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Blog de mirontsy.com (mirontsi@gmail.com)

Photo de mirontsyAHCRM

mirontsyAHCRM

Description :

Droit à l'information et droit d'informer
La liberté des médias et la démocratie

Le droit d'informer et le droit à l'information sont indissociables. Ils concernent tous les aspects de la vie économique, sociale et politique.

L'information se trouve partout, elle nous envahit via de tous les médias modernes, presse, radio, TV hertzienne, TV numérique, TNT et surtout INTERNET.

Elle est d'ailleurs omniprésente, voire même oppressante. au point, qu'à peine reçue, on passe à la suivante sans prendre le temps d'y réfléchir, le tout d'une manière assez mécanique, automatique, tel un gavage médiatique.

L'information, la sur-information, est peut-être en passe de devenir le nouvel opium du peuple.

Celui qui contrôle l'information, contrôle le pouvoir, et le pouvoir a de plus en plus la fâcheuse habitude de contrôler l'information

Le rôle joué par les médias a pris une telle importance dans la société qu'ils sont souvent considérés comme le "quatrième pouvoir"

Or, plus que jamais, il est important de prendre du recul, de trier, et surtout, de réfléchir à toute cette information.


Par exemple pour vous,, vous voulez vous tenir au courant de l'actualité ...du bled ?

Ce blog est fait pour vous !

Bien entendu, vous pouvez réagir à chaque article en laissant vos commentaires, vos avis, vos coups de gueule ainsi que vos coups de coeur...
Vos questions seront le bien venue et se fera un réel plaisir de vous répondre le plus souvent possible.
-----------------------------------------------------------------
l'hymne des Comores

Beramu yi tsi pepeza,
inadi wucopozi piya
yi dawula yi venuha,
ta sibabu ya yi dini vo ya tsangaya,
hunu Komoriya
Na ri keni,na mahaba,
ya hu vendza ya masiwa yatru,
Wasi wa Komori damu ndzima,
Wasi wa Komori dini ndzima,
Ya masiwa ra zaliwa,ya masiwa ya ri leya
Mola né ari sayidiya
Na ri keni ha niya,
Ri vendze watwaniya
Mahaba ya dini na duniya,

Beramu yi tsi pepeya
Rangu mwezi sita ya juillet,
Yi dawula yi venuha,
ma siwa zatru ya katuha,
Mawore na ndzuwani,Mwali na Ngazidja,
Na ri keni,na mahaba,
Ya hu vendza,
Ya masiwa !>>!

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Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...
C'est une histoire très touchant et sa fait prendre conscience de certaines choses envers notre mariage. On passe notre temps à penser aux choses non essentielles on se plaint de nos problèmes sans savoir pourquoi nous en avons et oublie le principal ... C'est une leçon de moral et sa fait bcoup méditer.

Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...

"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s'est pas parlé l'un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon c½ur, car il s'était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j'avais juste pitié d'elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J'étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l'ai trouvée entrain d'écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d'ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu'elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l'ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l'avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d'elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j'ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son c½ur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l'ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C'était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J'ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu'il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J'ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu'elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j'ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n'ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonnés.
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 03:11

Modifié le dimanche 20 janvier 2013 04:37

COMORES : 1ère AGNU d'IKILILOU. Ce qu'il ne dira pas
COMORES : 1ère AGNU d’IKILILOU. Ce qu’il ne dira p...

COMORES : 1ère AGNU d’IKILILOU. Ce qu’il ne dira p...

Les anciens ministres de relations extérieures (excepté Fahmi et Ahmed Djaffar) étaient invités à Beit-Salam pour souhaiter bon voyage au chef de l'Etat El Hadj Docteur en pharmacie, diplômé du prestigieux Université de Conakry, son Excellence Said IKILILOU DHOININE, pour sa première Ass...

via : wongo.skyrock.com


Les anciens ministres de relations extérieures (excepté Fahmi et Ahmed Djaffar) étaient invités à Beit-Salam pour souhaiter bon voyage au chef de l'Etat El Hadj Docteur en pharmacie, diplômé du prestigieux Université de Conakry, son Excellence Said IKILILOU DHOININE, pour sa première Assemblée Générale des Nations Unies (la 66ème AG).

Nos anciens Mirex sélectionnés pour l'occasion, ont demandé à Son Excellence, ce qu'il va dire à propos de l'île comorienne de Mayotte, la réponse a été cinglante, (comme dirait l'ex-rais à propos de 'Mayotte un pays deux administrations') « Il n'y a pas que Mayotte, dans la vie » aurait répondu Bantiti. Une réponse non diplomatique, qui ressemble à celle de l'actuel Mirex Bakri, qui se trouvait à Paris au moment où Claude Guéant a « déclenché » les hostilités contre la communauté d'origine comorienne de Marseille. Lorsqu'on lui a demandé de condamner les propos de Claude Guéant, il a répondu qu'il n'était pas là (à Paris) pour ça, oubliant qu'il est là pour l'intérêt des comoriens partout où ils se trouvent.

Ikililou Dhoinine, candidat à la présidentielle, avait déclaré dans le journal Al-watwan N° 1641 du mardi 19 octobre 2010 (CLIQUEZ) « si mes compatriotes m'accordent leur confiance, je prendrais à propos de la question de l'île comorienne de Mayotte, dans les semaines qui suivront mon investiture, des initiatives concrètes à ce sujet. Par ailleurs, je souscris entièrement au discours du président de la République (l'ex-président Sambi : Ndlr) à New York lors de la dernière session de l'assemblée générale de l'Onu » (CLIQUEZ)(voir ci-dessous)
Celui qui est élu avec le slogan « le relais qui rassure », se trouvera dans moins d'une semaine, à la tribune des Nations Unies pour trahir sa promesse électorale et se ridiculiser devant le monde entier. Avec une voix monocorde, des lèvres lâches et tremblantes, (malgré une salle presque vide) IKILILOU prononcera le mot Mayotte ou Maoré au plus deux fois.
Il ne dira pas que :
- La France par ces actes (comme la départementalisation) refuse le dialogue.
- Le GTHN (Groupe de Travail de Haut Niveau) est un trompe-l'½il
- La France a refusé la proposition comorienne « Mayotte, un pays deux administrations »
- Le visa BALLADUR est l'une des causes de mortalité aux Comores
- Le déplacement forcé de certains comoriens de Mayotte est un crime contre l'humanité
- Il ne dira pas que la France « désislamise » les Comores

DIEU FASSE QUE JE ME TROMPE

Baraka Inzouddine
http://wongo.skyrock.com/
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#Posté le dimanche 18 septembre 2011 23:35

DSK reconnaît une "faute morale"

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Dominique Strauss-Kahn est apparu le visage grave et fermé dimanche à 20 heures sur le plateau de TF1. Veste noire, cravate sombre, l'ancien directeur général du FMI, s'est dit "content de pouvoir s'exprimer". "Ce qui s'est passé ne comprend ni violence ni contrainte ni agression ni aucun acte délictueux, c'est le procureur qui l'a dit", a-t-il assuré.

L'ancien directeur du Fonds monétaire international (FMI) a reconnu "une relation inappropriée, une faute, vis-à-vis de [sa] femme et de [ses] enfants, de [ses] amis. Mais aussi vis-à-vis des Français". Il assuré que "ce n'était pas un rapport tarifé, c'était une faute morale". "Je n'en suis pas fier et je la regrette, et je crois que je n'ai pas fini de la regretter", a-t-il assuré. "J'ai du respect pour les femmes. Je comprends leur réaction. Je comprends que cela ait choqué. (...) Je l'ai payé lourdement. Je le paie toujours".

S'appuyant sur le rapport du procureur, Dominique Strauss-Kahn affirme que celui-ci "ne m'accuse en rien de traces ou de blessures. Ce tabloïd qu'est devenu L'Express a voulu présenter comme rapport médical ce qui n'était que la fiche d'entrée à l'hôpital. Il n'y a rien dans le rapport”.

"NAFFISATOU DIALLO A MENTI SUR TOUT"

"On a dit beaucoup de choses fausses, que j'avais voulu fuir, alors que mon billet pour l'Europe avait été pris depuis des jours, que j'avais déjeuné avec ma fille", a-t-il ajouté. "Le rapport du procureur dit quoi ? Ce ne sont pas mes avocats qui le disent, ce n'est pas moi. Il dit que Naffisatou Diallo a menti sur tout, elle a menti sur les faits, elle a présenté tellement de versions différentes que je ne peux plus en croire un mot, elle a menti à chaque entretien".

"Les charges ont été abandonnées, il n'y a pas lieu de poursuivre parce que les accusations sont tombées. Il n'y a pas eu de procès parce qu'il n'y avait plus aucune déclaration qui tienne. La poursuite au civil montre bien les motivations financières qui sont derrière tout cela. La procédure civile va se dérouler, je n'ai pas l'intention de négocier", explique-t-il aussi.

"J'ai eu peur, j'ai eu très peur", a répondu Dominique Strauss-Kahn quand Claire Chazal l'a interrogé sur la procédure judiciaire américaine. "Quand vous êtes pris dans les mâchoires de cette machine vous avez l'impression qu'elle peut vous broyer. J'ai eu le sentiment d'être humilié avant d'avoir pu dire un mot. J'ai beaucoup perdu". Il a refusé de parler de complot contre lui, estimant : "un piège c'est possible, un complot nous verrons".

BANON A PRÉSENTÉ UNE "VERSION IMAGINAIRE, CALOMNIEUSE"

Il a également évoqué le "rôle de l'argent", "très choquant dans la justice américaine". Revenant sur son appartement luxueux à TriBeCa, DSK a reconnu que "les sommes ont choqué". "Que fallait-il faire ? Quand vous avez quelques heures pour vous loger vous n'hésitez pas. Annes avait loué un deux pièces, on n'a pas pu y rester, on a trouvé une location trois pièces il restait trois jours. Il ne restait plus de temps, il fallait trancher, il falait une maison, qui satisfasse les conditions de sécurité. On a trouvé cette maison, je ne l'ai pas aimé, elle a coûté cher, mais c'était ça ou retourner à Rykers Island", la prison de l'Etat.

Sur l'affaire Banon, dans laquelle il est accusé de viol par la jeune femme, l'ancien patron du FMI a assuré qu'il n'y a "aucun acte d'agression, aucune violence". "La version qui a été présentée est une version imaginaire, calomnieuse, d'ailleurs j'ai déposé une plainte, je n'en dirai pas plus", a-t-il ajouté.

"OUI, JE VOULAIS ÊTRE CANDIDAT" EN 2012

Dominique Strauss-Kahn est également revenu sur sa candidature à la présidentielle. "Oui, je voulais être candidat, je pensais que ma situation au FMI me donnait un regard aigu et que je pouvais être utile et apporter des réponses, a-t-il expliqué. Tout cela est derrière moi, je ne suis évidemment pas candidat, même si je continue de penser que la victoire de la gauche est nécessaire".

Il n'a pas souhaité soutenir officiellement l'un des candidats à la primaire. "Je souhaite le succès de la primaire", il a néanmoins ajouté que "Martine Aubry est une amie. Pendant cette période, elle a été très présente et j'y ai été sensible".

Interrogé sur son avenir, Dominique Strauss-Kahn a déclaré qu'il allait "prendre le temps de réfléchir". "Je ne suis candidat à rien et dans ces conditions je vais d'abord me reposer, je vais retrouver les miens. (...) Mais toute ma vie a été consacrée à essayer d'être utile au bien public... et on verra", a-t-il dit, concluant son interview. Auparavant, il avait souligné que le sujet de la dette et des systèmes financiers dans le monde, ainsi que celui de la "démographie" dans les pays "vieillissants", étaient des sujets qui le "passionnaient".

MANIFESTATION DEVANT TF1

Arrivé un peu plus tôt en voiture, DSK est entré par l'arrière de la tour qui abrite le siège de TF1 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Il a ainsi évité la cinquantaine de féministes qui manifestaient devant le siège de la chaîne.Peu après l'arrivée de M. Strauss-Kahn, les manifestants scandaient "DSK honte à toi" et "TF1 complice", en tapant sur des tambours.

Les manifestants, des femmes pour la grande majorité, s'étaient rassemblés en fin de journée derrière deux banderoles, l'une portant les mentions "DSK = déni de justice. Quand une femme dit non, c'est non" et "La barbe", du nom de l'un des collectifs qui appelaient à manifester contre l'intervention télévisuelle de l'ancien directeur du Fonds monétaire international.
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#Posté le dimanche 18 septembre 2011 15:57

Ahmed Ben Said Jaffae : La CRC n'a pas de leçons à nous donner


Ahmed Ben Said Jaffae : La CRC n’a pas de leçons à nous donner
« J'ai accueilli la plainte avec étonnement et indignation. Le présidant Sambi ne merite pas cela au vu des éfforts qu'il a deployés pour permettre au pays de nouer avec son décollage économique », déclaré, hier à albalad, Ahmed Ben Said Jaffar, ancien chef de la diplomatie comorienne.

Il s'agissait à la plainte déposée par la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC) qui accuse l'ancien président de détournements de fonds publics présumés. « Personne ne peut contester de la bonne foi et de la bonne volonté qui l'ont toujours animé pour sortir ce pays des difficultés auxquelles il faisait face », a-t-il encore dit, estimant que M.Sambi a fait preuve de transparence dans sa gestion des affaires de l'Etat.

Ahmed Ben Said Jaffae : La CRC n’a pas de leçons à nous donner « Qui peut aujourd'hui se targuer d'avoir été aussi clair et transparent que le président Sambi, lui, qui, de retour d'une Oumra en Arabie Saoudite est venue prendre témoin la population sur le chèque de 5 millions de dollars qui avait été remis sa Majesté le roi d'Arabie Saoudite. C'était une première dans l'histoire.

Les fonds ont été affecté au projet habitat, c'était une décision du président Sambi », a poursuivi l'ancien ministre des relations extérieurs « Malheureusement, il y a eu des maladresses dans la gestion, les fond ont été mal géré, président l'a d'ailleurs dit dans de nombreuse déclarations et il a décidé de changer des ministres » a-t-il admis avant d'ajouter : « les fonds ont été bel et bien affectés au projet habitat. La CRC n'a pas de leçons à nous donner quand on sait la manière dont elle a géré le pays pendant plus de cinq ans »
A.S.KEMBA
Source Albalad
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#Posté le dimanche 18 septembre 2011 12:13

Dominique Strauss-Kahn va évoquer son avenir incertain

Dominique Strauss-Kahn va évoquer son avenir incertain
PARIS (Reuters) - Dominique Strauss-Kahn s'expliquera dimanche pour la première fois publiquement depuis son retour en France, le 4 septembre, après l'abandon par la justice américaine des poursuites contre lui dans une affaire de tentative de viol présumée sur une femme de chambre à New York.

Lors de cette intervention au journal du soir de TF1, l'ancien directeur général du Fonds monétaire international pourrait donner sa version de sa rencontre avec Nafissatou Diallo et s'exprimer sur l'autre litige de même nature qui l'oppose à la Française Tristane Banon.

Il sera cependant surtout attendu sur ses projets politiques, car certains dirigeants socialistes souhaitent toujours qu'il reprenne un rôle, sous-entendu dans la campagne, au PS, voire dans un éventuel gouvernement de gauche en 2012.
Ce voeu n'est cependant pas très clair et le principal parti d'opposition, embarrassé, est en fait très divisé entre ses partisans et ceux qui, comme le candidat à la primaire Arnaud Montebourg, l'appellent exclusivement à "présenter ses excuses" pour son comportement à ses camarades de parti, comme il l'a fait aux employés du FMI.

Il a évoqué jusqu'ici dans de brèves déclarations "d'erreur" de sa part, de "cauchemar", d'"épreuve terrible et injuste". Son image est sortie, selon les enquêtes d'opinion, très abîmée de l'aventure qui l'a conduit en prison, même s'il a finalement bénéficié d'un abandon de poursuites par le procureur de New York.
Bien que la possibilité d'un rapport sexuel forcé ne soit pas écartée, le procureur Cyrus Vance a estimé son dossier trop fragilisé par les mensonges de Nafissatou Diallo. L'affaire comporte donc beaucoup de zones d'ombre.

L'AFFAIRE BANON VERS UN ÉPILOGUE

L'ancien ministre de l'Economie (1997-1999) est d'autant plus mal à l'aise sur le sujet de son comportement qu'une enquête préliminaire de police ouverte en juillet sur la plainte pour tentative de viol en février 2003 d'une autre jeune femme, Tristane Banon, est toujours en cours à Paris.
Après avoir dit ou fait dire que ses accusations étaient imaginaires, et déposé plainte pour dénonciation calomnieuse, Dominique Strauss-Kahn a admis devant la police le 12 septembre avoir tenté d'embrasser la jeune fille, âgée d'une vingtaine d'années lorsqu'elle était venue l'interviewer.
Le parquet de Paris pourrait se prononcer prochainement sur la plainte, et l'option d'un classement sans suite est la plus probable, puisqu'il semble impossible de caractériser juridiquement une tentative de viol, seul cas de figure où les faits ne sont pas prescrits, contrairement à l'agression sexuelle.
Même s'il sort à nouveau sans dommages de l'affaire, les problèmes de comportement de l'ex-favori des sondages pour les primaires du PS suscitent un malaise susceptible de l'écarter de la vie publique, d'autant que les avocats de Nafissatou Diallo, qui poursuivent la procédure américaine au civil, ne le ménagent toujours pas.

Ils ont souligné dans un communiqué samedi un aspect peu relevé en France de son intervention, le choix du média TF1, la chaîne dont son épouse Anne Sinclair fut la vedette. La présentatrice Claire Chazal n'est pas neutre, soulignent Kenneth Thompson et Douglas Wigdor dans un communiqué.
"Nous avons appris que Dominique Strauss-Kahn sera interrogé dimanche par une journaliste qui est une amie de sa femme, Anne Sinclair. Comme tout le monde le sait, Mlle Diallo a rencontré des journalistes indépendants et d'investigation qui ont eu la possibilité, sans aucune condition, de lui poser des questions", écrivent Kenneth Thompson et Douglas Wigdor dans un communiqué.

Les avocats disent souhaiter que Dominique Strauss-Kahn soit amené à expliquer comment il a pu avoir une relation sexuelle consentie avec une personne qui ne le connaissait pas, quelques minutes après l'avoir rencontrée.

"Les Français et le monde entier ont le droit d'entendre M. Strauss-Kahn répondre à des questions précises sur son comportement le 14 mai", écrivent-ils.

Thierry Lévêque, édité par Jean-Loup Fiévet
Source http://fr.news.yahoo.com/
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#Posté le dimanche 18 septembre 2011 07:56

LES COMORES, PLAQUE TOURNANTE DU TRAFIC DE DROGUE ?

LES COMORES, PLAQUE TOURNANTE DU TRAFIC DE DROGUE ?
Des enfants tentés par la drogue/Photo Ibn Bilal

L'archipel des Comores, en raison de sa position géostratégique et de ses difficultés socio-économiques et politiques, est devenu une plaque tournante du trafic international de drogue à destination de l'Europe et de l'Océan indien. Puisque les contrôles sont de plus en plus stricts sur les frontières entre l'Amérique du Sud et l'Amérique du Nord et aussi sur les frontières entre l'Afrique du Nord et l'Europe, les cartels sud-américains et libanais par la complicité de Comoriens travaillant dans le commerce, à la Douane, à la Chambre de Commerce, dans la police et dans l'armée, ont fait des Comores un point de transit de drogue, notamment la cocaïne et l'héroïne, vers l'Europe et d'autres îles de l'Océan indien à l'exemple de Mayotte, Maurice et la Réunion. Néanmoins, le bangue, herbe de cannabis, une drogue de mauvaise qualité et à bon marché, est en circulation sur le territoire national où il est cultivé et consommé par de nombreux jeunes en raison du relâchement des m½urs par les parents, de la perte de repères socioculturels due à la rapidité des mutations sociales et économiques et surtout à cause du dénuement et de l'absence d'un Etat en tant que tel dans le pays.

Wazé a 26 ans et habite à Madjadjou, quartier défavorisé de Moroni. Il raconte : « En LES COMORES, PLAQUE TOURNANTE DU TRAFIC DE DROGUE ? 1997, alors âgé de 12 ans, un ami m'a invité à fumer du cannabis avec lui. J'ai répondu à son invite. Et depuis, j'ai continué. A chaque fois que je consomme de l'alcool, je fume forcément de l'herbe de cannabis. Et dieu seul sait combien de fois je consomme d'alcool par semaine. » Al Pachino est âgé de 29 ans, ces propos reflètent une crise de dépersonnalisation puisque parle de mimétisme. « Je suis arrivé à la consommation de drogue en 1988 parce que je voulais devenir rasta. J'avais des dreadlocks. Et je fumais tous les jours. Et comme je n'avais pas de travail, je volais pour pouvoir me payer de l'herbe de cannabis. D'ailleurs, en 1989, j'ai été jugé et incarcéré pour vol. Etant souvent indexé, marginalisé et rejeté par mon entourage, je me suis exilé à Mayotte en 1992. Et c'est là-bas où une petite-amie créole réunionnaise m'a poussé à consommer pour la première fois du shit et aussi de la cocaïne et de l'héroïne par injection intraveineuse. Aujourd'hui, comme j'ai un travail, je ne vole plus pour acheter de la drogue. Toutefois, comme ici la cocaïne et l'héroïne ne sont pas à ma portée, puisque elles coutent les yeux de la tête, je suis obligé de fumer malheureusement de l'herbe de cannabis. La pression communautaire n'est plus comme avant, elle a perdu de sa force, la drogue est devenue quelque chose de banal, du coup je fume au su et au vu de tout le monde. Chaque jour je dépense 3500 fc... j'ai besoin de fumer et boire pour me sentir vivant ».

Franky a la quarantaine. Il est dealer au marché de Volo-Volo. Assis dans le coin des bouchers et des vendeurs de poisson, il fait semblant d'être lui-aussi boucher pour pouvoir se fondre dans la masse, pour pouvoir tromper la vigilance des policiers qui guettent dans les parages. Il nous a confiés « Je ne vends pas de la drogue pour faire fortune. Je risque plutôt ma vie pour survivre. J'ai une famille, une femme et des enfants en bas âge, et je n'ai pas de travail, la drogue est ma seule issue. » « Entre le vol des douaniers, le mensonge des politiques et la drogue, moi j'ai choisi la drogue. Quand on est sans-argent, on a des enfants qui ne mangent pas à leur faim, quand on n'arrive pas à soigner sa progéniture en cas de maladie ou à la scolariser, parfois on est appelé à faire des choses terribles, injustes. Je sais que je corrompe cette jeunesse peu éduquée, sans avenir, qui n'a d'autres choses à faire que se tourner vers la drogue comme passe-temps. Mais devant un cul-de-sac, on fait des pieds et des mains pour se frayer un chemin. C'est ce qu'on appelle l'instinct de survie, qui est propre à l'homme. En vendant de la drogue, je me soulève contre Dieu, qu'il pardonne mon péché, et surtout contre cet Etat qui m'a délaissé. La drogue me permet seulement de survivre, de pallier la misère. D'ailleurs, je vis dans la clandestinité, je suis obligé de me soustraire aux yeux des policiers, ma famille m'a tourné le dos, elle a honte de moi. Mais je ne peux arrêter ce travail bien que risqué, sinon ma petite famille et moi mourrons de faim » nous a appris Z, âgé de 36 ans.

LES COMORES, PLAQUE TOURNANTE DU TRAFIC DE DROGUE ? « Les stupéfiants forcent même les portes de l'hôpital. Je vais vous raconter l'anecdote de Dany, un jeune de 14 ans qui a été hospitalisé à l'hôpital de Hombo pour greffe de peau sur brûlure des 2 membres inférieurs. A 14 ans, il fume du chanvre indien comme une locomotive. Etant dépendant, l'hospitalisation a sûrement été pour lui une sorte de séquestration, de sevrage. Etant en manque, Dany a activé son réseau depuis sa chambre d'hôpital. Sitôt une flopée d'enfants et de galopins, les amis de Dany, pénètre à l'hôpital, et glisse des tiges fortement roulées par les fenêtres. Dans tous ses états, il s'en prend aux infirmiers, provoque un remue-ménage dans les couloirs de l'hôpital, s'autoflagelle en arrachant les greffons de sa peau que lui avait faits un chirurgien venu de Belgique. La scène se répète tous les jours. L'hôpital a identifié la flopée de jeunes fournisseurs de Dany, et a porté plainte, mais l'affaire a été tout de suite classée » nous a témoigné Docteur Anssoufouddine Mohamed, cardiologue à l'hôpital de Hombo.

Jeannine est née au début des années 70. A 25 ans, alors mère de 7 enfants, elle a été dealer jusqu'à son arrestation. « A l'époque, j'avais un voisin qui était dans le marché de la drogue. Je voyais les gens, des petits dealers, affluaient chez lui, et ressortir avec le sourire. Certains laissaient même entendre que le commerce de la drogue est vraiment juteux. Du coup, comme j'étais dans le besoin, je n'arrivais même pas à acheter du lait pour mon bébé de 3 mois, j'ai été tenté par la vente de drogue. Mais un mois après, j'ai été arrêté après avoir comparu devant la justice. En tout cas, je peux vous assurer que ce n'est pas un marché juteux du tout, du moins pour nous les petits».

Les gros bonnets restent impunis

En effet, les petits dealers ne sont que des victimes du système, ils sont l'arbre qui cache la forêt. Et la drogue de mauvaises qualité et à bon marché qu'ils vendent à savoir l'herbe de cannabis « ou la drogue des pauvres », si on peut reprendre le terme d'un rapport de la BRIMAD, ne sert qu'à brouiller les pistes, ou sinon qu'à camoufler la réalité. On inquiète le petit dealer pour faire croire à travers les médias qu'on lutte contre les narcotrafiquants, pendant que secrètement les gros bonnets s'enrichissent sur le trafic d'héroïne et de cocaïne. Ils sont souvent autorités de l'Etat, armateurs, transitaires, douaniers, hommes d'affaires, policiers, militaires, etc. D'ailleurs, un douanier s'est enrichi ces dernières années grâce au trafic, et est même devenu un homme influent du pays. Il corrompt les jeunes grâce au pactole. Il fait venir la drogue d'Afrique australe dans des conteneurs sous scellés, pour envoyer par la suite la marchandise vers l'Europe. En 1998, la BRIMAD (Brigade Mixte Anti-Drogue) dont la Coopération Française, à travers le service de Coopération Technique Internationale de Police [le S.C.T.I.P.] a contribué à sa mise en place en 1995, avait interpelé des militaires, des douaniers, et des agents de la Chambre de Commerce, impliqués dans une affaire de drogue. Ces derniers avaient tous été libérés pour manque de charges suffisantes.

« Le problème qui se pose c'est l'efficacité des sanctions. Nous au tribunal nous jugeons les suspects et quand ils sont coupables, nous les transférons à la maison d'arrêt. Et c'est là où beaucoup demandent une liberté provisoire pour se retrouver au-dehors. Toutefois, le marché de la drogue, étant juteux, a toujours été en expansion dans notre pays. Maintenant il est temps que l'Etat, la douane et la justice travaillent main dans la main afin de lutter efficacement contre le narcotrafic. La douane doit renforcer la surveillance sur les frontières, la justice doit juger d'une manière impartiale les coupables, et l'Etat doit aller au bout des sanctions. Et pour l'instant ce n'est pas le cas » nous a appris Youssouf Ali Djaé, 1er substitut du Procureur.

« Des Libanais, il y a quelques années, avaient fait venir de la drogue aux Comores depuis leur pays via le Zaïre. La drogue était destinée au marché français. Les trafiquants ont été expulsés manu militari des Comores » a-t-on appris de source militaire. A défaut d'informations suffisantes, nous n'avons pas pu remonter les réseaux sud-américains, toutefois nous savons que leurs marchandises transitent par des pays lusophones d'Afrique pour arriver aux Comores. Depuis 1995, pas moins de 9 tonnes ont été saisies sur le territoire national. Les saisies de cocaïnes sont fréquentes à Mayotte. Récemment deux cas d'overdose par injections intraveineuses ont nécessité une hospitalisation à l'hôpital El-Maarouf. En 2010 une ressortissante comorienne a été arrêtée dans un aéroport de l'île Maurice avec 600 grammes d'héroïne. En 2011, une jeune fille de 18 ans connue sous le nom de Roukia originaire de Mayotte est décédée à la suite d'une consommation d'héroïne qui provenait des Comores indépendantes.

Dans un rapport de la BRIMAD de Moroni de cette année 2011 lit-on : « D'une manière générale, l'entrée des drogues de toutes sortes étaient constatée, pour preuve le GIR [Groupe d'Intervention Régional, initié par M. Nicolas Sarkozy, alors ministre français de l'Intérieur pour lutter contre tout ce qui est économie souterraine] de la Réunion a témoigné dans un rapport du shite en provenance de Dar Es Salam [via les Comores] [...] Il serait souhaitable de donner les moyens nécessaires à la BRIMAD pour mettre des garde-fous en vue d'endiguer ce trafic aux Comores, pays qui sert aussi de transit de drogue vers Mayotte et la Métropole. »

Comme au temps des mercenaires avec le trafic d'armes à feu, les Comores sont devenues un oasis de blanchiment d'argent sale, une plaque tournante du trafic international de drogue et de bois précieux. L'île d'Anjouan est surtout le point de transit idéal des trafiquants de tout bord, puisque depuis 1997, date à laquelle a été amorcée la crise séparatiste, l'île est devenue incontrôlée et incontrôlable.

Le laxisme des autorités de l'Etat

« La position géographique et le fond culturel swahili, arabe et européen de l'archipel LES COMORES, PLAQUE TOURNANTE DU TRAFIC DE DROGUE ? font des Comores un lien, sinon un n½ud entre l'Afrique continental et l'Océan indien. N'importe qui peut passer dans l'archipel sans se faire remarquer. Aussi est-il que le laxisme qui sévit dans l'Etat, le manque de contrôle au niveau des douanes, et le fait que la corruption est généralisée, il est facile de s'assurer des complicités. Quand même les quelques mouvements d'avion devraient facilement être contrôlés, du moins à l'arrivée. Les Comores ne sont pas tout de même une plate-forme touristique ? D'ailleurs, ce n'est un secret pour personne, le trafic maritime est tout à fait incontrôlé. Etant donné que le marché comorien n'est pas solvable, la drogue est envoyée vers Mayotte et ailleurs où l'écoulement est rentable » s'étonne M. Saïd Abdallah Mchangama, Président de la Fédération Comorienne des Consommateurs.

Aboubacar Ahmed Mzé, officier de police à la BRIMAD, nous apprend : « 90% de drogue importée saisie localement et aux frontières provient de Madagascar contre 10% de la Tanzanie. La production locale est vraiment moindre. La drogue une fois dans le pays circule entre les îles par le biais de vedettes rapides . Souvent elle est enfouie dans des produits vivriers quand elle n'est pas débarquée sur les côtes de nos îles. Et une fois dans le port de Moroni, elle passe inaperçue dans la mesure où les colis en provenance d'Anjouan et Mohéli ne font pas l'objet d'un contrôle systématique. Notre problème c'est que nous n'avons pas de moyens de locomotion, de détection et d'identification modernes nous permettant de faire face au fléau de la drogue. » Même son de cloche du côté de la Brigade de surveillance du port de Moroni. « Nous n'avons pas beaucoup de moyens pour contrôler le trafic des navires. Faute de moyens pour acheter les renseignements, du matériel d'identification et des chiens détectives pour détecter les stupéfiants, nous sommes obligés de faire avec nos petits moyens » se plaint le chef de brigade Djalim Ben Mohamed.

« Jusqu'en 2002, la BRIMAD a fait ses preuves. Ce n'est qu'entre 2005 et 2007 que les choses ont commencé à se détériorer. Les efforts entrepris ont été délaissés, ce qui a contribué à décourager tous les partenaires, jusqu'à la dispersion des éléments ayant servi à la cause de la lutte de narcotrafic au sein de la BRIMAD » s'attriste Elhad Abdérémane, secrétaire général de l'Association Comorienne de Prévention contre la Drogue.

Un citoyen est avant tout une personne qui, dans un pays, jouit des droits civils et politiques en particulier. Et parmi ces droits civils et politiques, il y a le droit à la vie et le droit à la santé. Et selon l'OMS, la santé est à la fois un bien-être physique, mental et social. Alors comment peut-on laisser ces 56% de jeunes de moins de 20 ans qui composent la population de ce pays, se noyer dans une marre de substances nocives et illicites. Dans quatre secteurs où nous avons été 2 jeunes sur 6 consomment de la drogue, 1 jeune sur 6 en vend, c'est un fait réel. Fait favorisé par l'absence d'un Etat en tant que tel et du fait que les parents et les maîtres du Coran se sont détournés de leur mission d'éducateurs. Peu éduqués, moins instruits, les jeunes comoriens ont un surmoi tellement fragile ; n'ayant pas de personnalité, ils sont, du coup, influençables. Et les narcotrafiquants en profitent pour faire du pays à la fois un fumoir et un bordel à ciel ouvert.

Bilal
Source http://nomansland.mondoblog.org
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#Posté le dimanche 18 septembre 2011 07:42

Sambi dans ces mensonges sur les Comores

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#Posté le samedi 17 septembre 2011 22:19

Modifié le dimanche 18 septembre 2011 07:27

Les indignes de l`armée

Les indignes de l`armée
Incompréhension. Si les officiers de l'AND, ceux qu'on qualifie d'hommes forts, travaillent bien et aient les capacités intellectuelles nécessaires pour se hisser au sommet de la hiérarchie, l'opinion l'aurait su. Or, il apparaît que certains responsables de notre armée se trouvent dans le rouge en matière d'intelligentsia. Entre notions militaires et connaissances élémentaires, le citoyen lambda se questionne sur les attributions de formations de nos officiers. Penchons nous sur les trains de vie de ces hommes et voyons comment ils déclinent la notion de promotion équitable, écrite au fronton de nos symboles étatiques «Unité-Solidarité-Développement». Sans rire....

Il y a un problème. Les officiers supérieurs qui viennent d'être promus à des grades supérieurs constituent, à n'en point douter, les hommes clés des deux régimes Sambi et Ikililou. La révolution fantaisiste est en marche. Colonel Ibrahim Abdou, à la porte de la retraite est sans doute au sommet de sa gloire. Une position qui fait aussi de lui, l'un des hommes les mieux servis du régime. La récente formation de hautes études militaires dont il vient de bénéficier, est là pour le démontrer.

Des avantages, encore des avantages. Le Colonel Ibrahim dont l'un des médecins traitants de l'AND lui signale les symptômes de la maladie d'Alzheimer, maladie du cerveau. Une affection neuro-dégénérative qui entraine une détérioration progressive des cellules nerveuses provoquant une démence sénile. Cette maladie entraine un retentissement sur la vie quotidienne et s'accompagne progressivement d'une détérioration intellectuelle entrainant des manifestations psychologiques et des troubles du comportement conduisant à une perte de d'autonomie. Malgré l'avis du médecin, Colonel Ibrahim vient d`être désigné pour aller suivre une formation à l'école de Guerre de Pékin. Chapeau bas !

Oh mon Dieu ! De source proche de la cour de Kandaani, il fut, une des pièces-maîtresses de l'opération du séparatisme à l'époque où les anjouanais jouaient le jeu du «chat et la souris». Dévoué séparatiste de souche, selon la légende, c'est à la faveur du Chef du cabinet militaire à la présidence de la République, Colonel Ahmed Bastoi Abdou que le Colonel Ibrahim s'est illustré de fort belle manière, ''tapant'' ainsi dans l'½il de ceux qui gère l'Etat aujourd'hui. Le phénomène Bastoi, l`unique officier à ce jour, incapable de rédiger un rapport et que son seul sésame reste Ainoudine Sidi, pas son assistant en communication mais bien le directeur du CNDRS qui lui offre la portion magique des ses rapports officiels. Qui grâce à cet homme de l`intellect mutsamudien, Bastoi obtient son mémoire de fin d`études. Qui hélas, il restera dans les annales comme un officier sans structure d`études académiques approfondies.

Les indignes de l`armée Bastoi et Ibrahim Abdou, c'est d'abord une affaire d'escroqueries et de tromperies. Les éléments de la grande muette montrèrent à quelques occasions qu'ils étaient capables d'obtenir, en un tour de main, satisfaction de leurs revendications alors que les autres composantes de l'armée ont le temps de s'user les souliers à force de damer le macadam et de perdre la voix à force de crier leur faim et leur soif. En un mot, à l'instar de Commandant Dossar et Capitaine Fayssoil Abdou Salam, la vie se résume en rose avec le kaki, à l`image d`une fratrie de mafia. Intégrer la cour de la Défense nationale sans aucun pouce de culture. A l`heure où, le Chef de l`Etat major, Colonel Gamil, prépare ses valises avant d`être éjecter, Bastoi place ses pions ici et là, en attendant son procès car si vraiment Ikililou et sa Commission Nationale de Prévention et de Lutte contre la Corruption veulent jauger les intérêts des comoriens, ils auront affaire avec l`escamoteur, Bastoi.

Histoire de famille. Le clan Bastoi n'est pas et ne doit pas devenir, ne doit plus être le bras armée d'un parti, d'un gouvernement ou d'un homme pour asseoir son pouvoir. En principe, l`AND est au service du pays, des citoyens. Les nominations doivent se méritées aux faits d'armes, aux états de services, et non par les accointances.

Nous ne cesserons pas de rappeler de l`ordre et la prise de conscience des dérives de notre état, de ses dirigeants, pour susciter le changement et donc élever, en but final, les comoriens dans une société cognitive, tournée vers l'élévation de l'esprit, de l'intellect, de la capacité d'analyse : en somme, une société de l'intelligence, contre celle que prône aujourd'hui les gouvernants.
Zaki Abdoulmadjid
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#Posté le samedi 17 septembre 2011 12:02

Comores / Ere Sambi : La responsabilité est collective

Comores / Ere Sambi : La responsabilité est collective
Par Patriote

Ce que dit Fahmi est cohérent. Il est logiquement inconcevable de dissocier Ikililou, Mamadou, Bourhane Rachid etc. de la gestion calamiteuse de l'ère Sambi dont ils sont l'émanation et la continuité. Ayant occupé les postes lés plus éminents dans ce régime corrompu, ils sont tous comptables de ces détournements présumés.
Il est donc malhonnête et lâche de rejeter la faute sur une seule personne alors que la responsabilité est collective.
De plus, contrairement à ce que prétend Fahmi, Ikililou, Mouigni Baraka, Anis etc. n'ont pas été élus sur un programme qu'ils n'ont jamais eu, mais grâce à une corruption et à des fraudes jamais égalées par le passé.
C'est pourquoi, pour ma part, je crains que ne soit une mascarade de plus pour amuser la galerie, une tentative de diversion pour masquer l'étendue des dégâts... en désignant un bouc-émissaire, en la personne de Sambi.
Le comble de l'ironie est que ce soit des voleurs qui accusent d'autres voleurs de corruption, non par amour pour la patrie, la vérité et la justice ; Non ! pour se frayer un chemin dans l'espoir d'obtenir des places dans un régime qui leur ressemble. Mais après tout, on n'a que les dirigeants qu'on mérite puisqu'ils sont notre reflet. Avec un tel degré de complaisance envers la triche et le mensonge, il n'est pas étonnant de voir se succéder à la tête de l'Etat des mafieux.
Pour finir, je voudrais juste poser une question idiote puisqu'on nous prend pour des imbéciles, qui plus est, amnésiques : Pourquoi n'y a t-il toujours pas de plainte déposée contre Idi Nadhoim dans l'affaire SNPT alors qu'il est établi que des centaines de millions ont transité sur son compte personnel ?
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#Posté le samedi 17 septembre 2011 11:54

Le Chef de l'Etat s'est entretenu avec son homologue tanzanien

Le Chef de l’Etat s’est entretenu avec son homologue tanzanien
En route pour New York où il participera à la session de l'Assemblée Générale de l'ONU, Son Excellence le President Ikililou Dhoinine, Président de l'Union des Comorers, a été recu a l'aéroport de Dar-Es-Salaam, jeudi après-midi , par son homologue Tanzanien, Son Excellence le President Jakaya Mrisho Kikwete, son Vice-president et de son Ministre des relations exterieures.

Plus tard à 17 heures, Le Chef de l'Etat comorien été recu en audience au palais presidentiel tanzanien où il s'ést entretenu avec le President tanzanien de la cooperation bilatérale dans les domaines de la santé, de l'éducation, du commerce et du tourisme. Ils ont exprimé leur disponibilite à oeuvrer davantage en vue du renforcement de ces relations.

Les deux presidents ont également discuté de la délimitation des frontieres entre les Comores, la Tanzanie et le Mozambique. Le president comorien a indiqué que la cérémonie de signature du document relatif a cette délimitation aura lieu aux Comores en octobre prochain.

Le Président tanzanien a enfin exprimé la necesite de revoir la question des visas entre les deux pays pour pouvoir faciliter la libre circulation et les échanges. Autres sujets abordés : les investissements, avec la disponibilité des tanzaniens à venir investir aux comores et la Compagnie Precision Air qui a commencé ses opérations aux comores.

A l'issue de ces entretiens, le Président tanzanien a invité son homologue comorien à effectuer une visite officielle en Tanzanie aux dates de sa convenance.
la délégation comorienne a ensuite quitté le Palais présidentiel pour y revenir dana la soirée à l'occasion du diner restreint offert en l'honneur du President IKIKLILOU DHOININE par le président tanzanien et son épouse, en présence du Vice-président tanzanien et de son épouse et du Ministre des affaires Etrangères.

La délégation comorienne quittera Dar-Es-Salaam vendredi après-midi pour Dubai d'où elle repartira le 18 septembre pour New york
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#Posté le samedi 17 septembre 2011 11:49

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