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Blog de mirontsy.com (mirontsi@gmail.com)

Photo de mirontsyAHCRM

mirontsyAHCRM

Description :

Droit à l'information et droit d'informer
La liberté des médias et la démocratie

Le droit d'informer et le droit à l'information sont indissociables. Ils concernent tous les aspects de la vie économique, sociale et politique.

L'information se trouve partout, elle nous envahit via de tous les médias modernes, presse, radio, TV hertzienne, TV numérique, TNT et surtout INTERNET.

Elle est d'ailleurs omniprésente, voire même oppressante. au point, qu'à peine reçue, on passe à la suivante sans prendre le temps d'y réfléchir, le tout d'une manière assez mécanique, automatique, tel un gavage médiatique.

L'information, la sur-information, est peut-être en passe de devenir le nouvel opium du peuple.

Celui qui contrôle l'information, contrôle le pouvoir, et le pouvoir a de plus en plus la fâcheuse habitude de contrôler l'information

Le rôle joué par les médias a pris une telle importance dans la société qu'ils sont souvent considérés comme le "quatrième pouvoir"

Or, plus que jamais, il est important de prendre du recul, de trier, et surtout, de réfléchir à toute cette information.


Par exemple pour vous,, vous voulez vous tenir au courant de l'actualité ...du bled ?

Ce blog est fait pour vous !

Bien entendu, vous pouvez réagir à chaque article en laissant vos commentaires, vos avis, vos coups de gueule ainsi que vos coups de coeur...
Vos questions seront le bien venue et se fera un réel plaisir de vous répondre le plus souvent possible.
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l'hymne des Comores

Beramu yi tsi pepeza,
inadi wucopozi piya
yi dawula yi venuha,
ta sibabu ya yi dini vo ya tsangaya,
hunu Komoriya
Na ri keni,na mahaba,
ya hu vendza ya masiwa yatru,
Wasi wa Komori damu ndzima,
Wasi wa Komori dini ndzima,
Ya masiwa ra zaliwa,ya masiwa ya ri leya
Mola né ari sayidiya
Na ri keni ha niya,
Ri vendze watwaniya
Mahaba ya dini na duniya,

Beramu yi tsi pepeya
Rangu mwezi sita ya juillet,
Yi dawula yi venuha,
ma siwa zatru ya katuha,
Mawore na ndzuwani,Mwali na Ngazidja,
Na ri keni,na mahaba,
Ya hu vendza,
Ya masiwa !>>!

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Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...
C'est une histoire très touchant et sa fait prendre conscience de certaines choses envers notre mariage. On passe notre temps à penser aux choses non essentielles on se plaint de nos problèmes sans savoir pourquoi nous en avons et oublie le principal ... C'est une leçon de moral et sa fait bcoup méditer.

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s'est pas parlé l'un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon c½ur, car il s'était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j'avais juste pitié d'elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J'étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l'ai trouvée entrain d'écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d'ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu'elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l'ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l'avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d'elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j'ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son c½ur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l'ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C'était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J'ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu'il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J'ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu'elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j'ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n'ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonnés.
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 03:11

Modifié le dimanche 20 janvier 2013 04:37

Célebration du 25e Anniversaire de la COI



Célebration du 25e Anniversaire de la COI

Mutsamudu aux couleurs de l'Océan Indien
Pour une compagnie aérienne et maritime régionale
C'était l'animation des grands jours au Palais présidentiel de Daru Nadja qui a accueilli la cérémonie commémorative du 25e anniversaire de la COI. Précis dans les détails et les citations, émouvant dans la voix, le Docteur Ferrari, ancien Ministre des Affaires Etrangères des Seychelles a rappelé le contexte et les grands moments de la naissance de la COI en tant que père fondateur.

NICHÉ dans la plaine fraîche de Patsy et surplombant la Ville de Ouani et la mer l'ancien palais du Colonel Bacar a repris des couleurs et des formes. Des centaines d'invités ont précédé le cortège des officiels représentants les 5 pays membres et les principaux partenaires de la COI. Des diplomates accrédités aux Comores ont également honorés de leur présence cette cérémonie solennelle notamment le nouveau représentant résident de la Ligue des Etats Arabes.
Dans son mot de bienvenue, Ahmed Said Djaffar président en exerce du Conseil des Ministres de la COI a remercié ses pairs et ses nombreux hôtes d'avoir accepter de partager avec le peuple comoriens la joie d'appartenir à ensemble géographique, économique et culturel commun. Il s'est félicité de l'honneur qui lui échu d'accueillir en tant que président en exercice ces différentes manifestations commémorant le quart de siècle de l'organisation.
L'allocution la plus parlante de la journée a été sans nul doute le témoignages d'un des pionniers de l'unité régionale Indianocéanique. Le docteur Ferrari Ministre des Affaires Etrangères des Seychelles en 1984 lors de la Signature de l'accord générale de coopération de Mahé a fait le déplacement à Anjouan pour l'occasion. La mémoire fraîche et la voix émue, Maxime Ferrari a rappelé les circonstances de la création de l'organisation par les trois pays fondateurs, Madagascar, Maurice et Seychelles. Il a surtout évoqué avec précision et détails les dispositions qu'il a pris avec ses pairs pour que les Comores et la Réunion puissent intégrer leur ensemble naturel : « par cet acte la volonté des hommes voulait consolider ce que la géographie avait déjà unifiée » a-t-il dit en substance.

De nombreuses manifestations

Intervenant à la suite de son compatriote, Calixte D'Offay qui officie Comme Secrétaire Général de l'Organisation plutôt que de brosser un bilan a rendu hommage à tous ses prédécesseurs en les citant nommément : M. RASOLONDRAIBE 1989-1993, (Malgache) ; M. BONNELAME 1993-1997, (Seychellois) ; M. CAABI EL YACHROUTU 1997-2001 (Comorien) ; M. Wilfrid Bertile, 2001-2004 (Français), Monique Andreas, 2004- 2008 (Malgache)
.. Il les a remercié pour l'effort continu dans la mise en place et la structuration du Secrétariat Général ainsi que la recherche permanente de l'efficacité au service des projets mise en ½uvre au bénéfice des populations.
Il s'est engagé à continuer le chantier et renforcer son équipe comme il a été recommandé par le dernier Conseil des Ministres.
Clôturant la cérémonie, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi Président de l'Union des Comores a reconnu le rôle important que joue la COI en particulier dans son pays. Il a cité les nombreuses réalisations dans la préservation de l'environnement naturel, de la santé des populations et du renforcement du tissu économique. Il a par ailleurs fait connaître son intention de proposer la création d'une banque régionale et d'une compagnie aérienne et maritime afin de rapprocher davantage les économies des pays membres.
La commémoration de l'éventement ne s'est pas cloîtrée dans les murs du palais puisque Mutsamudu vit depuis quelques jours déjà au rythme de la COI. Des conférences à l'alliance Franco-comorienne, un podium géant au stade de Missiri et de nombreuses manifestations de rue ont permis à la population de la ville de communier avec les délégations venues des îles s½urs.

De notre correspondant
A. Mohamed


Pour une compagnie aérienne et maritime régionale
Témoignages du lundi 12 janvier 2009 (page 3)
http://www.temoignages.re/article.php3?id_article=34506
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#Posté le mardi 13 janvier 2009 03:45

Modifié le mardi 13 janvier 2009 04:22

600 g d'héroïne saisis sur une passeuse comorienne

600 g d'héroïne saisis sur une passeuse comorienne

Les policiers mauriciens ont interpellé, samedi, une ressortissante comorienne en possession de 600 grammes d'héroïne ainsi qu'un citoyen tanzanien qui devait prendre livraison de la drogue. Une affaire qui confirme l'existence d'un axe Tanzanie-Maurice pour le trafic d'héroïne, via Madagascar.

Selon le journal Week-End, la jeune femme originaire des Comores, âgée de 29 ans, a été employée comme passeuse. Elle a effectué deux voyages en Tanzanie fin 2008 avant d'arriver à Maurice, vendredi soir, à bord d'un vol en provenance d'Antananarivo. Les policiers ont découvert la drogue lors d'une fouille dans ses bagages, à l'aéroport de Plaisance. Les enquêteurs ont ensuite ordonné à la jeune femme de joindre son contact à Maurice comme il était prévu. Les 600 grammes devaient être livrés à un ingénieur tanzanien arrivé en novembre à Grand Baie comme touriste et soupçonné par les policiers mauriciens d'être un trafiquant de drogue, révèle le journal Week-End. Les policiers ont donc mis en place une filature. L'ingénieur tanzanien a été interpellé, samedi, au Caudan, lors de son rendez-vous avec la passeuse. Le suspect a tenté de prendre la fuite. Deux enquêteurs ont été blessés en voulant le maîtriser. Le destinataire présumé a été placé en détention policière avant de comparaître aujourd'hui en justice pour son inculpation. Tout comme la femme d'affaires comorienne. En une semaine, les policiers mauriciens peuvent se féliciter d'avoir élucidé deux belles affaires de stupéfiants. Mercredi dernier, c'est un marin du Mauritius Trochetia, en provenance de Madagascar, qui avait été appréhendé avec sur lui 730 grammes d'héroïne d'une valeur de 10 millions de roupies (232 000 euros)

CLICANOO.COM |Publié le 12 janvier 2009
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#Posté le mardi 13 janvier 2009 03:38

Modifié le mardi 13 janvier 2009 04:18

Référendum à Mayotte

lundi 12 janvier 2009

le vote aura lieu le 29 mars
Référendum à Mayotte sur la départementalisation de l'île : l'espoir d'un ancrage définitif


Nombre de Mahorais disent attendre du prochain référendum sur la départementalisation une confirmation définitive du statut français de l'île de l'océan Indien et l'extension des avantages sociaux de la métropole.
Le 29 mars, les 187 000 habitants (chiffre officiel en 2007) seront appelés à se prononcer sur la transformation de la collectivité départementale en département. Dakriben Mohamed, prof de gym de 37 ans, parie que les Mahorais voteront oui pour « un ancrage définitif dans la République ».
Ils en espèrent surtout, selon ce directeur d'un « centre de fitness », le versement de prestations sociales identiques à celles des autres départements d'outre-mer, alors que le PIB par habitant est par exemple trois fois moindre que celui de l'île voisine de La Réunion.
Selon les chiffres officiels, le chômage frappe environ un quart de la population. Mais personne ne prend vraiment au sérieux les statistiques publiques, notamment à cause de l'importance du secteur « informel » et de la forte population de clandestins venus des Comores voisines.
L'ancien président du conseil général Saïd Omar Ouali évalue pour sa part le nombre de sans-emploi à 60 à 70 % de la population.
Et en contrepartie de cette extension, Mayotte sera soumise à partir de 2014 à une fiscalité de droit commun, c'est-à-dire, en plus de l'impôt sur le revenu déjà existant, des taxes foncières, la taxe d'habitation et la taxe sur les ordures ménagères. « Aucun élu n'ose aller expliquer (cela) aux Mahorais », dénonce M. Ouali, qui reconnaît que le gouvernement a de son côté annoncé la couleur et « a fait son travail ».
lundi 12 janvier 2009
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#Posté le mardi 13 janvier 2009 03:30

Modifié le mardi 13 janvier 2009 04:30

Océan indien - Comores


Célébration du 25ème anniversaire de la Commission de l'océan Indien à Moroni


Moroni, Comores - Le chef de l'Etat comorien, Ahmed Abdallah Sambi, a appelé, ce week-end, l'Union africaine, la Banque africaine de développement (BAD) et la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (CEA) à poursuivre leur soutien à la Commission de l'océan Indien (COI) qui, a-t-il dit, a réalisé, en 25 ans d'existence, une ½uvre utile et efficace qui mérite d'être consolidée.
S'adressant ce week-end à Anjouan, devant le conseil des ministres de la COI réuni à Mutsamudu, la capitale de l'île, pour la célébration du 25ème anniversaire de l'organisation régionale, a par ailleurs proposé la création d'une banque et d'une compagnie aérienne régionale, estimant que de tels instruments sont à même de faciliter la circulation des personnes et des biens dans la région.

Des observateurs comoriens ont interprété ce dernier aspect de l'intervention présidentielle comme un appel aux autorités françaises de l'île de La Réunion (un département français) pour assouplir les conditions d'entrée dans l'île dont l'étanchéité des frontières complique quelque peu les relations au sein des cinq îles de l'océan Indien.

Moroni - 11/01/2009

Pana
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#Posté le lundi 12 janvier 2009 09:49

JOURNEE CULTURELLE DE A.H.C.R.M

JOURNÈE CULTURELLE COMORIENNE A.H.C.R.M DE MIRONTSY À MARSEILLE

A.H.C.R.M VOUS INVITE À UNE JOURNÈE CULTURELLE COMORIENNE QUI SERA ANIMÈE PAR LE GROUPE JIVA
Samedi 14 Fevrier 2009
` Salle de fête : Espace culturelles Amazigh 130 chemin de
la madrague-marhé aux puces 13015 MARSEILLE


Programme: Danses traditionnelles Anjouannaises
Venez nombreux votre présence est vivement souhaitée

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#Posté le samedi 10 janvier 2009 16:22

Modifié le lundi 12 janvier 2009 07:50

Guinée-Bissau

Formation d'un nouveau gouvernement en Guinée-Bissau
Actualités - Politique
Bissau, Guinée-Bissau - Le président bissau-guinéen, Joao Bernardo "Nino" Vieira, a procédé, mercredi soir, sur proposition du Premier ministre Carlos Gomes Junior, à la formation d'un nouveau gouvernement de 31 membres, dont 21 ministres et 10 secrétaires d'Etat.

Les 31 ministres sont tous issus du Parti africain pour l'indépendance de la Guinée-Bissau et des îles du Cap-Vert (PAIGC), sorti victorieux des élections législatives du 16 novembre dernier avec 67 sièges de députés sur les 100 que compte l'Assemblée nationale bissau-guinéenne (Parlement).

Voici la composition du nouveau gouvernement:

1. Ministre de la présidence et du Conseil des ministres : commandant Manuel Saturnino da Costa; 2. Ministre des Affaires étrangères et des Communautés : Mme Adiato Nandigna; 3. Ministre de l'Energie et des Ressources naturelles : Antonio Oscar Barbosa; 4. Ministre de l'Education nationale, de la Culture et des Sciences : Aristides Ocante da Silva; 5. Ministre de la Femme, de la Famille, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la Pauvreté : Mme Fatima Faty; 6. Ministre de l'Administration territoriale : Baciro Dabo; 7. Ministre de la Défense nationale : Artur Silva; 8. Ministre de l'Intérieur : commandant Lucio Soares; 9. Ministre de la Communication sociale et des Affaires parlementaires : Fernando Mendonça; 10. Ministre de la Justice :Mamadu Diallo Pires; 11. Ministre de l'Economie, du Plan et de l'Intégration régionale : Mme Helena Nosolini Embalo; 12. Ministre des Finances : Mario Vaz; 13. Ministre des Pêches : Carlos Mussa Baldé; 14. Ministre des Anciens combattants : général Buota NamBatcha; 15. Ministre de l'Agriculture et du Développement Rural : Mme Evarista de Sousa; 16. Ministre du Commerce et de l'Industrie : Botche Candé; 17. Ministre des Infrastructures, des Transports et des Communications : José Antonio da Cruz Almeida; 18. Ministre de la Santé publique : Camilo Simoes Pereira; 19. Ministre de la Jeunesse et des Sports : Baciro Dja; 20. Ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Modernisation : Fernando Gomes; 21. Ministre du Tourisme et de l'Artisanat : Lurdes Vaz.

Secrétaires d'Etat: 1. Secrétaire d'Etat à l'Environnement et au Développement Durable : Barros Bacar Banjai; 2. Secrétaire d'Etat aux Communications : Lassana Turé; 3. Secrétaire d'Etat à l'Energie : Wasna Papai Danfa; 4. Secrétaire d'Etat à l'Administration territoriale : Antonio Inacio Gomes Correia; 5. Secrétaire d'Etat au Plan : Fernando Dias; 6. Secrétaire d'Etat au Trésor : José Carlos Varela Casimiro; 7. Secrétaire d'Etat au Budget et aux Affaires fiscales : Mme Gabriela Fernandes; 8. Secrétaire d'Etat à l'Enseignement : Besna Na Fonta, 9. Secrétaire d'Etat aux Transports et aux Communications : José Carlos Esteves; 10. Secrétaire d'Etat à l'Administration hospitalière : Augusto Paulo José da Silva.

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#Posté le dimanche 11 janvier 2009 16:14

Le président comorien soumet au gouvernement la révision constitutionnelle


Le président comorien soumet au gouvernement la révision constitutionnelle

Moroni, Comores – Un premier document de sy nthèse relatif au projet de révision de la constitution défendu par le président comorien, Ahmed Abdallah Sambi, a été soumis au gouvernement, a appris la PANA d'un communiqué du Conseil des ministres reçu jeudi à Moroni.

L'avant-projet de loi référendaire, a-t-il été précisé dans ce document, a tenu compte des orientations du chef de l'Etat dont le souhait est de faire adopter une loi fondamentale garantissant l'équilibre des pouvoirs, offrant la possibilité au chef de l'Etat de dissoudre l'Assemblée et à celle-ci de censurer un ou plusieurs ministres par un mécanisme de pétition.

Le document dit respecter, selon le porte-parole du gouvernement, le Dr Kamal eddine Afraitane, "l'autonomie des îles et la présidence tournante" et préconise "l'harmonisation des mandats des exécutifs notamment la durée des exécutifs et la périodicité des élections".

A rappeler que les opposants du président Sambi rejettent d'emblée toute idée de révision de la constitution qui, à leurs yeux, maintiendrait au pouvoir l'actuel chef de l'Etat.

"Si les Mohéliens jugent qu'il [le référendum] ne doit pas avoir lieu, on fera tout ce qu'il faut pour empêcher ce référendum", a dit le président de l'île de Mohéli, Mohamed Ali Said.
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#Posté le dimanche 11 janvier 2009 16:13

Les solutions souhaitables au différend franco-comorien sur l'île de Mayotte

L'heure des statuts unifiés est passée

D'emblée, il faut d'abord partir du postulat selon lequel il ne saurait y avoir de conflit franco-comorien permanent sur Mayotte. Mais comment faire pour mettre un terme à la position inconfortable de la France face aux revendications légitimes de l'État comorien et aux admonestations périodiques de la Communauté internationale et notamment à celles des Nations Unies et de l'Union Africaine ?

Quelles sont en d'autres termes les solutions concevables pour ramener la sérénité dans l'archipel aux anciens "sultans batailleurs" et restaurer l'indispensable amitié franco-comorienne ? Voici les questions lancinantes qui sont posées depuis maintenant plus de trois décennies.

Les deux Parties directement intéressées - la France et les Comores - doivent d'abord s'abstenir de tout recours à la force ou à la menace pour résoudre leur différend territorial et favoriser en revanche la négociation diplomatique sans aucun a priori. Elles doivent faire prévaloir la modération en sachant pertinemment qu'on se saurait du jour au lendemain régler un contentieux qui perdure depuis 1975.

Dans un discours prononcé à la tribune de l'Assemblée générale des Nations Unies le 27 septembre 2007, le chef de l'État comorien s'est pour sa part nettement prononcé en ce sens et a souhaité que la question mahoraise soit abordée avec la France "en privilégiant le dialogue et la concertation" (1). Dans cette optique que l'on peut considérer comme réaliste, un certain nombre de mesures sont souhaitables. Certaines relèvent du Gouvernement de Paris (I). D'autres incombent au Gouvernement de Moroni (II).

I. Les mesures souhaitables incombant au Gouvernement de Paris


Un premier constat positif s'impose. Depuis le 6 juillet 1975, la France n'a rien fait qui puisse nuire à la complémentarité des îles de l'archipel des Comores dès lors que le Gouvernement de Paris a réussi jusqu'ici à reporter toute perspective de départementalisation intégrale de Mayotte. Théoriquement, le nouveau statut hybride et précaire de ce territoire français ultramarin fixé par la loi du 11 juillet 2001 - récemment complété par la loi organique du 21 février 2007 - n'exclut pas formellement la réintégration de "l'île Rebelle" dans un ensemble comorien indépendant. C'est peut-être l'objectif inavoué de certains milieux politiques parisiens qui espèrent - en faisant "courir" les Mahorais vers un idéal quasi inaccessible - les décourager et, par dépit, les faire changer d'avis, soit pour conserver un régime administratif bâtard comme c'est le cas aujourd'hui, soit pour les inciter à revendiquer l'indépendance de leur île.

De ce point de vue, on pouvait craindre la prise de position du Gouvernement de Paris visant à organiser un nouveau référendum sur l'avenir de Mayotte en l'an 2000 afin de permettre à ses habitants de choisir leur statut administratif et en conséquence opter pour le statut de DOM qui - à notre avis - est de nature à creuser définitivement le fossé entre Comoriens et Mahorais sur les plans économique, social et culturel. Cette nouvelle consultation populaire à Mayotte pouvait par ailleurs entraîner de nouvelles protestations de la part des différentes composantes de la Communauté internationale et être de nature à détériorer davantage les relations franco-comoriennes, sinon à les rompre. Interviewé par “Le Monde”, le Président Ahmed Abdallah n'avait-il pas déjà lancé le jeudi 15 octobre 1981 un avertissement solennel au Gouvernement de Paris à propos du statut de Mayotte ? Il déclarait en effet sous une forme imagée : « Quand une fille qui s'appelle les Comores aime un homme qui s'appelle la France et que cet homme ne l'aime pas, elle peut soit se suicider, soit chercher un autre homme ». (2).

Cette menace n'est-elle pas toujours valable en 2009 ? La France se devait donc, à notre humble avis, de ne pas promettre à terme la départementalisation de Mayotte. Dans un contexte international difficile, elle avait l'obligation de maintenir un quasi statu quo dans "l'île hippocampe" sur le plan interne pour une période indéterminée.

Faut-il le souligner ? C'est bien cette solution pragmatique qui a prévalu avec l'adoption par les Mahorais eux-mêmes le 2 juillet 2000 d'un nouveau statut administratif sui generis et évolutif - ou "départementalisation adaptée" de l'île selon la terminologie du MPM - entériné par la loi statuaire du 11 juillet 2001, puis par la loi organique du 21 février 2007. De toute façon, il est faux déjà de croire - comme le font certains Mahorais - que la départementalisation de Mayotte promise avant la fin du premier semestre 2009 puisse être considérée comme une récompense à la fidélité manifestée à l'égard de la France par ses habitants depuis plus de cent-soixante sept ans. Il en est ainsi même si Mayotte est devenue une terre française bien avant certaines portions du territoire métropolitain de la République française comme, par exemple, Nice et la Savoie dont l'annexion par la France n'interviendra qu'en 1860.

Est-il encore besoin de souligner que le fameux statut départemental tant convoité par les habitants de Mayotte et leurs représentants depuis près de cinquante ans maintenant - même substantiellement adapté pour tenir compte des évidentes spécificités locales - n'emporte pas entièrement la conviction ? Certes, ce statut administratif a eu des effets bénéfiques sur les plans infrastructurel et sanitaire ainsi que dans le domaine de l'éducation dans les quatre DOM créés au lendemain de la Libération : la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique et La Réunion. Il est donc juste de reconnaître ses mérites. Mais il faut aussi montrer ses limites. Ce statut interne n'est pas en effet la panacée sur les plans économique, social et culturel comme le fait apparaître en ce début de XXIe siècle un bilan général mitigé dans les "quatre vieilles colonies" départementalisées par la loi du 19 mars 1946 ainsi que les aspirations pressantes à plus de décentralisation - sinon des revendications autonomistes et sécessionnistes - constatées périodiquement dans les DOM des Antilles - Guadeloupe et Martinique - et dans celui de la Guyane en Amérique latine.

Confirmant son "discours de Madiana" prononcé à Sch½lcher en Martinique le 11 mars 2000, le Président de la République admet à son tour - lors de sa visite officielle à La Réunion - que l'institution départementale fondée sur l'assimilation avait atteint ses limites outre-mer et que, d'une manière encore plus générale, « l'heure des statuts uniformes est passée ». Dans son allocution prononcée à Saint-Denis, le 18 mai 2001, Jacques Chirac avait précisé sa pensée. Il déclarait en effet que les différentes collectivités territoriales d'Outre-mer devraient pouvoir, à l'avenir, « choisir au sein de la République l'évolution institutionnelle » qui leur paraît la mieux adaptée à leurs besoins et opter en conséquence, par la voie de la consultation populaire, pour un statut à la carte « dans le respect des principes de notre Constitution ».

C'est dans cette optique que chacun des trois départements français d'Amérique avait réuni, en juin 2001, son Conseil régional et son Conseil général ainsi que ses parlementaires au sein du Congrès, prévu par la loi d'orientation pour l'Outre-mer du 13 décembre 2000, afin de discuter de son évolution institutionnelle. À l'exception de La Réunion qui avait rejeté la structure du Congrès (3), la Guadeloupe, la Guyane et la Martinique avaient ainsi ouvert un processus devant aboutir à la création de nouvelles collectivités territoriales disposant d'une très large autonomie dans le cadre de la République française après une révision de la Constitution et notamment de son Titre XII concernant "les collectivités territoriales". De telles réformes sont désormais possibles depuis l'entrée en vigueur de la révision constitutionnelle du 28 mars 2003, "relative à l'organisation décentralisée de la République".

(A suivre)

Par André Oraison,
Professeur de droit public à l'Université de La Réunion

(1) Voir J.T., "La question de Mayotte à l'ONU. Sambi prône « la concertation » avec la France", Le Quotidien de La Réunion, jeudi 4 octobre 2007, p. 9.
(2) Voir "Quand une fille aime un homme qui s'appelle la France", Le Monde, samedi 17 octobre 1981, p. 15.
(3) Concernant La Réunion, une remarque spécifique s'impose. Bien que favorables à la départementalisation intégrale de leur île, les élus locaux de la droite réunionnaise se sont prononcés, pour la plupart, contre la création d'un second département à La Réunion préconisée par les forces de gauche et notamment par le Parti Communiste Réunionnais (P.C.R.). Voir ORAISON (A.), "À propos du projet de bidépartementalisation à La Réunion (Une réforme administrative salutaire)", R.J.P.I.C., mai-août 2000, pp. 191-206.


L'heure des statuts unifiés est passée
Témoignages du samedi 10 janvier 2009 (page 11)
http://www.temoignages.re/article.php3?id_article=34492
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#Posté le dimanche 11 janvier 2009 16:03

Modifié le dimanche 11 janvier 2009 16:19

Gestion du port de Mutsamudu : l'Opaco s'insurge


Gestion du port de Mutsamudu : l'Opaco s'insurge


Dans une lettre en date du 8 janvier 2008 adressée à Idi Nadhoim, vice-président de l'Union des Comores en charge des transports et du tourisme, l'organisation patronale des Comores (Opaco), pointe du doigt « des défaillances constatées dans la gestion des ports comoriens, et en particulier dans celui de Mutsamudu ».

« Nous tenons à vous alerter sur le danger que fait courir la société Spanfreight Shipping aux entreprises comoriennes par son comportement et sa politique de gestion du port de Mutsamudu », signale le document.

L'Opaco, déplore surtout «les retards de livraison et les pertes de marchandises occasionnées par la gestion hasardeuse de l'infrastructure portuaire ». Une pratique qui, toujours selon l'organisation, « provoque régulièrement des ruptures de stock à Moroni ».

Elle s'insurge surtout du fait qu' « au moment où des centaines de containers à destination de Moroni sont bloqués à Mutsamudu, ordre a été donné d'arrêter les opérations de transbordements entre Anjouan et Moroni. Le bateau ayant été affecté à d'autres tâches hors des Comores par la direction ».

Cette initiative, souligne l'Opaco, met en grande de nombreuses entreprises comoriennes déjà gravement éprouvées par le contexte international difficile et la crise que connait le pays.

L'organisation patronale dénonce « une concurrence déloyale » dont la société Spanfreight se rend coupable. « En tant qu'opérateur dans le domaine du riz et du ciment, la société privilégie systématiquement ses propres marchandises dans la livraison des containers. Ce cumul des fonctions de représentant maritime, d'exploitant du port et d'opérateurs sont totalement incompatibles », souligne le document.

Selon l'Opaco « cette situation intolérable ne peut plus durer ». Aussi, elle appelle les autorités à prendre « le problème à bras le corps et que des solutions constructives et concertées avec l'ensemble des acteurs » soient trouvées.

Faissoili Abdou

Samedi 10 Janvier 2009 - 15:57:16 -
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#Posté le dimanche 11 janvier 2009 15:31

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