de la Présidence. La somme déboursée constitue plus de 70% du budget du département chargé de la sécurité intérieure et équivaut au budget alloué à l'éducation post-fondamentale et à la recherche.

A Madagascar, « le revenu moyen par tête d'habitant [...] est de 260 dollars US ; 70% de sa population vit en dessous du seuil de pauvreté [et] 49% des enfants de moins de cinq ans sont atteints de malnutrition », selon l'ONU.

Le FMI demande des comptes
Pour Pierre Van Den Bogaerde, représentant du FMI à Madagascar, « l'achat de Force One doit respecter la procédure ».

Le Fonds monétaire international n'a aucune opinion sur l'opportunité ou non de l'achat de l'avion. Son seul souci est de savoir si l'achat a suivi la procédure prévue par la loi.

« Pour nous, c'est un investissement comme un autre, effectué par l'État malgache, au même titre que l'extension du port de Toamasina, par exemple. Notre souci est de savoir si un tel achat, vu son importance, a suivi la procédure prévue par la loi malgache qui est bien faite. Nous avons donc demandé des explications au gouvernement, pour savoir si le texte budgétaire a été respecté à la lettre, ainsi que les dispositifs prévus par le code des marchés publics. La demande du FMI entre dans le cadre d'un grand chantier que cette institution, avec l'ensemble des autres partenaires, entame. Il s'agit de l'amélioration de toute la chaîne d'engagement de dépenses ».

Si le code des marchés publics n'a pas été respecté, « il faudra donc que le gouvernement justifie le fait que l'achat de l'avion entre effectivement dans la catégorie des exceptions », rappelle M. Bogaerde.

L'origine du fonds reste floue. Pour le représentant du FMI, « le gouvernement a probablement fait des réaffectations de crédit pour acheter cet appareil. C'est l'un des points sur lesquels nous attendons des explications, car il y a également une procédure à suivre pour un tel recours ».

« Ceci dit, si des irrégularités sont constatées, ce sera un précédent dont l'impact devra être étudié » précise M. Bogaerde dans les colonnes de l'Express de Madagascar.

Le FMI reste attentif, malgré tout, au bien-fondé d'un tel investissement, même s'il insiste sur le fait que « c'est un choix qui revient au gouvernement et dans lequel le FMI comme le reste des bailleurs de fonds, n'a aucun droit de regard ».

Il n'en rappelle pas moins que « ce que nous regardons, ce sont les incidences sur les réalisations du pays, par rapport aux objectifs du Madagascar action plan qui ont été inspirés des objectifs du millénaire. Cela concerne plusieurs domaines comme le taux de vaccination, le taux de mortalité, la santé ou l'éducation. Le gouvernement dans ses priorités a-t-il mis suffisamment de moyens financiers à la disposition de ces secteurs par rapport aux objectifs ? Ce sera par rapport à ces critères que nous allons mesurer la performance du pays ».

En décembre dernier, la Banque Mondiale a accordé 30 millions de dollars à Madagascar pour le développement rural.



Annuaire de la presse de MADAGASCAR


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#Posté le mercredi 14 janvier 2009 04:22

Mayotte

Mayotte : deux collectifs dénoncent « l'exclusion » en matière de santé pratiquée par le Conseil général

Dans une saisine envoyée vendredi 9 janvier à la Défenseure des enfantset à la HALDE (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité), les collectifs Migrants Mayotte et Migrants Outremer dénoncent « l'exclusion » d'une frange de la population en matière de santé.

Quatre saisines .
Les collectifs Migrants Mayotte et Migrants Outremer rappellent que leur saisine n'est pas la première. Elle « s'ajoute à trois saisines précédentes visant à dénoncer des situations discriminatoires et illégales » à Mayotte. Ils annoncent en outre que « des saisines complémentaires sont prévues, en particulier sur d'autres questions d'accès discriminatoires aux dispositifs de protection sociale pour des étrangers, mais aussi pour des Français d'origine mahoraise privés d'état civil. »

Dans leur saisine rendue publique vendredi 9 janvier, les deux collectifs d'associations mettent l'accent sur l'aide sociale à l'enfance (ASE), « l'accès à une protection maladie et aux soins pour les enfants confiés à l'ASE, et plus généralement l'accès à une protection maladie des enfants étrangers gravement malades ». Ils dénoncent « un mélange de carences, d'incompétences et de discriminations » qui conduit « à écarter de nombreux enfants de l'accès à une protection maladie, avec de graves conséquences sanitaires pour ces enfants ».
La saisine rappelle que l'aide sociale à l'enfance « est une obligation légale » de la compétence du Conseil général de Mayotte. Mais « un double obstacle rédhibitoire et discriminatoire explique l'absence d'affiliation à l'assurance maladie de Mayotte et entraîne de graves difficultés pour la prise en charge des soins : d'une part, le Conseil général ne remplit pas ses obligations légales en matière de prise en charge d'enfants dans le cadre de l'ASE, d'autre part, le Conseil général de Mayotte, en raison de carences, d'incompétence ou de comportements discriminatoires, n'affilie pas à l'assurance maladie les trop rares enfants qui lui sont confiés par un juge dans le cadre de l'ASE, dès lors qu'ils sont étrangers ».

Le document cite notamment la Défenseure des enfants, qui dans son rapport annuel 2008 affirme : « En matière d'enfant en danger (...), si le Conseil général de Mayotte a effectivement mis en place un service d'aide sociale à l'enfance, force est de constater que les moyens mis en oeuvre (personnel, structures...) n'apparaissent pas adaptés à la situation ». Une critique réitérée le 18 décembre dans les colonnes du journal français Libération : « La protection de l'enfance est une mission du conseil général qu'il ne remplit pas », a-elle déclaré.

« Face à ces carences, le Conseil général en vient à taire les informations relatives à ses actions, informations pourtant normalement publiques dans un Etat de droit », accuse la saisine, selon laquelle « seule une centaine d'enfants seraient confiés à l'ASE à la suite le plus souvent d'une décision d'un juge. Ce chiffre correspond à un ratio d'un enfant confié à l'ASE pour 1.000 enfants vivant à Mayotte. Alors même que la situation des mineurs est moins difficile en métropole, ce même ratio y est de 17 pour 1.000 jeunes de 0 à 21 ans en 2007. »

La saisine souligne « la grande importance qu'il y aurait à dépêcher de nouvelles missions sur place (...) afin d'inciter l'Etat français à appliquer le principe d'égalité de traitement. »

RC

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#Posté le mercredi 14 janvier 2009 04:11

Modifié le mercredi 14 janvier 2009 05:16

FRANCE / COMORES : LA REINTEGRATION DANS L'ENSEMBLE COMORIEN EST INEVITABLE



la France n'a jamais opposé un refus d'engager des négociations pour préparer le retour de Mayotte dans l'ensemble comorien mais, au contraire, a fait, à maintes reprises, la promesse devant les Nations du monde de rendre effectif le retour de Mayotte.

Nous vous proposons une lecture attentive de l'une des résolutions adoptées par l'assemblée générale des Nations unies sur la question de l'île comorienne de Mayotte. Cette résolution rappelle les résolutions 1514 (XV) du 14 décembre 1960, contenant la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux, contenant le programme d'action pour l'application intégrale de la Déclaration, et cite toutes les résolutions antérieures, en particulier celle relative à l'admission des Comores à l'Organisation des Nations unies, dans laquelle elle a réaffirmé la nécessité de respecter l'unité et l'intégrité territoriale de l'archipel des Comores, composé des îles d'Anjouan, de la Grande Comore, de Mayotte et de Mohéli. Cette résolution invite ''le gouvernement français à respecter les engagements pris à la veille du référendum d'autodétermination de l'archipel des Comores du 22 décembre 1974 pour le respect de l'unité et de l'intégrité territoriale des Comores'' et ''lance un appel pour que soit traduite dans les faits la volonté exprimée par le président de la République française de rechercher activement une solution juste au problème de Mayotte''. Les Nations unies ont exprimé le voeu de voir ''le gouvernement français accélérer le processus de négociation avec le gouvernement comorien en vue de rendre rapidement effectif le retour de l'île de Mayotte dans l'ensemble comorien''. Comme on le constate, la France n'a jamais opposé un refus d'engager des négociations pour préparer le retour de Mayotte dans l'ensemble comorien mais, au contraire, a fait, à maintes reprises, la promesse devant les Nations du monde de rendre effectif le retour de Mayotte. La suite on la connaît : les coups d'Etat à répétition, et plus tard la sécession anjouanaise, ont permis à la France de passer sous silence de statut en statut et de préparer dans la certitude le processus de départementalisation. Comme on le voit, les résolutions des Nations unies que la France brandit pour imposer le droit en Géorgie, à Gaza, en Israel, ont la même portée juridique que celles adoptées pour Mayotte. Il s'agit de le rappeler avec force et à chaque instant et d'exiger une feuille de route pour leur mise en oeuvre. Ni plus ni moins.

NATIONS UNIES Assemblée générale Distr. GENERALE A/RES/48/56 - 19 janvier 1994 Quarante-huitième session Point 25 de l'ordre du jour RESOLUTION ADOPTEE PAR L'ASSEMBLEE GENERALE [sans renvoi à une grande commission (A/48/L.48)] 48/56. Question de l'île comorienne de Mayotte
L'Assemblée générale,

* Rappelant ses résolutions 1514 (XV) du 14 décembre 1960, contenant la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux, et 2621 (XXV) du 12 octobre 1970, contenant le programme d'action pour l'application intégrale de la Déclaration, Rappelant également ses résolutions antérieures, en particulier les résolutions 3161 (XXVIII) du 14 décembre 1973, 3291 (XXIX) du 13 décembre 1974, 31/4 du 21 octobre 1976, 32/7 du 1er novembre 1977, 34/69 du 6 décembre 1979, 35/43 du 28 novembre 1980, 36/105 du 10 décembre 1981, 37/65 du 3 décembre 1982, 38/13 du 21 novembre 1983, 39/48 du 11 décembre 1984, 40/62 du 9 décembre 1985, 41/30 du 3 novembre 1986, 42/17 du 11 novembre 1987, 43/14 du 26 octobre 1988, 44/9 du 18 octobre 1989, 45/11 du 1er novembre 1990,46/9 du 16 octobre 1991 et 47/9 du 27 octobre 1992, dans lesquelles elle a notamment affirmé l'unité et l'intégrité territoriale des Comores, Rappelant, en particulier, sa résolution 3385 (XXX) du 12 novembre 1975, relative à l'admission des Comores à l'Organisation des Nations Unies, dans laquelle elle a réaffirmé la nécessité de respecter l'unité et l'intégrité territoriale de l'archipel des Comores, composé des îles d'Anjouan, de la Grande Comore, de Mayotte et de Mohéli, * Rappelant en outre que, conformément aux accords, signés le 15 juin 1973, entre les Comores et la France, relatifs à l'accession des Comores à l'indépendance, les résultats du référendum du 22 décembre 1974 devaient être considérés sur une base globale et non île par île, Convaincue qu'une solution juste et durable de la question de Mayotte réside dans le respect de la souveraineté, de l'unité et de l'intégrité territoriale de l'archipel des Comores, * Convaincue également qu'une solution rapide du problème est indispensable pour la préservation de la paix et de la sécurité qui prévalent dans la région, Ayant à l'esprit la volonté exprimée par le Président de la République française de rechercher activement une solution juste à ce problème, * Prenant note de la volonté réitérée du Gouvernement comorien d'engager dans les meilleurs délais un dialogue franc et sérieux avec le Gouvernement français en vue d'accélérer le retour de l'île comorienne de Mayotte au sein de la République fédérale islamique des Comores, * Prenant acte du rapport du Secrétaire général, * Ayant également à l'esprit les décisions de l'Organisation de l'unité africaine, du Mouvement des pays non alignés et de l'Organisation de la Conférence islamique sur cette question,

1. Réaffirme la souveraineté de la République fédérale islamique des Comores sur l'île de Mayotte ;

2. Invite le Gouvernement français à respecter les engagements pris à la veille du référendum d'autodétermination de l'archipel des Comores du 22 décembre 1974 pour le respect de l'unité et de l'intégrité territoriale des Comores ;

3. Lance un appel pour que soit traduite dans les faits la volonté exprimée par le Président de la République française de rechercher activement une solution juste au problème de Mayotte ;

4. Prie instamment le Gouvernement français d'accélérer le processus de négociation avec le Gouvernement comorien en vue de rendre rapidement effectif le retour de l'île de Mayotte dans l'ensemble comorien ;

5. Prie le Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies de maintenir un contact permanent avec le Secrétaire général de l'Organisation de l'unité africaine sur ce problème et d'offrir ses bons offices dans la recherche d'une solution pacifique et négociée du problème ;

6. Prie également le Secrétaire général de lui faire rapport à ce sujet lors de sa quarante-neuvième session ;

7. Décide d'inscrire à l'ordre du jour provisoire de sa quarante-neuvième session la question intitulée “Question de l'île comorienne de Mayotte”.

76e séance plénière 13 décembre 1993 1/ A/48/447. Source : Al-watwan N° 1232 du 13 janvier 2009

http://wongo.skyrock.com/2247341695...




De : FRANCOISE
mardi 13 janvier 2009
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#Posté le mardi 13 janvier 2009 16:25

Les grandes dates de l'Histoire des Comores

Les grandes dates de l'Histoire des Comores depuis l'arrivée des premiers habitants au IXeme siècle jusqu'aux récents coups d'état.

Chronologie de l'histoire des ComoresIXe siècle.

L'archéologie atteste une occupation humaine durable aux Comores.Mais on soupçonne que le peuplement commence beaucoup plus anciennement.Il est probable que les premiers habitants des Comores étaient originaires d'Afrique orientale.Il est possible que des " Proto-Malgaches ", en route pour Madagascar, aient séjourné dans l'archipel.En tout cas, un certain nombre de traits culturels comoriens (l'usage de la pirogue à balancier, certaines cultures tropicales, comme celles du bananier, du manguier, de la canne à sucre, etc.) ont leur origine en Asie du Sud-Est.


Xe siècle.Selon la tradition, Mohamed ben Othman aurait introduit la circoncision et l'Islam.

XIIe siècle.Les géographes arabes (comme Edrisi) mentionnent une " région de Qumr " et un " canal de Qumr ", proches des sources du Nil.On peut supposer que ces termes désignaient la zone du canal de Mozambique.Ils ont fini par s'appliquer spécifiquement à l'archipel des Comores.

Les Comores sont sans doute l'une des échelles du commerce arabe de la côte orientale de l'Afrique (or, ivoire, plumes, esclaves).On en trouvera un écho dans les contes de " Sindbad le marin ".

Comme Zanzibar, les Comores semblent être entrées dans la dépendance de Kilwa (sur la côte africaine, au sud de Dar-es-Salaam), où règnent des princes venus de Chiraz.

XVIe siècle. Des Portugais s'installent à la Grande Comore dans les toutes premières années du siècle.

1506.Arrivée d'une flotte, conduisant des " Chiraziens " (qui sont peut-être tout simplement originaires de Kilwa), sous l'autorité de Mohamed ben Haïssa.

Dorénavant, des manuscrits, notant - en caractères arabes - l'arabe, le comorien ou le swahili, permettent de reconstituer les généalogies des clans et des sultanats, au demeurant particulièrement complexes.

L'aristocratie chirazienne, qui entend contrôler le pouvoir, sera renforcée par l'arrivée d'autres princes venant de Zanzibar, du Yemen, d'Oman, de Mascate.Les conflits entre ces nouveaux arrivants et les populations anciennes seront longtemps vivaces, au point de mériter aux Comores le surnom d'" archipel aux sultans batailleurs ".

Par ailleurs, des Malgaches (Sakalava), conduits par Diva Mame, viennent s'établir à Mayotte.

Fin XVIe-XVIIe siècles. Les marins comoriens commercent dans l'océan Indien, entre l'Afrique et Madagascar, et jusqu'à la Mer Rouge.

Les pirates européens commencent à relâcher dans l'archipel.Les Comores, et particulièrement Anjouan, très accueillante, deviennent une escale très fréquentée.

XVIIIe siècle. Dans la seconde moitié du siècle, des flottes malgaches (composées surtout de Betsimisaraka et pouvant compter jusqu'à 18 000 hommes) viennent ravager les côtes comoriennes.Domoni (à Anjouan) est détruite en 1780 ; Iconi (à la Grande Comore) est prise en 1805, après des combats légendaires qui durèrent plusieurs jours.

Ces razzias, très dommageables, incitent les sultans à rechercher la protection des puissances européennes.

1803. Le Premier Consul Napoléon Bonaparte fait déporter à Mutsamudu (Anjouan) le général Rossignol et ses compagnons accusés d'avoir préparé un attentat .

1816. Le sultan Abdallah Ier, qui a construit la forteresse de Mutsamudu (Anjouan), pour se défendre contre les incursions malgaches, se rend à Bourbon pour solliciter la protection de Louis XVIII.

1828.Ramanateka, un Hova, vient, après la mort de Radama Ier se réfugier à Anjouan, avec une centaine de compagnons.Le sultan lui permet de s'installer à Moheli.Ramanateka y prend le pouvoir et, converti à l'Islam, en devient le sultan, sous le nom d'Abderahmane.

1841. Un traité signé par Andriantsuli, prince malgache réfugié aux Comores, qui s'est fait reconnaître par le sultan d'Anjouan le gouvernorat de Mayotte, cède la propriété de l'île à la France.En 1843, au nom de Louis Philippe, le commandant Passot prend possession de Mayotte.L'esclavage est aboli en 1846, mais les conditions de travail imposées par les planteurs créoles provoquent en 1856 l'éclatement d'une insurrection.

Les divers commandants français de Mayotte n'auront de cesse d'intervenir dans les affaires des îles voisines et de préparer leur annexion, pour soustraire l'archipel aux convoitises coloniales anglaises ou allemandes.

1848.Un consul anglais s'installe dans l'île d'Anjouan et cherche à y faire prévaloir l'influence britannique.Mais quand la Grande Bretagne tentera d'obtenir, en 1882, l'abolition de l'esclavage dans l'île, le sultan se tournera vers la France, dont il sollicite l'intervention.

1865. Le traitant Lambert, venant de Madagascar, où il avait été fait " duc d'Imerina " par le roi Radama II, obtient de la reine de Mohéli une concession exorbitante, " pour mettre l'île en valeur ".Soutenu par la marine française, il y séjourne jusqu'à sa mort, en 1878.L'île connaît alors une période d'anarchie, attisée par les man½uvres concurrentes de la France et de l'Angleterre.

1883.Léon Humblot, envoyé par le Museum d'Histoire Naturelle de Paris pour étudier la flore et la faune des îles de l'océan Indien, se substitue à l'État français pour signer avec le sultan de Bambao, Saïd Ali, à la Grande Comore, un contrat qui lui concède terres et travailleurs à sa convenance, moyennant une redevance de 10 % des bénéfices.C'est le début d'une mainmise systématique sur l'île, qui jusqu'alors avait été déchirée par les rivalités innombrables des petits sultans locaux (Bambao, Itsandra, Badjini, etc.).

1886. Le gouvernement français impose à Anjouan, Mohéli et la Grande Comore des traités de protectorat, reconnaissant son droit de regard sur les affaires comoriennes.

1889.Humblot se fait nommer " résident " à la Grande Comore.Il met en place une compagnie coloniale, qui progressivement se ramifie dans toutes les îles de l'archipel et constitue un réseau d'exploitations agricoles (cocotiers, plantes à parfum) et d'entreprises intégrées verticalement (production agricole, usines de transformation, entreprises de vente en gros et détails, services divers) qui contrôlent toute l'activité économique comorienne : le système Humblot, favorisé par l'exiguïté du territoire et la passivité complice de l'administration, réalise la perfection et la caricature de la colonisation.

1892.Les Kabars (gouvernements locaux) étant supprimés, l'annexion d'Anjouan, Mohéli et de la Grande Comore devient une réalité, juridiquement entérinée en 1904.

1908. Mayotte et ses dépendances (c'est-à-dire les trois autres îles) sont rattachées par décret à la colonie de Madagascar.

1912.La loi du 25 juillet confirme cette annexion.La colonie comorienne a donc été successivement (et de manière plus ou moins théorique) rattachée à la Réunion (en 1816), à Nosy Be (entre 1843 et 1877), à la Réunion à nouveau (en 1896), pour devenir désor-mais une dépendance de Madagascar.Comme Tananarive est loin est que les budgets sont réduits, les Comores vont désormais vivoter, en accumulant les retards économiques et sociaux.

1914.Mort de Léon Humblot.

D'autres grandes sociétés se constituent.La Société Coloniale Bambao (qui a commencé en reprenant les terres du sultan d'Anjouan) rachètera même en 1938 celles d'Humblot.Ce sont ces sociétés qui façonnent l'évolution des Comores.Comme elles ont accaparé la plus grande partie du sol, la lente augmentation de la population commence à poser le problème de l'accès aux terres agricoles.Par ailleurs, ces sociétés privilégiant les cultures spéculatives d'exportation, les îles ne produisent pas de quoi nourrir leur population.

Pendant la période coloniale, les Comores fournissent des soldats et des marins à la France, exportent des fonctionnaires et des imams vers Zanzibar.Mais sous ce système colonial, la vieille société perdure, avec ses hiérarchies complexes, son droit particulier, ses observances religieuses maintenues.Notables traditionnels, chefs religieux, responsables de l'administration, employés des sociétés se côtoient, s'ignorent ou s'épaulent selon de secrètes connivences.

1946. Après avoir été occupées (en 1943) par les Anglais, qui souhaitaient les soustraire à l'autorité du Gouverneur " vichyste " de Madagascar, les Comores réintègrent juridiquement l'Union Française, avec le statut de " territoire français d'outre-mer ", qui consacre leur séparation d'avec Madagascar.Elles bénéficient désormais d'un statut évolutif, comportant un Conseil général, doté peu à peu de pouvoirs délibératifs sur des sujets non politiques.Une prudente réforme agraire est entreprise au début des années 50.

1956. La Loi-cadre " Defferre " introduit une plus large autonomie en unifiant le collège électoral et en organisant un Conseil de Gouvernement.Celui-ci est installé à Dzaoudzi (Mayotte), traditionnel lieu de résidence de l'autorité de tutelle, mais l'Assemblée siège à Moroni (Grande Comore).

1958. Les Comoriens se prononcent au référendum du 28 septembre pour le maintien de l'archipel au sein de la République française.

1961. La loi du 22 décembre organise l'autonomie interne des Comores, dont l'Assemblée nationale a désormais juridiction sur tous problèmes, hormis les Affaires étrangères, la Défense et la Justice.

La vie politique locale a d'abord opposé des regroupements flous, les " Blancs ", rassemblant les grands commerçants et leurs clientèles, autour de Saïd Ibrahim, et les " Verts ", c'est-à-dire surtout des fonctionnaires, autour de la forte personnalité de Saïd Mohamed Cheikh, député à l'Assemblée nationale à Paris de 1946 à 1961, président ensuite du Conseil de Gouvernement.Ces deux formations s'entendent pour se partager les responsabilités politiques.Mais les rivalités insulaires interfèrent avec ce système politique.Les notables de Mayotte fondent en 1957 le Mouvement mahorais, dont l'audience est multipliée quand, en 1966, le gouvernement de Saïd Mohamed Cheikh décide de transférer à Moroni la capitale du Territoire.

1963. Un Mouvement de Libération des Comores, basé à Dar-es-Salaam, lance le mot d'ordre d'indépendance pour l'archipel.La revendication est reprise par différents mouvements politiques.La répression d'une grève des lycéens de Moroni en 1968 précipite l'évolution.

1971. Saïd Ali, qui a succédé à Saïd Mohamed Cheikh comme président du Conseil de Gouvernement, tente une conciliation avec les Mahorais, mais la situation politique se dégrade.

1973. Ahmed Abdallah est porté à la présidence du Conseil de gouvernement avec le mandat d'obtenir l'indépendance de l'archipel.

1974. L'accord du 14 novembre 1974 prévoit l'organisation d'un référendum, qui a lieu le 22 décembre et qui connaît une forte participation électorale.95 % des votants se prononcent pour l'indépendance..., sauf à Mayotte où 65 % d'entre eux préfèrent le maintien dans la République française.La situation est délicate, et les autorités françaises temporisent.

1975. Le 6 juillet, le président Ahmed Abdallah proclame unilatéralement l'indépendance, ce qui entraîne la sécession de fait de Mayotte.

Le 3 août un coup d'État porte au pouvoir Ali Soilih, leader de l'opposition, agronome de formation, aux convictions socialistes et laïques affichées.Le régime révolutionnaire qu'il met en place se veut non-aligné en politique extérieure et radical à l'intérieur : dissolution de l'administration et de la fonction publique, remplacée par un système décentralisé ; lutte contre les traditions paralysantes, comme la coutume ostentatoire du " Grand Mariage " ou le port du voile par les femmes...Le nouveau pouvoir tourne vite à la dictature inconséquente et brutale.Le référendum de 1977 souligne la perte de prestige d'Ali Soilih.

1978 (12-13 mai). Des mercenaires, sous le commandement de Bob Denard, débarquent secrètement, arrêtent Ali Soilih, l'abattent au cours d'une tentative de fuite.Une junte rappelle l'ancien président destitué, Ahmed Abdallah.

Celui-ci, qui avait assis sa fortune personnelle sur le commerce du riz, nourriture essentielle des Comoriens, dont il contrôlait le monopole de l'importation, reste l'obligé de Bob Denard et de ses mercenaires.Nouant des relations commerciales importantes avec l'Afrique du Sud, dans l'espoir d'y trouver un soutien solide, il impose au pays un régime autoritaire et paternaliste, qui suscite une sourde contestation.

1979. La loi du 22 décembre proroge le statut particulier de collectivité territoriale défini pour Mayotte en 1976.

1989 (26 novembre).Le président Ahmed Abdallah est assassiné à l'intérieur du palais présidentiel.Tout indique que Bob Denard et ses mercenaires sont directement impliqués dans ce meurtre.

11 mars 1990 : Said Mohamed Dhohar est élu président de la République. Il devient le troisième Chef de l'Etat comorien.

Septembre 1995 : Coup d'Etat par les mercenaires. Djohar sera déporté à l'île de la Réunion.

Octobre 1995 : Djohar retrouvera le fauteuil présidentiel.

Mars 1996 : Mohamed Taki Abdoulkarim est élu président de la République avec plus de 64% des suffrages exprimés.

Juillet 1997 : Anjouan et Mohéli agitent le drapeau sécessionniste. Les deux îles veulent se détacher de la République, accusant la Grande Comore d'avoir accaparé tout l'appareil étatique.

Novembre 1998 : Mort du président Taki dans des circonstances restées encore aujourd'hui obscures. Il venait juste de rentrer d'un voyage officiel en Turquie. Tadjidine Ben said Massonde, président de la Haute Cour Constitutionnelle, assurera l'intérim et nommera Abbas Djoussouf, une figure de l'opposition, Premier ministre.

23 avril 1999 : Accords d'Antananarivo sous l'initiative de l'OUA, la délégation anjouanaise ne signera pas le document et demandera un temps de réflexion pour consulter sa population.

30 avril 1999 : Le Colonel Azali Assoumani, chef d'état-major de l'armée, prend le pouvoir. Il suspendra ensuite la Constitution.

6 mai 1999 : Une Charte constitutionnelle sera élaborée et fera office de loi fondamentale de la République. Les îles seront placées sous l'autorité d'un gouverneur.

17 février 2001 : Signature des Accords de réconciliation de Fomboni en présence de la communauté internationale.

19 décembre 2001 : Des mercenaires, se faisant passer pour des agents de la FBI, ont débarqué dans l'île de Mohéli dans le noir dessein de déstabiliser le pouvoir du colonel Azali Assoumani. Certains seront abattus par l'armée nationale du développement (AND).

23 décembre 2001 : Référendum constitutionnel de l'Union des Comores, mettant fin à la République Fédérale Islamique des Comores et consacrant la naissance de l'Union des Comores.

21 janvier 2002 : Le colonel Azali Assoumani remet sa démission pour pouvoir se présenter à l'élection présidentielle comme stipulé dans la constitution. C'est le Premier ministre Hamada Madi Boléro qui dirigera la transition.

7 avril 2002 : Election des présidents des îles autonomes d'Anjouan et de Mohéli, respectivement Mohamed Bacar et Mohamed Said Fazul.

14 avril 2002 : Azali Assoumani est élu premier Président de l'Union des Comores

19 mai 2002 : Mzé Soulé Elbak est élu président de l'île de Ngazidja (Grande Comore).



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#Posté le mardi 13 janvier 2009 07:12

Référendum à Mayotte

Le dépit du Président Sambi à l'approche du référendum à Mayotte

Interrogé sur la question mahoraise, et précisément sur le référendum de Mars prochain traitant de l'évolution statutaire de Mayotte, lors d'une conférence de presse tenue au Palais de Beit-Salam, le jeudi 8 janvier 2009, le Président Sambi, a laissé entendre que « c'est la loi du plus fort qui a pris le dessus sur la concertation ou le droit international » et de dire « que cette consultation ait lieu ou pas, le résultat est le même pour moi, mon gouvernement et le peuple comorien : elle est nulle et non avenue, comme elle l'est pour l'Onu et toutes les organisations internationales qui reconnaissent la souveraineté des Comores sur un archipel de quatre îles, dont Mayotte ».



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